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La fin de l'Empire romain d'Occident. Rome et les Wisigoths de 382 à 531

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Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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De l'écriture à la promotion, les auteurs se professionnalisent

Mis sur pied en 2017 par la Fondation pour l’Ecrit (FPEC), le programme destiné aux auteurs en début de carrière « De l’écriture à la promotion » a pour vocation d’offrir à ces jeunes plumes un aperçu complet des métiers du livre, un réseau, des témoignages de professionnels, ainsi qu’une connaissance du milieu littéraire et de la chaîne du livre.

Extraits

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Histoire ancienne

La fin de l'Empire romain d'Occident. Rome et les Wisigoths de 382 à 531

En étudiant les traditions diplomatiques de Rome avec ses voisins et sa politique envers les royaumes clients barbares jusqu'au IVe siècle, puis avec les chefs de ces peuples barbares qui demandent à s'intégrer, avec leurs soldats, dans la hiérarchie de l'armée romaine, cet ouvrage met en lumière une autre lecture des événements politiques et militaires du Ve siècle dans l'Occident romain, longtemps résumés par les visions catastrophistes de la chute de l'Empire romain et des grandes invasions. L'ouvrage s'intéresse tout particulièrement au devenir des Goths et parmi eux, à ceux qui vont devenir les Wisigoths du "royaume wisigothique de Toulouse puis de Tolède". L'évolution des relations des Wisigoths d'Alaric, le responsable du fameux sac de Rome en 410, et de ses successeurs avec le pouvoir romain est analysée tout au long d'une histoire de l'Italie, de la Gaule et de l'Espagne qui voit se succéder usurpations et rivalités politiques des aristocraties romaines, conquête de l'Afrique par les Vandales et volonté de contrôle de l'Empire d'Orient, intégration des contingents fédérés dans le dispositif militaire et capacité des noblesses barbares à mettre en place un nouvel ordre social et politique qui amorce, en 477, l'avènement des royaumes romano-barbares. Comment les élites romaines ont-elles affronté ces transformations radicales du monde romain tardif ? Comment les Barbares et Constantinople ont-ils conjointement mis en place le nouvel ordre du monde en Occident ? Cet ouvrage tente de répondre à ces questions en proposant une relecture politique du passage de l'Antiquité au Moyen Age.

12/2015

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Histoire ancienne

Atlas de Rome et des Barbares. La fin de l'Empire Romain en Occident (IIIe-VIe siècle), 2e édition

Pour la puissance impériale, les barbares sont des peuples inférieurs, à conquérir puis à intégrer. En Orient, le pouvoir romain doit défendre son territoire face à l'Empire perse sassanide et aux migrations des peuples germaniques, liées à l'arrivée des Huns après 370. En Occident, la puissance déclinante de Rome ne peut plus espérer détruire les supergroupes barbares (Wisigoths et Vandales) installés dans l'Empire. L'essor du christianisme permet un rapprochement entre Germains et Romains, et la création de royaumes romano-barbares (Gaule, Hispanie, Afrique...) scelle définitivement le sort de l'Empire d'Occident après 460, tandis que l'Empire d'Orient perpétue l'idée impériale autour de Constantinople. Plus de 100 cartes et infographies pour comprendre la chute de l'Empire romain d'Occident, l'un des éléments majeurs de la formation du monde européen ultérieur.

10/2018

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Histoire ancienne

Histoire du déclin et de la chute de l'Empire romain d'Occident

"Odoacre fut le premier prince barbare qui régna en Italie sur un peuple devant lequel avait justement fléchi l'univers. La chute des Romains excite encore en nous une compassion respectueuse, et nous nous sentons portés ã partager l'indignation et la douleur que nous supposons à leur postérité dégénérée. Mais les calamités de l'Italie avaient éteint peu à peu tout sentiment de gloire et de liberté. Tant qu'on avait vu subsister la vertu romaine, les provinces de la république étaient soumises à ses armes, et ses citoyens n'obéissaient qu'à ses lois : ces lois une fois anéanties par la discorde civile, la ville et les provinces devinrent l'humble propriété d'un usurpateur. Le temps et la violence anéantirent les formes de la Constitution, qui adoucissaient ou déguisaient la honte de l'esclavage ; les Italiens se plaignaient alternativement de l'absence et de la présence de leurs souverains, objets de leur crainte ou de leur mépris ; et durant cinq siècles successifs, Rome éprouva tous les maux que peuvent faire souffrir la licence militaire, les caprices du despotisme, et le système d'oppression le plus soigneusement combiné".

10/1994

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Histoire ancienne

Histoire du déclin et de la chute de l'empire romain. Tome 1, Rome de 96 à 582

C'est à Rome, le 15 octobre 1764, alors que je méditais dans les ruines du Capitole et que les moines chantaient vêpres, pieds nus dans le Temple de Jupiter, que l'idée d'écrire l'histoire du déclin et de la chute de la Ville éternelle se fit jour en moi pour la première fois. C'est par cette simple mais célèbre phrase que Gibbon relate dans ses Mémoires les instants d'inspiration qui devaient décider de sa vie d'historien. Son grand thème, c'est en effet Rome, la Ville éternelle où l'on peut contempler non pas les reliques de la superstition mais celles de l'empire ; c'est aussi la dégénérescence d'institutions exemplaires sous le double effet du despotisme et de la superstition ; c'est la victoire de l'Eglise sur l'empire ; c'est enfin les grandes leçons de l'histoire qui se méditent silencieusement quand les ténèbres gagnent les ruines où reste ensevelie une civilisation entière. Tout cela, Gibbon le dit en écrivain autant qu'en historien. En poète même. Il érige à la gloire de Rome un livre aussi rigoureusement équilibré qu'un temple antique ; mais en même temps, il laisse se noyer d'ombre les vastes portiques qu'il édifie. C'est sa façon de partager le goût du temps pour la mélancolie des ruines ; mais cette tentation ténébriste, il s'en sert pour exprimer son pessimisme dans l'avenir de la civilisation des Lumières, menacée, comme jadis celle de Rome, par la montée de masses humaines qui feront désormais l'histoire. Son livre s'en trouve approfondi, amplifié, et il élargit l'arène de l'histoire à des dimensions jusque-là insoupçonnées. Oeuvre unique dans la littérature historique du XVIIIe siècle, cette histoire de Rome jette les derniers feux de la clarté classique alors que s'allongent déjà les ombres du romantisme.

06/2010

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Histoire ancienne

Casques antiques. Les visages de la guerre, de Mycènes à la fin de l'empire romain

Apparu en Grèce à la fin du deuxième millénaire avant notre ère, le casque métallique n'a cessé de constituer depuis cette date un élément indispensable de la panoplie guerrière. L'évolution des casques se confond donc avec l'histoire des techniques, dans la mesure où cette arme défensive suit de près l'évolution des modes de combat. Leur examen précis, à travers ce livre très illustré, nous éclaire aussi sur d'autres aspects du guerrier grec ou gaulois, du cavalier ou du fantassin romain. Car le casque, couronnant le soldat, le représente aussi aux yeux de ses proches et à ceux de ses adversaires. Il revêt à ce titre un panache (cimier) qui souligne son rôle polyvalent dans l'équipement militaire. Tout en s'appuyant sur une connaissance approfondie des recherches menées depuis le XIXe siècle sur les casques antiques, l'auteur nous invite, loin des typologies et des descriptions arides, à décrypter derrière ces objets les multiples visages de la guerre.

04/2011

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Philosophie

Guerres invisibles : la fin du réel. Art et empire médiatique de l'Orient à l'Occident

Lieu de l'imaginaire, l'espace de l'esprit est le dernier territoire de la nouvelle colonisation de l'empire médiatique. Il s'agit des guerres invisibles qui, dans la désertification émotionnelle des réseaux, impliquent un univers réduit à l'oeil du spectateur. Halluciné, celui-ci se regarde dans le miroir du virtuel. La fin du réel se reflète dans la réalité intégrale d'un monde globalisé qui montre, par l'esthétique de l'horreur et de la déshumanisation, la crise de son propre modèle de développement. De quelle manière, l'art peut-il préserver la vision intérieure en tant que facteur potentiel de l'évolution de l'être humain ? Voilà la question que l'auteure se pose, en parcourant l'histoire de l'art de la seconde moitié du XXe siècle et en comparant entre eux l'Orient et l'Occident. Essentielle, dans ce cadre, est l'analyse des mouvements japonais Gutai et Monoha, en raison de leurs retombées sur l'art occidental et en tant qu'expression de la confrontation entre les deux cultures. Le premier chapitre de cet ouvrage approfondit les thèmes de la dématérialisation, notamment dans les années 1960-1970, et de l'absorption de l'art au sein du système économique (business art). Le deuxième chapitre propose une réflexion esthétique et critique qui relie la pensée orientale et le dualisme occidental autour des problématiques de la "vacuité" et de la "vision intérieure". Le troisième chapitre offre une double ouverture allant, d'un côté, vers les apports de la physique quantique aux réalités du multivers et, de l'autre, vers une redécouverte de l'actualité de la pensée des anciens, des philosophes et des initiés présocratiques.

06/2014

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