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Etats et cinéma en Afriques francophones. Pourquoi un désert cinématographique ?

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Dossier

Livres et jeux éducatifs : My Bulle Toys, un libraire en Floride

La librairie My Bulle Toys, située près de Miami, propose une sélection de livres et de jeux éducatifs pour enfants en français. Nicolas Pacaud, le propriétaire de la librairie, a choisi d'ouvrir cette boutique en raison de sa passion pour la littérature jeunesse et les jouets pour enfants. 

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Dossier

Poésie, musique et légendes : découvrir l'Afrique

Continent exploité des siècles durant, berceau de l’humanité, mais également terre de mystères et de fascination : l’Afrique, complexe et plurielle, offre au lecteur mille raisons de s’émerveiller. Et peut-être autant de prendre conscience de ce que la civilisation occidentale a pu exercer d’influence et de dégâts. Voici dix ouvrages, sans prétention à l’exhaustivité, pour aborder ces mondes, autrement.

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Dossier

Lire en Poche 2022 : Un autre monde

Rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire, Lire en Poche, organisé par la ville de Gradignan, accueille près de 27.000 visiteurs et plus de 100 auteurs, dont un tiers d’auteurs jeunesse qui rencontre son public également dans le cadre scolaire. L'édition 2022 se déroule du 7 au 9 octobre.

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Dossier

Hold-up 21: Un voyage littéraire et photographique du désir

Vingt femmes extraordinaires, couvrant des horizons aussi vastes que la réalisation, la poésie, le journalisme et la chorégraphie, se sont rassemblées autour d'une mission : revaloriser l'érotisme dans la littérature tout en intégrant les perspectives féministes actuelles.

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Dossier

Etats généraux du livre : les auteurs à la recherche d'un meilleur avenir

Le 22 mai se tiendront les États généraux du livre. Parce que les auteurs ont cruellement besoin d’être entendus. Des réformes sociales pointent le bout de leur nez, et, au pays de l’exception culturelle, les artistes auteurs ne sont ici que quantité négligeable.

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Dossier

États généraux des Festivals et des Salons du livre

Les 16 et 17 mars 2023, à la Maison de la Poésie, se tiendront nombre de débats organisés par La Sofia. Au cœur des échanges, la vie, l’organisation et les problématiques que rencontrent les événements littéraires en France. Deux journées dont les débats sont à réécouter, en intégralité.

Extraits

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Cinéma

Etats et cinéma en Afriques francophones. Pourquoi un désert cinématographique ?

Si de très nombreuses tentatives d'organisation embryonnaire d'une industrie cinématographique ou audiovisuelle ont pu être menées dans les pays d'Afrique francophone depuis leurs indépendances, en 2020, sur la vingtaine de pays concernés, plus de la moitié ne possèdent au plus qu'une seule salle de cinéma en activité, et rares sont ceux qui arrivent à produire et distribuer régulièrement ne serait-ce qu'un film par an. Production, distribution, exploitation des films, mais aussi industries techniques n'ont jamais existé que dans une minorité de ces pays. Que s'est-il donc passé ? Ou plutôt, que ne s'est-il pas forgé, dans aucune des anciennes colonies françaises et belges pour que, au-delà des grandes différences géographiques, climatiques, démographiques, culturelles, religieuses, de richesses des sols et sous-sols, qui constituent ces ensembles apparemment très dissemblables sur ce continent, on retrouve partout un tel désert cinématographique et, souvent, audiovisuel ? Pour expliciter ce phénomène, la culture dominante héritée de l'ancienne métropole pointe la responsabilité des Etats. Et le dynamisme audiovisuel de la zone anglophone, soumise à un autre droit et à une autre conception des marchés, étonne et détonne, et cela bien au-delà d'un Nigeria dont le secteur emploie déjà plusieurs centaines de milliers de personnes. Pour tenter de comprendre le phénomène, dix-huit auteurs de quinze nationalités différentes en retracent l'histoire et les cheminements depuis 1960, posant des jalons sur cette question peu traitée du rôle des Etats africains francophones vis-à-vis de leur filière cinématographique nationale.

09/2020

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Cinéma

Festivals de cinéma en Afriques francophones

Les festivals de cinéma constituent un phénomène en forte croissance, tant dans le monde entier que sur le continent africain, ici spécifiquement dans les pays francophones. En s'appuyant sur de nombreux cas concrets, la variété des situations et contraintes transparaît nettement. Puisqu'il n'existe pas de norme internationale pour les encadrer ou les protéger, n'importe qui peut utiliser cette appellation de festival comme il l'entend. Et pourtant certains pays, comme l'Algérie, en réservent strictement l'intitulé à ceux initiés par l'Etat, tandis qu'au contraire, son voisin immédiat, le Maroc, les facilite et en soutient financièrement l'implantation à travers tout le pays, des plus grandes villes aux villages reculés. A contrario, dans la quasi-totalité de l'Afrique sud saharienne francophone, des pays sans cinématographie constituée, sans industrie et qui souvent n'abritent plus de salle de cinéma, sans aucun soutien de leurs Etats, les festivals sont initiés par des cinéphiles ou des professionnels soucieux de, simplement, pouvoir montrer leurs oeuvres. Les enjeux sont nettement moins symboliques que dans les festivals prestigieux du nord et beaucoup plus pragmatiques : ils sont souvent vitaux pour les films et leurs auteurs pour lesquels il s'agit d'abord de se montrer et exister, avant de tenter d'émerger si ce n'est de vivre de leur métier. Mais dans ces pays qu'est-ce qu'un festival de cinéma ? Ne doit-on pas s'interroger sur ce qu'est aujourd'hui le cinéma dans une région du monde qui ne possède pas, ou plus, de salles de cinéma, pas plus que d'industrie de l'audiovisuel, ni de législation l'encadrant voire le définissant ?

02/2020

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Sociologie

La sociologie francophone en Afrique. Etat des lieux et enjeux

Entre le moment où Boubakar Ly, le grand sociologue sénégalais dont le témoignage figure en exergue de cet ouvrage, suivait les cours de Georges Gurvitch en Sorbonne, et celui que nous vivons, plus de cinquante ans se sont écoulés. Un laps de temps suffisamment long pour que l'on se réinterroge de nouveau, comme l'avait fait Gurvitch, dans La vocation actuelle de la sociologie, sur les enjeux de la sociologie, sans se limiter, ainsi qu'on le faisait dans les années cinquante du siècle dernier, à l'espace occidental. Car la sociologie aujourd'hui n'existe pas uniquement dans celui-ci. Elle a maintenant droit de cité en Afrique. En dépit de tous les obstacles liés d'abord à la période coloniale, ensuite à l'instauration de régimes autoritaires ainsi qu'aux problèmes sociaux et économiques, l'enseignement et la recherche se sont développés de manière significative dans presque tous les pays francophones. Mais cette réussite a ses exigences. La croissance du nombre des étudiants rend nécessaire une réflexion sur la possibilité de les professionnaliser en dehors de l'enseignement et de la recherche. La multiplication de terrains africains dans un contexte de développement oblige à réfléchir à la manière dont peuvent s'articuler et se compléter recherche pure et recherche appliquée, et d'une façon plus générale, sur ce que peut être la contribution de la sociologie ou, même, si l'on accepte de ne pas s'enfermer dans les frontières disciplinaires, de la " socioanthropologie " à la dynamique sociale. En ce qu'il fait un état des lieux de la sociologie en Afrique francophone et tente de répondre aux questions cruciales qui se posent aujourd'hui aux sociologues, cet ouvrage, dont les auteurs sont à la fois des sociologues africains et des sociologues francophones de divers pays, constitue une référence indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à la sociologie et à son rôle dans le monde actuel.

01/2010

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Cinéma

Production et financement du cinéma en Afrique sud saharienne francophone (1960-2018)

Après un demi-siècle erratique, la production des films et oeuvres audiovisuelles connaît dans les anciennes colonies françaises d'Afrique sud saharienne une effervescence qui la portera très haut. Eloignées des process conventionnels et ne disposant pas de moyens, notamment financiers, des industries du nord, il convenait de mieux connaître les contraintes et conditions d'exercice du métier de producteur en cette région. Une analyse critique des principaux dispositifs de coopération et coproduction, français et européens, montre l'influence positive mais également l'impact structurellement destructeur qu'ils ont pu avoir jusqu'à présent. Après avoir questionné les critères et définition de cette production cinématographique, l'ouvrage recense l'ensemble des longs métrages produits depuis les indépendances, et en livre certaines caractéristiques économiques. Il donne également la parole à vingt-deux producteurs africains de tous les pays concernés, réputés ou encore inconnus. Souvent livrés pour la première fois, les points de vue de ces artistes-entrepreneurs permettent de cerner comment les moyens sont mobilisés pour qu'advienne une oeuvre, aujourd'hui essentiellement destinée à l'audiovisuel mais peut-être aussi, bientôt, cinématographique. Il constitue le premier volume d'une histoire économique du cinéma en Afrique sud saharienne, d'autres portant sur les salles de cinéma ou le rôle de l'Etat.

12/2018

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Cinéma

Pratiques et usages du film en Afriques francophones

Quatre enquêtes de terrain menées auprès de 3 000 personnes dans deux pays d'Afrique du Nord (Marocn Tunisie) et deux du Sud du Sahara (Tchad, Togo), à partir d'un questionnaire commun avec des adaptations locales, posent un jalon dans une réflexion sur les rapports que ces publics entretiennent aujourd'hui avec les films en Afriques. L'analyse permet de rendre compte des oeuvres vues, par quels moyens dans différents contextes, et de questionner les usages, les sociabilités qu'ils suscitent, les cultures de films qui en découlent, etc. Il s'agit ainsi d'interroger le statut du film dans le jeu de l'offre et de la demande de productions audiovisuelles dans les pays concernés, la place de la production locale sur des marchés longtemps dominés par les productions audiovisuelles occidentales. Ce volume est un approfondissement des premiers résultats d'enquête publiés dans Regarder des films en Afriques (Presses universitaires du Septentrion, 2017). Contributeurs : Mariam Aït Belhoucine, Patricia Caillé, Claude Forest, Lamia Guiga, Jean-Pierre Kila Roskem, Patrick Ndiltah.

09/2019

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Cinéma

Les salles de cinéma en Afrique sud saharienne francophone. (1926-1980)

L'apparition et le développement du cinéma en salles dans les colonies d'Afrique occidentale et équatoriale française sont essentiellement du fait de Français, notamment à la direction de l'entreprise qui a rapidement su dominer toute la filière cinéma, la Comacico. Son histoire se confond largement avec celle de son fondateur et dirigeant, Maurice Jacquin, qui bâtit cet empire cinématographique multinational, usant avec ingéniosité de l'organisation commerciale comme de l'optimisation fiscale pour son réseau de sociétés africaines de cinéma durant la colonisation, puis encore une douzaine d'années après les indépendances. Dominant l'importation et la diffusion des films avec un autre groupe d'entreprises, la Secma, la connaissance précise de ces deux circuits, ici révélée pour la première fois, s'avère indispensable pour comprendre leurs fonctionnements et ce qui s'est véritablement produit sur ces marchés, vastes comme treize fois la France. Sur ordre de Valéry Giscard d'Estaing, elles finiront par être rachetées en 1973 par un groupe conduit par l'UGC, avec le soutien politique et financier de l'Etat français, les trois centaines de salles étant ensuite rapidement revendues aux Africains. Sept ans plus tard, ce sera au tour de la distribution de la totalité des films, hélas prélude immédiat à un effondrement extrêmement rapide de l'ensemble de la filière cinéma sur la zone. Néanmoins la compréhension des évènements de cette décennie cruciale, ici décrits avec détail et précision, permet seule de savoir pourquoi la disparition des intérêts français, réclamée véhémentement par les réalisateurs africains, signera en réalité la mort des salles de cinéma dans tous leurs pays, et l'impossibilité d'amorcer une production pérenne de films. Leur fédération, la Fepaci, sera sur toute l'Afrique francophone sud-saharienne le procureur involontaire de cette condamnation à mort du cinéma prononcée à Alger en janvier 1975, le Consortium interafricain de distribution cinématographique (CIDC) en étant le fossoyeur huit ans plus tard, la quasi-totalité des dirigeants des Etats africains concernés tenant de fait la main armée du bourreau.

11/2019

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