Juillet 2010, Christopher Hitchens annonçait au monde entier que finalement, c'est Dieu qui avait eu le dernier mot. Atteint d'un cancer, le romancier athée féroce décédait quelques jours avant Noël. Contrairement à Desproges, que Hitchens n'aurait probablement pas désavoué, il ne fit pas partie de ceux qui, grâce à la médecine, peuvent « profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans »…