La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave.
Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.
Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.
Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre.
Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.
Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.
Littérature française
12/1993
Littérature française
« Qu'il vous reste de nous notre amour infini de la vie, de sa beauté et de sa légèreté, et que du fin fond de notre sommeil éternel, vous nous entendiez rire encore. Rire, chanter, danser et célébrer la vie. Nous l'avons tant aimée. »
Un matin, dans les couloirs de l'hôtel Lutetia, un employé tombe sur une scène à la fois tragique et romantique : un couple d'octogénaires, Ezra et Maud, est retrouvé mort, les mains entrelacées. Ce geste final, bien que chargé de panache, laisse leur fille Eléonore dans un état de choc et de tristesse profonde. Se sont-ils souciés de l'impact de leur décision sur elle en orchestrant leur départ théâtral, leurs obsèques grandioses et l'héritage complexe de leur demeure, surnommée la maison des Bulles ?
Ezra et Maud étaient des figures emblématiques de l'industrie publicitaire, des créateurs de rêves qui ont vécu à l'apogée des dernières décennies effervescentes du XXe siècle. Leur acte final soulève des questions : était-ce un ultime coup de génie de leur part ou plutôt un geste d'amour maladroit, peut-être même absurde, mais toujours un acte d'amour ?
Emilie Frèche explore ces questions dans un roman qui oscille entre l'humour, la perturbation et l'émotion. Ce n'est pas simplement l'histoire d'un couple qui a choisi de partir ensemble ; c'est aussi une réflexion sur les conséquences de leurs actions sur ceux qu'ils laissent derrière eux. Le livre interroge les limites de l'amour et de la liberté, tout en mettant en lumière les complexités émotionnelles qui entourent des décisions aussi radicales. En somme, il s'agit d'une œuvre qui nous pousse à réfléchir sur les multiples facettes de l'amour, de la mort et de l'héritage que nous laissons à nos proches.
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