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L'économie morale. Pauvreté, crédit et confiance dans l'Europe préindustrielle

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Dossier

Prêt de livre en bibliothèque : l'avenir de l'ebook au sein de l'Europe

La question du prêt numérique de livres en France cache une autre interrogation : celle de l'exception au droit d'auteur, qui fut mise en place pour le livre papier. A cette époque, certains auteurs s'étaient opposés, considérant que le risque était trop grand. Aujourd'hui, plus personne ne remettrait en cause ce grand principe, d'autant plus qu'il est rémunérateur pour les auteurs.

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Le Salon Livre Paris 2019, l'Europe Porte de Versailles

Le salon du livre de Paris, le bien nommé Livre Paris, prendra encore une fois ses quartiers Porte de Versailles, du 15 au 18 mars 2019. Organisé par le Syndicat national de l'édition et Reed Expositions, ce salon du livre, un des plus importants de France, a centré sa programmation sur l'Europe pour sa 39e édition.

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Dossier

Roman, BD, documentaires, albums : la littérature jeunesse parcourt l'Europe

Qu’est-ce qui témoigne de la vitalité d’une littérature ? Dans ce cas-ci, celle de la littérature jeunesse au Québec. Est-ce le nombre d’éditeurs ? On en compte plus d’une soixantaine. Le nombre d’ouvrages publiés par année ? Il y en a plus de 400. Les prix dédiés à ses créateurs ? On en compte une bonne douzaine. Ou alors l’attrait de ses créateurs pour des éditeurs étrangers ?

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Dossier

Procès : un éditeur géant dans l'industrie américaine du livre

En novembre 2021, l’administration Biden décide d’interférer dans la transaction : le groupe Penguin Random House (propriété de Bertelsmann), s’apprête à sortir 2,175 milliards $ pour racheter Simon & Schuster (propriété de Paramount Global). Une concentration dans l’industrie du livre que combat le ministère de la Justice, dans un procès antitrust, au démarrage chaotique.

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Dossier

6 mythes sur l'environnement et l'écologie déconstruits

Tout le monde est vert ! De Justin Trudeau à Jeff Bezos, en passant par Coca-Cola et même Total ! L’écologie devient le nouveau sens commun. Ne devrait-on pas s’en réjouir ? Oui, et... non. Frédéric Legault, Arnaud Theurillat-Cloutier et Alain Savard publient Pour une écologie du 99%. 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme. Un ouvrage salutaire, qui aborde les plus grandes fake news en la matière. A mettre entre toutes les mains. 

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Dossier

Dans l'univers d'Harry Potter, la fantastique aventure de JK Rowling

Depuis maintenant une vingtaine d’années, les histoires du petit sorcier et de ses copains magiciens ont provoqué un véritable miracle. Traduite en plus de 80 langues, la saga Harry Potter est un monde en soi, dont les ramifications s’étendent au-delà de l’imaginable.

Extraits

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Histoire internationale

L'économie morale. Pauvreté, crédit et confiance dans l'Europe préindustrielle

L'air du temps, chez les économistes, les sociologues, voire les historiens, est à la réflexion : existe-t-il une alternative à cette forme nouvelle d'ensauvagement qu'est devenu le libéralisme économique, pour lequel tout peut désormais s'échanger, y compris la vie, comme des biens ordinaires ? Réponse la plus courante : le retour à l'économie du don et le développement du microcrédit, observé dans les pays du tiers monde. Aidant les êtres à se désengluer de la misère plutôt qu'à faire fructifier l'argent sur le marché de la spéculation financière, le microcrédit est aujourd'hui paré des atours d'une économie morale, parce que solidaire. Ces deux formes d'activité économique ont déjà existé dans l'Europe moderne. L'économie, fondée sur la confiance et le crédit, est alors encastrée dans des enjeux sociaux qui la dépassent. Loin de consolider un cloisonnement, le crédit et sa toile embrassent toutes les hiérarchies - groupes sociaux, institutions et régions - dans des dépendances où chacun - les hommes et les femmes selon des modalités spécifiques - se trouve être à la fois prêteur et endetté. Se tissent ainsi des réseaux d'obligations en cascade, donc de pouvoir, dans les espaces géographiques et sociaux les plus variés. La relation de confiance entre créanciers et débiteurs, prêteurs et emprunteurs, constitue un lien social fondamental. Deux cultures économiques - la féodale et la capitaliste - se côtoient, chacune portée par des valeurs spécifiques, s'affrontent mais également s'influencent au point de se transformer. Restituer le champ des expériences possibles ou communes rend, du même geste, les multiples tensions qui traversent les sociétés : au niveau collectif, entre des sociétés d'ordre et de statut et le développement parallèle de rationalités économiques ; au niveau individuel, entre les exigences contradictoires des diverses appartenances des individus, leurs aspirations et la réalité éprouvée de leur expérience ordinaire. Des allers-retours entre hier et le plus contemporain, servis par le sens de l'exemple, de l'anecdote et de la narration, Laurence Fontaine en use à la manière de Marc Bloch - comme d'une baguette de sourcier -, pour l'intelligence de la réalité passée, telle qu'elle peut être reconstituée, et la préfiguration utopique d'un univers plus humain.

09/2008

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Philosophie

Confiance, croyance, crédit dans les mondes industriels

Au moment où le consumérisme s'écroule, un nouveau monde industriel est en train d'apparaître, qui nécessite de nouveaux types d'investissement, sans rentabilité à court terme, et par rapport auxquels l'ancien modèle résiste. Cet ancien modèle est celui qui a produit Fukushima avec Tepco, c'est aussi le modèle de Servier, c'est le modèle de Goldman Sachs qui a tué la Grèce moderne, c'est le modèle de pseudosystèmes de "crédit" et "d'investisseurs" qui sont devenus des dispositifs de spéculation sur la dette, c'est-à-dire de destruction de l'investissement. Dans ce contexte, comment penser dans le nouvel âge de l'inquiétude qui semble commencer en ce début de XXIe siècle ? Telle est la question que pose Bernard Stiegler en ouverture de cet ouvrage consacré à la confiance, à la défiance, au crédit et à la technologie dans les mondes industriels. Des contributeurs prestigieux - chercheurs, philosophes, historiens, sociologues, prospectivistes - proposent une étude sans concession des notions de confiance et de crédit, et de leurs fondements politiques, économiques, financiers, philosophiques, sociaux, industriels et technologiques. Ils en analysent toutes les transformations dans le contexte actuel de crise et de développement du numérique. Enfin, ils explorent les principes et les conséquences des nouveaux outils qui pourraient soit recréer la confiance, soit aggraver la défiance - faute d'une politique publique appropriée, par exemple en matière d'ouverture des données publiques, d'évaluations par les pairs, de réputation et de légitimité par l'action au sein d'une économie de contribution rompant véritablement avec le modèle consumériste.

08/2012

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Economie

L'économie de la confiance

Plus que jamais, la confiance est partout dans le débat public : "personne de confiance", "école de la confiance", "société de confiance", etc. Mais, trop souvent, la confiance est incomprise et instrumentalisée. Comment appréhender l'importance de cette notion complexe dans le système économique, social, politique, médiatique ? Quelles en sont les différentes définitions et les diverses formes ? Peut-on vraiment mesurer la confiance et, si oui, comment ? Quels en sont les causes supposées et les effets attendus ? Quel est l'état véritable de la confiance en France ? En répondant à toutes ces questions à la lumière des auteurs classiques et des travaux les plus contemporains, cet ouvrage veut autant informer et instruire les lecteurs que les mettre en garde : la confiance, clé de la coopération sociale, n'est ni bonne en soi ni bonne à tout. Elle ne permet ni de tout comprendre ni de tout régler dans les sociétés humaines et dans les économies. Comme il y a de bonnes et de mauvaises confiances, il y en a de bons et de mauvais usages.

06/2019

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Economie (essai)

Retrouver la confiance en l'économie

"Dans cette période d'incertitudes lourdes, jamais notre besoin de confiance n'a été aussi fort. Mon objectif avec ce livre est de dire pourquoi nous devons et comment nous pourrions retrouver confiance en l'économie. L'économie doit être au service des hommes et contribuer à notre bien-être, à nos projets, à la justice sociale et à l'exigence environnementale. Oui, on peut encore agir et avancer dans la France et l'Europe d'aujourd'hui. Notre pays a plus d'atouts qu'il ne le croit". F. V. G.

02/2021

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Economie

L'économie est une science morale

En octobre 1998, le prix Nobel d'économie a, pour la première fois, été attribué à un économiste issu du tiers monde et spécialiste internationalement reconnu des questions de développement. Encore mal connu du grand public, Amartya Sen est un économiste inclassable. Philosophe et, par-dessus tout, humaniste, il s'est efforcé de montrer que l'analyse économique traditionnelle était incapable de penser la diversité des comportements humains et qu'il était nécessaire d'y introduire des considérations politiques, sociales et, surtout, éthiques. Ses travaux sur la famine et la grande pauvreté l'ont ainsi conduit à s'interroger sur le rapport entre liberté individuelle et égalité sociale, entre démocratie et développement économique ainsi que sur le rôle de l'Etat dans la redistribution des richesses. Les deux textes rassemblés dans ce livre constituent une introduction à l'œuvre d'Amartya Sen. Le lecteur y découvrira une réflexion vive et stimulante, nourrie d'expériences personnelles et d'exemples concrets, d'un économiste atypique qui, sans cesse, nous rappelle que l'économie est avant tout au service du bien-être de tous.

03/2003

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Sciences politiques

L'économie morale des élites dirigeantes

Le petit monde des élites semble regorger de "moutons noirs" , politiciens et chefs d'entreprise qui ne craignent pas de bafouer les règles de la probité et les normes communes. Qu'ils s'appellent Cahuzac, Fillon, Sarkozy, Ghosn ou Tapie, il n'est guère de semaine sans que l'un de nos dirigeants soit désigné à la vindicte, la chronique de leurs démêlés judiciaires venant alimenter l'idée qu'ils sont "tous pourris" . Selon Pierre Lascoumes, des facteurs structurels expliquent la permanence des pratiques transgressives des élites : d'un côté, en tant que détentrices du pouvoir, elles énoncent des principes généraux qui s'imposent aux gouvernés ; de l'autre, elles ont la maîtrise de procédures dérogatoires (Cour de justice de la République, arbitrage, etc.) qu'elles ont elles-mêmes établies pour protéger leurs intérêts et positions. Un vaste répertoire de justifications relativise au besoin leurs infractions, évacuant les responsabilités et requalifiant les fautes intentionnelles en erreurs excusables. Le tout renforcé par la faiblesse des sanctions institutionnelles, en particulier judiciaires. Pierre Lascoumes est directeur de recherche émérite du CNRS au Centre d'études européennes et de politique comparée de Sciences Po (CEE). Il est notamment l'auteur, avec Carla Nagels, de Sociologie des élites délinquantes (Armand Colin, 2018, 2e éd.).

02/2022

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