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Jours de guerre. Tome 4, 1917

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Dossiers

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Dossier

La Comédie du livre 2023 : 10 jours de lectures à Montpellier

Créée en 1986, la Comédie du Livre est un des rendez-vous majeurs de la vie littéraire en France, qui réunit chaque année près de 250 auteurs et 70 000 visiteurs à Montpellier. Ces dix dernières années, sa programmation dédiée aux littératures françaises et étrangères, à l'édition indépendante de création littéraire et à l'émergence de nouveaux talents lui ont permis de conquérir de nouveaux publics.

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Dossier

La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edith Wharton

Née en 1862, Edith Newbold Jones, mieux connue sous le nom Edith Wharton, a résolument marqué l'histoire de la littérature : elle fut ainsi la première femme à obtenir le Prix Pulitzer du roman, pour Le temps de l'innocence, publié en 1920. Après une enfance européenne, elle retourne à New York avec sa famille, qui jouit d'une situation très aisée.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Marcel Proust

Marcel Proust (1871-1922), réputé pour son style tortueux, reste l'un des écrivains français les plus célèbres du XXe siècle, grâce à une œuvre monumentale, À la recherche du temps perdu, constitué de 7 tomes publiés entre 1913 et 1927. Œuvre mémorielle par excellence, construite à partir des souvenirs de Marcel Proust et de récits glanés çà et là, La Recherche traverse les époques et les lieux.

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Dossier

Le Salon du livre de Turin 2021, le grand Salto

Le Salon du livre de Turin se tient du 14 au 18 octobre 2021, au Lingotto. Il sera précédé par une initiative inédite : au printemps, en ligne et en présentiel, les festivals Portici di Carta (Turin), Libri Come (Rome) et Lungomare di libri (Bari) seront réunis pour une grande fête !

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Dossier

Le Syndicat national de l'édition (SNE)

Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.

Extraits

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Première guerre mondiale

Jours de guerre. Tome 4, 1917

Quel est cet article surprenant publié par Le Courrier de la Manche le 14 janvier à Saint-Lô ? Quelle est donc cette affaire que le général Ludendorff a réglée le 7 avril à Zurich ? Comment, le 11 avril, le lieutenant William Watson retrouve-t-il son frère à Bullecourt ? Pourquoi le 12 avril, à Vimy, le Brigadier-général A. E. Ross dit-il avoir assisté à une naissance importante ? Qui est Maria Oulianova, cette femme qui, le 15 avril, vient de recevoir à Petrograd le télégramme n°148 ? Pourquoi l'abbé Pinte n'aurait-il pas dû se " confesser " le 17 avril à Roubaix ? Sur quoi Aouda Abou Tayi s'est-il cassé les dents fin avril près de El Ouedj ? Le général Plummer aime-t-il à ce point le vermouth pour vouloir en boire à Poperinge, le 7 juin à 3 h 10 du matin ? 19 juin à Châlons-sur-Marne : Antoine Hartmann domestique et/ou héros ? Pourquoi le 20 août, à Fresnes, Miguel Almereyda n'avait-il pas l'âme d'un viguier ? Comment le 15 novembre à Moscou, Mouralov, simple soldat, a-t-il pu prendre les commandes ? Pourquoi l'adjudant Girard avait-il, hélas, raison le 12 décembre à 23 h 04 à Saint-Michel-de-Maurienne ?

02/2021

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BD tout public

Putain de guerre ! Tome 1 : 1914-1915-1916

Du fond de nos tombes, on a compris qu'on était là pour un long moment. Les Alboches n'étaient pas décidés à rentrer chez eux et on était encore assez loin de Berlin. Pour Noël, la trêve a tourné en fraternisation, surtout entre les Anglais et les Allemands. Ca partait d'un bon sentiment. Quelques heures à s'échanger des clopes et des bonbons, avant de retourner chacun dans son trou pour recommencer à s'entretuer. Moi, tout ce que je comprenais, c'est qu'on s'installait dans la guerre.

11/2008

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BD tout public

Putain de guerre ! : 1917-1918-1919. Avec 1 DVD

La guerre nous brûlait les boyaux et, dans la puanteur de nos existences dérisoires, je me cramponnais à un espoir : rentrer à la maison, qu'on la perde ou non cette guerre qui n'est pas la mienne ! Comment faire pour ne pas se retrouver dans une de ces fosses communes creusées par des corvées de Tonkinois ?

10/2009

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Religion

A nos morts ignorés. Les musiciens et la grande guerre XV

Reynaldo Hahn A nos morts ignorés (1915) Rudi Stephan (1887-1915) Pantherlied / In Nachbars Garten / Am Abend / Abendlied Albert Roussel Light / A Farewell (1918) André Caplet La Croix douloureuse (1916) / Détresse (1918) Ivor Gurney In Flanders / Severn Meadows / All night under the moon (1917) Claude Debussy Berceuse héroïque (1914) Fernand Halphen (1872-1917) Le jour succombe Lili Boulanger (1893-1918) Dans l'immense tristesse (1918) Nadia Boulanger Soir d'hiver (1914-1915) Georges Antoine Wallonie (1917) Marches Oh what a lovely war (1917), Roses of Picardy (1916) Quelle diversité d'expression - littéraire et musicale - dans ces mélodies de la Grande Guerre : elles sont parfois détachées de toute actualité (Stephan, Halphen, Roussel) ; ou elles évoquent les événements tragiques, implicitement (Lili Boulanger) ou avec des tonalités diverses : nostalgique (Gurney, Antoine), mélancolique (Debussy), pathétique et révoltée même chez Caplet tandis que Reynaldo Hahn recherche l'apaisement.

11/2015

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Pléiades

Journaux de guerre. Tome 1, 1914-1918

Tome I : "Un jeu magnifique et sanglant auquel les dieux prenaient plaisir" : on songe à Homère et à la guerre de Troie ; c'est 14-18 vue par Jünger. L'idée que des hommes aient pu consentir librement à une telle épreuve est presque scandaleuse aujourd'hui. On préfère penser que les combattants furent des victimes et souligner ce que leur héroïsme doit à la contrainte. Alors Jünger, évidemment, dérange. En 1920, Orages d'acier décrit une expérience des limites dont il a clairement consenti à payer le prix. Un jeu de vie ou de mort, comme une partie de chasse, mais dotée d'une justification morale : chasseur et gibier échangent constamment leur rôle. Jünger, qui n'est pas un fou, ne nie pas que la guerre soit terrible. Simplement, il montre qu'elle transforme l'homme de l'intérieur autant qu'elle l'agresse de l'extérieur. Sous le feu, il prenait des notes. Entre ces notes et les livres, "il y a toute la distance qui sépare l'action de la littérature". Littérature : il s'agit de cela, plus que d'histoire. C'est l'essence anhistorique de la guerre éternelle que Jünger découvre sur le front et consigne dans son journal. En joignant aux versions définitives un choix de textes et de fragments retranchés, ce volume prend en compte les journaux de Jünger dans toute leur complexité. Tome II : 1939. Mobilisé par un régime qu'il déteste, Jünger est à nouveau sous l'uniforme. Ce n'est plus le même homme, ni la même armée. L'expérience, elle aussi, sera différente. Après une campagne au cours de laquelle il n'est jamais en première ligne, et à part une mission dans le Caucase comme observateur, il est un occupant à Paris, puis le chroniqueur d'un coin d'Allemagne occupée. Les journaux de la Première Guerre s'organisaient en grands chapitres ; ceux de la Seconde sont datés au jour le jour. Dans un décousu apparent et très concerté, ils font place à des notations sur les opérations militaires, à des rencontres avec écrivains et intellectuels, à l'examen de soi, des hommes et de la nature, aux amours, aux rêves, aux lectures. Jünger lit notamment la Bible ; le christianisme devient pour lui un allié contre le nihilisme triomphant. Sans dissimuler son hostilité aux nazis et à l'antisémitisme officiel (il lui arrive de saluer militairement les porteurs de l'étoile jaune), il reste à son poste et n'attaque pas le régime de front. On parle d'émigration intérieure pour qualifier cette position complexe, que les contempteurs habituels de Jünger simplifient à l'envi. Hannah Arendt était plus nuancée. Tout en constatant les limites de cette attitude, elle voyait dans les journaux de l'occupant Jünger "le témoignage le plus probant et le plus honnête de l'extrême difficulté que rencontre un individu pour conserver son intégrité et ses critères de vérité et de moralité dans un monde où vérité et moralité n'ont plus aucune expression visible".

02/2008

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Histoire de France

Cahiers de guerre. Tome 1 (1914-1918)

Auguste Vonderheyden, ancien combattant de la guerre de 1870 côté français, se retrouve en 1914 dans la position du vétéran qui commente le conflit. Son fils aîné, Henri, jeune lieutenant de 29 ans, Saint-Cyrien, meurt lors du premier mois de la guerre. Malgré le drame son père suivra les opérations militaires avec régularité, acuité et parfois même une « vision prophétique « des événements. A travers ses écrits personnels l’auteur se révèle un observateur informé et un père animé par la douleur profonde d’avoir perdu un fils. Un témoignage passionnant et poignant.

04/2016

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