Le poison, distant, discret ; le couteau, personnel, voire intime ; le char d’assaut, un chouia bruyant, peut-être. L’apprenti meurtrier dispose d’une vaste panoplie pour accomplir son forfait. Or, l’outil n’est rien sans mobile – en ce cas, la gratuité du geste nécessite une splendeur d’exécution. Puis, vient l’alibi – cette gousse d’ail qui repousse non les vampires, mais les enquêteurs. Et puis une victime, bien entendu.