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La criminalité en Wallonie sous l'Ancien Régime - Trois essais. Section d'histoire-17/II

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Romans, essais, théâtre : tous les livres de Paul Auster

Né en 1947 à Newark dans le New Jersey, Paul Auster étudie de 1965 à 1970 les littératures française, anglaise et italienne à Columbia University, où il obtient un Master of Arts. Il publie à cette époque des articles consacrés essentiellement au cinéma dans le Columbia Review Magazine, et commence l’écriture de poèmes et de scénarios pour films muets qui deviendront ultérieurement Le Livre des illusions.

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Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Peuples et civilisations : histoires en majuscule

Les Magyars sont-ils les descendants d’Attila ? Napoléon est-il le descendant d’Apollon ? Le récit des peuples et des civilisations se construit sur des mythes fédérateurs et galvanisants. L’Histoire c’est autre chose : c’est le « Je me souviens » du groupe. Comme tous retours vers le passé, c’est autant une nécessité qu’un danger. Comment raconter l’Histoire de Venise ou de l’armée italienne ? À travers ses hauts faits ou la réalité quotidienne ? Tous ces historiens nous éclairent grâce à un patient et rigoureux travail dans les sources. 

 

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Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Dossier

Nota Bene : visiter et apprendre l'Histoire, autrement

NotaBene – « L'histoire est devenue ma passion quand j'ai créé ma chaîne Youtube », explique Benjamin Brillaud, fondateur de Nota Bene. Ses émissions, qui recensent aujourd’hui 2,16 millions d’abonnés, travaille à rendre l’Histoire plus abordable. Une approche pédagogique et ludique qui devait, assez logiquement, conduire à puiser dans d’autres supports comment rendre le sujet plus populaire encore.

Extraits

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Sciences historiques

La criminalité en Wallonie sous l'Ancien Régime - Trois essais. Section d'histoire-17/II

L'histoire de la criminalité dresse en filigrane un portrait de toute société, tant il est vrai que l'étude de la déviance, de la délinquance, bref de la "marginalité " révèle par contraste ce qu'on pourrait appeler la "normalité ", car on ne peut isoler l'étude du criminel de la société qui l'a produit. Les enquêtes sur la criminalité de l'Ancien Régime se heurtent à de nombreux problèmes. Tout d'abord, devant la masse de documents quasi inexplorés, l'historien doit souvent se faire archiviste avant de pouvoir étudier valablement les sources. Ensuite, nos catégories actuelles rendent malaisés le classement et la distinction des affaires, même si l'on se base sur la notion générale de "procès ". Qui plus est, les statistiques font défaut, principalement en raison du désordre et du morcellement des sources, compilées par une administration balbutiante et non systématique. La plus grande prudence s'impose donc à qui veut mesurer en chiffres la criminalité sous l'Ancien Régime. Le présent ouvrage fait état de trois enquêtes, l'une à Namur au XVIIIe siècle, la deuxième en Gaume au XVIe siècle, la troisième à Nivelles au XVIIIe siècle. L'étude prend ensuite un point de vue plus général sur l'appareil répressif et la criminailté de l'époque.

01/1976

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Sciences historiques

La Chasse sous l'Ancien Régime

De Charles VIII à Louis XVI, les chasses aristocratiques ont été associées à un style de vie et à un style de pouvoir. Faucons jetés sur leur proie, meutes excitées par les trompes, cavalcades à travers les bois de Chambord ou de Versailles, autant d'images qui évoquent un temps où les chasses royales prenaient les allures d'une démonstration politique. Cette liturgie spectaculaire remonte au XIVe siècle, quand la chasse fut interdite à la majorité des roturiers. Toutefois, ce n'est qu'à partir des guerres de Religion que le cérémonial se fait plus contraignant, tandis que l'absolutisme se renforce. Chasser est alors un privilège, mais ce privilège oblige, car il s'appuie sur des hiérarchies que la noblesse proclame inscrites dans la nature. Au fil des siècles, les règles du " noble déduit " se multiplient, précisées par les traités qui définissent aussi bien le gibier digne ou non d'être chassé que les façons de poursuivre l'animal. La chasse devient confrontation réglée avec la sauvagerie, mise à l'épreuve, individuelle et collective, et les rites qui l'entourent une forme d'éducation où le jeune noble apprend à donner à ses pairs les preuves de son identité. Or les chasseurs d'Ancien Régime, en déjouant les ruses du gibier, n'apprenaient-ils pas aussi à se déjouer des rôles qui la société leur assignait ? La chasse sous l'Ancien Régime ne peut être réduite à un code strict. Fauconniers et veneurs mais aussi braconniers de ces trois siècles ne partageaient-ils pas la même passion ? Leurs plaisirs sont encore en partie les nôtres.

09/1996

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Sciences historiques

Guingamp sous l'Ancien Régime

Durant tout l'Ancien Régime, Guingamp demeure une petite ville, à la limite du gros bourg. Centre d'approvisionnement et de redistribution en produits et denrées de première nécessité pour la campagne alentour, la cité ne connaît pas l'essor que sa situation géographique, ses activités économiques et même ses institutions au sein de l'ensemble breton devraient pourtant légitimement lui garantir : peuplée de 3 000 à 4 000 habitants à la fin du 15e- début XVIe siècle, Guingamp n'en dénombre guère davantage à la veille de la Révolution. Sans doute les structures démographiques de la cité sont-elles à mettre en cause : tout au long de la période, les populations guingampaises éprouvent de grandes difficultés à assurer le renouvellement des générations, notamment en raison d'une forte mortalité infantile et juvénile ainsi que d'un âge moyen au mariage relativement tardif chez les femmes. A la vérité, elle n'y parvient que grâce à l'apport migratoire fin 16e- début XVIIe siècle par exemple, plusieurs familles nomades s'installent en ville. Cependant, au-delà de ces faiblesses proprement structurelles, somme toute caractéristiques du milieu urbain d'Ancien Régime, la responsabilité même des élites guingampaises semble directement engagée. Dans une cité majoritairement peuplée de petites gens, nobles et bourgeois aisés - il est vrai peu nombreux - ont seuls les capacités financières requises pour dynamiser l'économie locale. Or, ils préfèrent investir dans la pierre et dans la terre (sources de richesses et enjeux sociaux important), condamnant ainsi Guingamp à la stagnation économique.

01/1999

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Histoire de France

Le village sous l'Ancien Régime

Voici la somme - qui n'existait pas - sur le cadre de vie de l'écrasante majorité de nos aïeux, le village. Une étude ample, dans l'espace et dans le temps, où le pittoresque le dispute à la richesse de l'information. Jean-Marc Moriceau y insiste au long de sa préface : " C'est dans un sillon bien droit et fort large qu'Antoine Follain a poussé sa charrue, tant la terre est retournée après son passage, celui des structures villageoises de l'ancienne France. Comment définir l'identité communautaire à partir d'une histoire comparée du village, soucieuse d'équilibre entre les différents "modèles régionaux"? Au prix d'un effort considérable de réunion des matériaux dispersés dans les archives et l'historiographie, Antoine Follain réussit cette gageure : fournir un éclairage national sur plus de trois siècles - de 1450 à 1780 principalement - en conservant un pied sur un observatoire particulier - la haute Normandie, où le religieux et le civil sont étroitement imbriqués - et en en posant un autre à l'extérieur, dans la diversité des configurations socio-institutionnelles de la vieille France.

01/2008

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Histoire de France

Histoire de sorciers et de sorcières sous l'Ancien Régime

Dans l'imagination populaire, la grande vague hystérique de sorcellerie, de sabbats et de procès terrifiants de cruauté, avec leurs interrogatoires sadiques et l'horrible issue du bucher, est indissociable de l'image d'un Moyen Age obscurantiste. Or, la majorité des hallucinants procès de sorcellerie se déroulèrent du XVe à la fin du XVIIIe siècle et servirent à focaliser, sur des boucs émissaires, la colère d'une population mise à mal par les famines et les guerres interminables. Le dégoût et la peur qu'inspirent les maléfices - potions répugnantes, meurtres rituels d'enfants,... - au peuple justifient des exorcismes obscènes et des procès accompagnés de tortures effroyables. Cependant, derrière ce tableau effarant de la sorcellerie "ordinaire", se dessine une autre réalité, celle des faux procès de sorcellerie qui sont en fait des règlements de comptes politiques déguisés, bien plus nombreux qu'on le pense. Cet autre visage de l'usage d'accusation de sorcellerie recèle bien des surprises et révèle de curieux mystères...

08/2019

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Romans historiques

L'histoire de Colombe. Une manante sous l'Ancien Régime

L'histoire de Colombe que nous conte l'auteur, c'est l'histoire d'une vie ancrée clans son époque, le XVIIIe siècle, une vie impensable en dehors du droit de cuissage, des guerres de Louis XV, en dehors des problèmes de servage. L'histoire de Colombe et des siens - de celles et ceux qui parlent tour à tour - de leur mentalité, de leur langage, de leurs façons de faire et de sentir, s'inscrit dans un univers d'auberges, de musiciens ambulants, de morte saison paysanne, d'ouvroirs de religieuses, de sergents racoleurs, à Cluny et clans ses immédiats environs. De la voix de Rigaudon à celle de Dame Etiennette, de la voix de Colombe à celle d'Odilon, l'histoire de Colombe se construit au fil des années et des aléas de la vie, entraînant le lecteur au sein même de ce grand changement du monde qu'est le XVIIIe siècle. Renouant avec cette oralité qui faisait l'originalité des Noeuds d'argile et du Grain du chanvre ainsi qu'avec sa région de prédilection, L'Histoire de Colombe illustre ce que Jacques Lacarrière disait avec enthousiasme à propos du style de Lucette Desvignes : Jamais comme en ces deux livres une région n'a autant nourri une inspiration d'essence aussi peu régionaliste.

04/2010

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