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La différence personnelle. Essai sur l'identité dramatique de la personne humaine

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Dossier

Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Romans, essais, actualités : tout sur Roberto Saviano

Roberto Saviano est un écrivain, journaliste et essayiste italien né le 22 septembre 1979 à Naples, en Italie. Il est surtout connu pour son travail d'investigation sur la Camorra, la mafia napolitaine, qui est le sujet central de son livre le plus célèbre, Gomorra, publié en 2006. 

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Dossier

Prix littéraire Frontières-Léonora Miano 2022 : dignité humaine, acceptation de l’autre

Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».

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Dossier

Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Dossier

Représenter, exprimer et comprendre le monde

Qu’il s’agisse de fictions par lesquelles le réel se revisite, d’approches analytiques explorant les détails et aspects de notre société humaine ou encore d’instantanés saisissant la lumière – et faisant jour ! – sur notre monde, nous demeurons pris dans notre environnement. Humains, trop humains, certainement, avec pour prisme premier notre regard sur cette Terre et ce que nous en avons fait, ce que nous en faisons… et ce que nous en ferons. 

Extraits

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Philosophie

La différence personnelle. Essai sur l'identité dramatique de la personne humaine

L'identité personnelle n'est pas l'identité de la chose, et pourtant l'ombre de la chose se retrouve encore dans bien des philosophies de la personne, quand elles veulent identifier une constance venant absolument de soi. Or, la constance proprement humaine ne saurait être un repli sur des caractères figés, et elle doit au contraire être pensée dynamiquement comme une réponse toujours ouverte et inquiète à ce qui nous touche au-delà de ce que nous pouvons recevoir. La philosophie médiévale de saint Augustin à saint Thomas d'Aquin a donné à penser et à vivre une identité brisée de la personne. La philosophie moderne (Kant) et la phénoménologie (Husserl, Heidegger, Levinas, Maldiney) permettent, elles, de redécouvrir cette identité impossible, voire anarchique, qui est notre avenir avant d'être notre présent et notre passé. Comprendre philosophiquement la personne en tant que créature comme un être qui est pour autre chose que lui-même, c'est alors pouvoir surmonter les multiples formes du nihilisme actuel qui enferment l'homme dans des identités mortes. Dès lors, élucider cette différence personnelle, qui n'est plus la particularité d'un genre, mais la dimension dramatique, active, de l'existence, permet de mettre en lumière le fait que la signification éthique de la personne est toujours première.

08/2019

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Couple, famille

La métamorphose impensable. Essai sur le transsexualisme et l'identité personnelle

Etre un homme ou une femme est-il naturel ou culturel ? L'identité sexuelle s'enracine-t-elle dans le corps, est-ce un donné physiologique, voire neurobiologique ? Ou ne s'agit-il que d'un rôle qu'on joue, qu'on pourrait intervertir avec d'autres et dont on puisse altérer le texte ? La métamorphose transsexuelle est une voie d'accès privilégiée à ces interrogations, parce que le réel de l'identité, avant d'avoir pu dire son mot, est ici forcé par un fabuleux acte autoconstructif : si tant de magistrats, tant de psychiatres sont embarrassés par les transsexuels, si leur affaire est à la pointe avancée de la bioéthique, de la critique de la culture ou de la protestation libertaire, c'est justement parce qu'ils assument leur identité comme une " construction sociale ". Dans la sphère éthérée des débats savants, ils font sentir l'urgence d'une affaire de vie ou de mort, en un court-circuit inattendu entre une question de catégorisation et une atteinte directe à la chair. Le problème est, pour le dire d'un mot, métaphysique. Il vise le nœud obscur qui attache ce corps à ce je; il oblige donc à dévoiler quelle nature humaine il faut, à un moment ou à un autre, nous supposer. Et il est à peine besoin de l'approfondir pour que la philosophie, la psychanalyse, mais aussi la médecine, la sociologie, le droit - toutes disciplines aspirant à sauver leur rationalité, voire leur scientificité, face à ce qui paraît la déraison même, " changer de sexe " - en ressortent ébranlés. Telle est la crise des certitudes qui motive cet essai.

04/2003

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Sociologie

L'identité de la personne "handicapée"

Avoir un handicap, qu'est-ce que cela signifie et implique aujourd'hui ? Pour la personne qui en est atteinte, ses proches, la société ? Comment (se) vivre avec un handicap, qui plus est lorsqu'il est congénital et qu'il nécessite un accompagnement constant ? Quel rapport peut-on avoir à son corps, à un corps stigmatisé et stigmatisant ? À son intimité ? Et à sa sexualité ? Quel regard peut-on porter sur soi et comment peut-on « s'arranger » avec le regard que les autres posent sur soi lorsqu'on a un handicap ? Si les politiques ont permis par la loi (et notamment celle du 11 février 2005) une vraie évolution textuelle, il faut cependant reconnaître qu’ils n’ont toujours pas réussi la révolution culturelle qui devrait permettre de respecter l’autre dans sa nature humaine et non pas seulement de le tolérer.

01/2011

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Philosophie du droit

Des bonnes moeurs à l'autonomie personnelle. Essai critique sur le rôle de la dignité humaine

Durant près de deux siècles, les bonnes meurs ont exercé un contrôle subtil sur les choix individuels en imposant un certain modèle de comportement. Elles furent cependant progressivement délaissées par la Cour de cassation au nom d'un nouvel impératif de neutralité guidant désormais le droit de la famille. Symbole d'une contrainte morale ressentie comme autoritaire et illégitime, les bonnes meurs ne pouvaient correspondre à la montée en puissance de l'éthique. Ainsi, à la conception d'un droit-modèle succéda celle d'un droit-principe dont la dignité humaine constitue la première manifestation. Consacrée en 1994 par le Conseil constitutionnel, la dignité humaine semblait pouvoir s'opposer au risque d'instrumentalisation de l'homme qu'ont fait naître les innovations techniques dans le domaine biomédical. Malheureusement, elle est demeurée insaisissable, aucun consensus n'ayant été dégagé autour de sa définition. Il est alors par trop aisé de confondre ce principe avec le sens qu'il revêt dans le langage courant, plus subjectif, et qui permet à l'individu d'imposer sa propre conception de la dignité. Privée de sa dimension transcendante, la dignité humaine n'oppose alors qu'une faible résistance à l'avènement de l'autonomie personnelle. Construite en porte-à-faux par la Cour européenne des droits de l'homme, l'autonomie personnelle offre à l'individu la possibilité de déterminer lui-même les règles auxquelles il se soumet et impose la liberté comme dogme du droit des personnes.

02/2024

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Droits de l'homme

Essai d'une théorie générale de l'autodétermination de la personne humaine

L'autodétermination de la personne humaine est une thématique dans l'air du temps. Après s'être interrogé sur les bornes de sa liberté, sur la légitimité morale de ses actions, l'être humain du XXIe siècle se veut autodéterminé, libre de choisir sa destinée. Le développement des techniques de pénétration du corps humain a contribué à élargir les facultés d'autodétermination. Guérison, transformation, mutation, amélioration, autant de possibilités offertes à l'individu qui ont dû être appréhendées par le système juridique, non sans difficulté. Le présent ouvrage propose une théorie générale permettant d'étudier ces phénomènes dans leur globalité et d'améliorer leur encadrement.

07/2023

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Droit

La dignité de la personne humaine

Le 27 juillet 1994, le Conseil constitutionnel a déduit du préambule de la Constitution de la IVe République le principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d'asservissement et de dégradation. La loi soumise à son contrôle introduisait une semblable exigence dans l'article 16 du Code civil. Ainsi, en cette fin de siècle, et non sans un certain retard par rapport à ses voisins, le droit français se saisit-il officiellement de " l'humanité de l'homme ". Juridictions administratives et judiciaires se mettent à l'utiliser pour mieux justifier des solutions acquises ou pour en imposer de nouvelles ; le législateur semble déterminé à s'y référer autant que nécessaire, comme un témoigne l'article 1er de la loi du 29 juillet 1998 d'orientation relative à la lutte contre les exclusions. D'où vient le principe de sauvegarde de dignité de la personne humaine ? Que signifie-t-il, que peut-il et que devrait-il signifier ? Quel rôle joue-t-il et devrait-il jouer ? Quelles conséquences sa reconnaissance produit-elle sur le système juridique ? A la résolution de ces interrogations, l'ouvrage s'efforce d'apporter sa contribution. Après la présentation de la genèse du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine, vient l'étude du traitement qui lui font diverses branches du droit - droit international, droit européen, droit pénal, droit administratif, droit civil, droit du travail. Puis une réflexion générale met en perspective ce principe aux incidences multiples remarquables.

01/1999

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