souvenirs deuil

BONNE FEUILLES - « Tout n’était qu’illusion. Un masque que Victoire attachait sur son visage au début de la journée pour se convaincre qu’elle était capable de mettre un pied devant l’autre. Mais au fond, lorsque la nuit arrivait, il se fracassait en mille morceaux. »

BONNES FEUILLES - En marge d’une civilisation déchue, une femme sans passé fait corps avec la forêt pour assurer sa survie. Survivre à tout prix est harassant. C’est une surveillance constante, une discipline qui laisse peu d’espace à la sensibilité. Elle en a assez. Quand les probabilités sont contre vous, l’unique règle consiste à ne pas lutter en vain, question d’élégance. Accepter la défaite, accueillir la vie qui vient et laisser le courant glisser sur vous jusqu’à ce qu’il se lasse.

BONNES FEUILLES - La maladie c'est comme un deuil. On passe par plusieurs étapes avant le stade de l'acceptation. Enfin, seulement si on survit jusqu'à-là...

#QuebecAmerique - Avis aux amateurs de voyages, de cuisine et de bien-être : Jackie Kai Ellis semblait avoir une existence idéale, celle dont rêvent beaucoup de femmes, y compris elle-même : jeune, avec un mari charmant, une carrière réussie dans le design et un magnifique appartement ...

BONNES FEUILLES - Dans un futur proche, les tournages de cinéma, trop polluants, ont été interdits. À la place, un procédé permet d’extraire les souvenirs de personnes décédées pour les monter en films éphémères qui durent le temps que la mémoire s’efface.

HIVER2024 - Réalisateur de La Dilettante ou encore de Mon Petit doigt m'a dit, ce récit à quatre mains tente de percer le mystère de Pascal Thomas, cet homme à des années-lumière du réel banal, à travers des mémoires, des fragments de pensée.

AVANT-PARUTION – « Seul le tamarinier, debout au milieu de la cour, semblait résister à cette chaleur. Tout le monde était fasciné par cet arbre. Certains disaient à mes parents que c’était une bénédiction d’avoir un tel arbre dans sa cour. D’autres disaient qu’il abritait sûrement des génies. » Premier livre de Roukiata Ouedraogo, voici Du miel sous les galettes, un roman de la rentrée particulièrement attendu.

BONNES FEUILLES - Quand la Mort revient narguer Violette, voûtant sa fuette silhouette, elle la fuit jusqu’à la Fenice. Elle entre au bar du Théâtre, et là, dans les effuves lactés de cappuccino, elle se redresse. Et elle la brave. 

AVANT-PREMIÈRE – Lola et Lenny se retrouvent à Ibiza, où leurs parents passent les vacances chaque été. Elle a huit ans. Il en a quinze. Au fil du temps, un lien invisible et singulier se tisse entre eux, dont Lola ignore encore toute la portée, jusqu’à ce qu’elle tombe éperdument amoureuse. Cet adolescent devient son obsession. 

BONNES FEUILLES - Un deuil. De cette séparation brutale renaît progressivement un chaos de souvenirs fait de lieux revisités, de rencontres, de conversations à bâtons rompus, où la stricte chronologie cède aux caprices de la mémoire.

BONNES FEUILLES - Entre la fin d’un amour et la naissance d’un autre, entre São Paulo, Berlin et Paris, les vagabondages d’un auteur en quête de souvenirs. 

BONNES FEUILLES - « Il paraît qu’un être humain met à peine plus de huit secondes à tomber amoureux, et tandis que tu regardais et que tu écoutais cette fille aux yeux brillants (...), tu sentis à son égard cette sympathie singulière, ce désir invincible de proximité que revêt l’amour lorsqu’il apparaît. » 

HIVER2024 - Cette histoire nous emmène au cœur d'un chapitre obscur et peu connu de l'histoire franco-allemande, tissant une trame d'amour interrompu, de musique et de conflits.

BONNES FEUILLES - Reclus dans une réserve autochtone, Jeremiah Camp, alias l’oracle, est rattrapé par son passé quand les milliardaires dont il prédisait l’avenir commencent à mourir. Un roman sur la rédemption et la possibilité de surmonter les fractures sociales par la vie en communauté. King aborde la tragédie des pensionnats pour la première fois dans sa fiction. 

BONNES FEUILLES - Fragments d’une histoire française qui s’ouvre sur le récit peu connu d’une communauté cambodgienne traumatisée par l’exil forcé en 1975.

BONNES FEUILLES - « On était nombreux à la maison, ça se voyait. Il devait y avoir quelqu’un de trop. J’étais la cinquième des six enfants, et comme disait la mère, j’étais arrivée parce que Dieu l’avait voulu et il fallait accepter ce qu’Il envoyait. »

AVANT-PARUTION — Le film de 1994, The Mask, n'aura sans doute pas laissé des souvenirs impérissables chez les uns et les autres. On y découvrait un Jim Carrey en roue libre, dont les grimaces folles étaient à peine exagérées par les effets spéciaux. 15 ans après, il est temps de se souvenir que le long-métrage de Chuck Russell était une adaptation, et d'une bande dessinée sévèrement barrée...

RentréeLittéraire23 - « La Maison Squelette s'est construite sans plan ni architecte. Elle s'est érigée sur les bribes de mes deuils et de mes souvenirs, se plantant au milieu de mon paysage pour en prendre toute la place. Celle que les absents avaient laissée. La Maison Squelette a accouché de toutes les autres. Toutes ces maisons dans lesquelles j'ai vécu, en les aimant souvent, les haïssant parfois.

BONNES FEUILLES - « Des souvenirs attendaient à la lisière des choses, pour me faire signe. » Traduction de Patrick Marcel.

BONNES FEUILLES – Un père est dans le coma et son fils se rend à son chevet, au rythme de tout un service de réanimation, d’une folie pandémique mondiale et d’un deuil qui, coupablement, se fait attendre. Un père solaire autrefois adoré, mais un père irrémédiablement absent, une ombre dans laquelle le fils a dû grandir. Pour cette rentrée littéraire, les éditions Au Diable Vauvert publient le premier roman, Paternoster, du plus jeune lauréat du Prix d'Hemingway : Adrien Girard. Ce dernier y narre la veillée funèbre d’un fils auprès de son père, au seuil de la mort.  

RentréeLittéraire23 - « Ce livre a pour support les lettres, le journal et d’autres documents laissés par le professeur J.R.R. Tolkien, ainsi que les souvenirs de sa famille et de ses amis.

BONNES FEUILLES - À Londres, ce soir, Clarissa Dalloway offre une fête ! La haute société anglaise a intérêt à s’amuser. Or, de vieilles connaissances ressurgissent des limbes et exhument des souvenirs comme on ouvre une boîte de Pandore.

BONNES FEUILLES — Marie Sizun, romancière française, retourne au 10, villa Gagliardini à Paris, le lieu où elle a grandi, un espace étroitement lié aux souvenirs, sons et lumières de ses premières années, renfermant le mystère de sa petite enfance.

BONNES FEUILLES - Dès notre rencontre, les livres sont présents. Nous en parlons, nous échangeons des souvenirs de lectures avec délectation. Du Voyage au Mont-Blanc au Fusil de chasse, les livres portent nos émotions. Ils sont un langage entre nous.

BONNES FEUILLES - José Vieira explore les souvenirs de son enfance pour narrer l'histoire de sa propre famille, depuis l'exil jusqu'aux réflexions contemporaines, à travers les changements radicaux de la révolution d'avril et vers un avenir plein d'espoir. 

HIVER2024 - Armé d'un poignard, un homme arpente les rues de Lisbonne, en quête de son passé et de sa propre identité, jusqu'à révéler les souvenirs les plus sombres que sa mémoire avait occultés. Ce premier roman se distingue par une remarquable maîtrise narrative.

BONNES FEUILLES - Jenna part à la dérive, cherchant par tous les moyens à retrouver "le bleu", couleur du bonheur artificiel... Dans ce roman sur le deuil et l'addiction, la grande Joyce Carol Oates sonde la noirceur de l'âme adolescente. 

HIVER2024 – Maintenant s'inspire des codes de la comédie romantique pour explorer la beauté de la fiction, les doutes qui peuvent surgir dans l'amour, les défis de la paternité et le deuil. Stephen Carrière signe là son quatrième roman. 

BONNES FEUILLES - Un motel, posé au milieu de nulle part mais proche de Monument Valley. Un homme y fait étape, lors d’un voyage dans l’Ouest des Etats-Unis durant lequel il essaie de faire un deuil que l’on devine difficile.

BONNES FEUILLES - Quand faire le deuil de son enfance implique de faire celui de l’enfance que sa propre mère n’a jamais eue. Samuel Dock livre un récit poignant sur l’enfance maltraitée, ses saccages, la reconstruction et la puissance du lien filial.