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Agnès Rosenstiehl

Extraits

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Première bibliothèque rose

Mimi Cracra sous la pluie

Y'a de l'eau qui tombe du ciel ? Alors, vite, on sort ! Mimi Cracra ne rate pas une goutte ! Car dans le jardin, c'est tout un petit monde trempé qui n'attend que Mimi pour s'amuser sous la pluie.

09/2024

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Première bibliothèque rose

Mimi Cracra dans le grand bain

Y'a de l'eau dans cette énorme baignoire ? Alors, vite, on plonge. Tout le monde dans le grand bain avec Mimi Cacra ! Ma parole, on se croirait dans une piscine ! Ou même au bord de la mer !

09/2024

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Première bibliothèque rose

Mimi Cracra en cuisine

ça sent bon clans cette cuisine ! On dirait que c'est l'anniversaire de Nounours ! Alors, faut faire un gâteau... Cuiller à la main,. Mimi Cracra met son grain de sel dans toutes les casseroles.

09/2024

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Autres personnages

100 aventures de Mimi Cracra

Retrouvez une nouvelle édition des 100 aventures de Mimi Cracra. Une véritable anthologie ! Mimi Cracra s'en donne à coeur joie ! Le sucre, la neige, l'eau, le sable, le savon, l'herbe, les fleurs, la pluie, les bêtes, la mer, elle aime tout ça ! Retrouvons-la donc, pour chacun de ces thèmes, dans 10 petites histoires !

02/2023

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Albin michel

Faut savoir dire non !

Parler de consentement dans un livre pour les jeunes enfants : oui, mais comment ? Avec légèreté - c'est possible - et sérieux - il le faut ! Ici, dans la banalité des scènes du quotidien, les mots d'enfants, pétillants et impertinents, sont toujours justes. La verve et l'audace d'Agnès Rosenstiehl n'y sont pas pour rien ! Un livre essentiel dès la maternelle, pour apprendre à choisir, obéir, consentir, à dire oui souvent... ou non, ça dépend !

02/2023

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Non classé

Ne les laissez pas lire !

Si la lecture apparaît comme une valeur refuge dans l'éducation des enfants, les livres qui leur sont destinés ne font pas toujours l'unanimité. Les discours actuels, de plus en plus impérieux, le confirment, et le débat reste ouvert : où s'arrête la liberté d'expression en regard des impératifs liés à la protection de l'enfance, où commence la censure ? La censure appliquée au livre pour enfants En préambule, Jean-Yves Mollier rappelle qu'au XIXe siècle, au moment même où se constitue une littérature pour la jeunesse, l'Enfant représente, de la même manière que la Femme ou le Peuple, une catégorie sous surveillance, perméable par nature à l'influence néfaste des mauvaises lectures. L'abbé Bethléem (dont les archives sont conservées à la bibliothèque de l'Arsenal) joue un rôle considérable dans la campagne menée dans la première moitié du XXe siècle contre les journaux licencieux et les illustrés pour la jeunesse (Anne Urbain). Ce sont en effet ces illustrés, français (L'Epatant) puis américains (Le Journal de Mickey), qui concentrent dans un premier temps les attaques des censeurs, dont les arguments d'ordre moral ou esthétique constituent paradoxalement l'un des premiers discours critiques sur la bande dessinée (Sylvain Lesage). La même accusation de propager, par l'exemple, la criminalité juvénile se retrouve dans les discours à l'encontre du cinéma (Roxane Haméry). En France s'est mise en place, en juillet 1949, une législation qui encadre les publications à destination de l'enfance et de l'adolescence, qui " ne doivent comporter aucune illustration, aucun récit [... ] présentant sous un jour favorable le banditisme, le mensonge, le vol, la paresse, la lâcheté, la haine ou tous actes qualifiés crimes ou délits ou de nature à démoraliser l'enfance ou la jeunesse ". Dans le même temps, aux Etats-Unis, est apparue, selon des modalités un peu différentes, la Comics code authority qui régira pendant des décennies la publication des comics américains (Jean-Paul Gabilliet). Le tournant de mai 1968 Mai 1968 bouleverse le paysage bien ordonné de l'édition pour la jeunesse, en initiant un mouvement de libération de l'enfance opprimée par la famille, l'école, et le monde des adultes en général, dont le Petit livre rouge des écoliers et des lycéens, traduit et publié en France par François Maspero en 1971, est emblématique (Sophie Heywood). La plongée de Bernard Joubert dans les archives de la Commission de surveillance des publications pour l'enfance et l'adolescence, instaurée par la loi de juillet 1949, est riche d'enseignements sur la manière dont celle-ci examine au fil du temps les publications pour la jeunesse. Au-delà de la loi et de son application, de moins en moins restrictive, les pressions exercées sur le livre pour enfants restent multiples, qu'elles viennent des responsables politiques ou des parents, et s'expriment tout particulièrement dans les bibliothèques publiques (Véronique Soulé). La parole est aussi donnée aux acteurs de cette histoire contemporaine, à un éditeur (Thierry Magnier) et à des créatrices (Agnès Rosenstiehl et Katy Couprie). Laissez-les lire ! Du XIXe siècle à aujourd'hui, les discours à l'encontre des mauvaises lectures sont révélateurs des angoisses du temps, et des permanences des interdits liés prioritairement à la violence et à la sexualité, dont le livre pour enfants, territoire doublement sanctifié, devrait être protégé à tout prix. " Ne craignons pas trop vite de traumatiser les enfants. Le danger est bien plus grand dans ce qui est mièvre et ennuyeux que dans ce qui est trop fort dans sa vérité " disait pourtant Geneviève Patte dans Laissez-les lire ! en 1978... Rubriques : " Autour d'une oeuvre " mène l'enquête à propos d'un mystérieux jeu de tarot vénitien ; La " Découverte " se penche sur le ballet que Roland Petit (1976) consacre à Nana ; La rubrique " Portrait " autour de Judith Gautier ; La rubrique " Innovation " consacrée au livre augmenté ; Le récit de Nathalie Kuperman en " Résidence " à la BnF

03/2020

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