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Philosophie politique, fondements et critiques des théories du contrat

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Dossier

Les critiques de la rentrée littéraire 2017

Rentrée littéraire, le dossier complet : avec 581 romans français et étrangers en librairie, voilà des lectures à foison. La rédaction propose ses choix et ses conseils, sur les livres qu’on aime, et les autres.

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Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Dossier

Des essais pour comprendre un monde labyrinthique

Le genre de l'essai est une mosaïque, où chaque partie est un fragment de pensée, de réflexion, d'argumentation. Comme une forêt ancienne, il est dense et diversifié : philosophie, sociologie, histoire, économie, politique, science... Un voyage, une exploration sans fin de la connaissance et de la compréhension.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

Extraits

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Ouvrages généraux

Philosophie politique, fondements et critiques des théories du contrat

Les théories du contrat social constituent une alternative au fondement divin du pouvoir politique. Comment légitimer la démocratie ? D'Hugues Cornet dit Grotius, à Hobbes, Locke, Rousseau et Rawls, on cherche à fonder le pouvoir sur l'individu. Cet héritage de la modernité est aujourd'hui discuté pour ses conséquences, notamment l'affirmation excessive de l'individualisme que d'aucuns qualifient de solipsisme moderne. Pour les communautaristes, pour la Gauche et même pour certains penseurs africains, il y a lieu d'envisager un rapport harmonieux entre l'individu et la société.

10/2023

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Philosophie

Descartes et l'ordre politique. Critique cartésienne des fondements de la politique

À l’effondrement des régimes communistes a succédé le pullulement des nationalismes ethniques et religieux. Des uns aux autres les discours et les symboles ont changé, mais pas l’idée que les hommes, c’est-à-dire des individus, sont d’abord les membres d’un tout (État, parti, nation, ethnie, peuple, communauté religieuse). À ce défi idéologique, il n’est qu’une seule réponse à opposer : un individu n’appartient à personne. Les déterminations qu’il reçoit de l’extérieur (sa race, sa nation, sa religion), pour importantes qu’elles soient, ne tracent pas un cadre dans lequel il doit nécessairement s’inscrire. À tous revient la liberté primordiale de s’inclure dans une communauté ou dans un tout, ou de s’en séparer. C’est le grand enseignement de la critique de l’ordre politique à laquelle se livra Descartes. Critique en apparence paradoxale : si Descartes n’a écrit aucun traité de politique, c’est dans les textes touchant à la morale que se trouvent les deux principaux points d’appui pour résister au politique. C’est d’abord la critique des faux dévots, bigots et superstitieux, qui « sous ombre qu’ils vont souvent à l’église, qu’ils récitent forces prières, qu’ils portent les cheveux courts, qu’ils jeûnent, qu’ils donnent l’aumône, pensent être entièrement parfaits, et s’imaginent qu’ils sont si grands amis de Dieu qu’ils ne sauraient rien faire qui lui déplaise, et que tout ce que leur dicte leur passion est un bon zèle, bien qu’elle leur dicte quelquefois les plus grands crimes qui puissent être commis par des hommes, comme de trahir des villes, de tuer des princes, d’exterminer des peuples entiers, pour cela seul qu’ils ne suivent pas leurs opinions ». De ces lignes, plus actuelles que jamais, qui font du mélange de la politique et de la religion l’essence de la terreur, il résulte que toute conception du monde qui repose sur, ou qui implique une division entre deux catégories d’hommes (fidèles/infidèles ; amis/ennemis ; citoyens/étrangers) est génératrice de violence et de guerre. Les crimes les plus odieux et les plus fréquents dans l’histoire sont inspirés, commandés, justifiés par la politique. C’est ensuite l’idée qu’un individu peut, quelquefois, valoir plus que le collectif et que c’est à lui de le déterminer : « Et il faut toujours préférer les intérêts du tout, dont on est partie, à ceux de sa personne en particulier ; toutefois avec mesure et discrétion, car on aurait tort de s’exposer à un grand mal, pour procurer seulement un petit bien à ses parents ou à son pays ; et si un homme vaut plus, lui seul, que tout le reste de sa ville, il n’aurait pas raison de se vouloir perdre pour la sauver ». Ces deux points sur lesquels on peut édifier une politique cartésienne ne sont pas séparables : la politique, trop liée à la contingence, aux individus, aux époques, ne peut être une science et aucune de ses propositions ne peut être appliquée invariablement — la sagesse et la raison consistant à savoir juger selon les cas. C’est le jugement de chacun et non la règle, la consigne, le commandement, qui remplit l’office de la raison dans le domaine des choses humaines, des actions et des événements. Cette restitution de la pensée cartésienne, confrontée à celles de Pascal, de Hobbes, de Spinoza ou de Rousseau, ne vise pas à construire une théorie politique là où il n’y en a pas, mais à dégager la sortie de la logique qui fait de l’individu un simple élément du corps politique. Cela pourrait s’appeler l’actualité de Descartes.

09/2012

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Economie

Critique de l'économie politique du développement et de la croissance. Théories, idéologies et politiques

L’ouvrage traite de la question essentielle du développement et de la croissance économiques. Il offre un panorama synthétique et critique des théories élaborées et des politiques mises en place ainsi que des polémiques soulevées par ces choix. Cette analyse est destinée aux décideurs politiques, aux experts du développement, aux milieux académiques et, au-delà, à tout citoyen curieux. L’auteur montre que la théorie a plus la fonction de légitimer idéologiquement les politiques que celle de les inspirer. Il conclut que les théories et les politiques ont lâché la proie du développement social pour l’ombre du développement économique. Le nécessaire enchâssement de l’économique dans le social exige le retour de l’Etat de son exil néolibéral.

02/2016

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Essais

Le sujet du travail. Théorie critique, psychanalyse et politique

Comment penser les rapports entre travail et subjectivité ? Ce livre collectif réunit les contributions de philosophes et psychanalystes qui examinent les apports de la psychanalyse - notamment de la psychodynamique du travail - et leurs usages par les théories critiques - en particulier la Théorie critique de l'école de Francfort - pour penser les incidences subjectives et politiques du travail. A travers l'étude d'auteurs de référence aussi bien classiques (notamment Adorno, Arendt, Freud, Green, Horkheimer, Reich, Winnicott) que contemporains (Dejours, Fraser, Habermas, Honneth) et l'examen de questions d'actualité - par exemple la souffrance au travail ou la gestation pour autrui -, Le sujet du travail dresse un bilan de la recherche sur le travail à l'articulation des champs philosophiques et psychodynamiques. Il s'agit ce faisant de contribuer à l'élaboration d'une conception critique du travail et de la subjectivité, héritière de Marx et de Freud, et orientée vers la saisie des transformations contemporaines du travail.

09/2022

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Histoire internationale

Philosophie et pouvoir politique en Afrique. La théorie inflexionnelle

Philosophie et pouvoir politique sont deux nationalités intimes, vivant dans un régime spécifique de mariage généralement conflictuel, et très souvent de séparation de corps perpétuel. Il est utile d'en étudier les modulations et les pulsions, dans le contexte particulier de l'Afrique. Plus spécialement il est indispensable, au delà de la colonisation politique et culturelle, de rendre compte des regards réciproques du savant et du praticien, du philosophe et du politique en situation postcoloniale. Ce faisant, on arrive à mesurer ou, tout au moins, à imaginer le genre comme le degré de pouvoir que le philosophique exerce sur le politique, et le politique sur le philosophique. Il apparaît, absolument, que pour accomplir sa prétention au pouvoir, accroître sa capacité d'inflexion du politique et de la société, la philosophie est obligée de maximiser ses propres voies de pouvoir théorique, pratique et idéologique. Ainsi, il devient inévitable de rechercher les conditions de possibilité d'une telle philosophie à pourvoir d'inflexion maximale sur les consciences et les modes de gouvernement des hommes et des sociétés. En posant le politique comme objet de pensée préférentiel et, de ce fait, en redéfinissant le mode de regards mutuels des pouvoirs, philosophique et politique, une manière spécifique de philosopher radicalement marquée par l'angoisse et le souci d'un plus grand pouvoir sur le réel, en particulier sur le mode de gouvernement politique en Afrique et ailleurs.

11/2004

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Philosophie

La philosophie politique de Hegel. Sous forme d'un commentaire des "Fondements de la philosophie du droit"

Contrairement à trop d'idées reçues ou de préjugés insidieux, Hegel n'est pas plus le père de l'Etat fasciste qu'il n'est à l'origine du totalitarisme communiste : ce qu'il s'est efforcé de développer dans ses Fondements de la philosophie du droit, c'est une philosophie politique et non pas une politique expérimentale, voire une utopie. Eugène Fleischmann, qui a également analysé la Logique du maître de léna, donne ici un commentaire, paragraphe par paragraphe, des Fondements de la philosophie du droit, en montrant que Hegel s'est employé à comprendre la vie politique à partir de la philosophie et nom de justifier une politique effective par une idéologie empruntant les termes de la tradition philosophique.

01/1992

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