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Normes et fonction de juger

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Dossier

En 2024, Montmorillon met Cécile Coulon et Timothée de Fombelle à l'honneur

Le Festival du livre de Montmorillon fait son retour du 7 au 9 juin 2024. Depuis plus de 30 ans, le Festival du Livre invite personnalités du monde littéraire, lecteurs avertis et amateurs de tout âge et de tout milieu dans cette charmante ville de la Vienne pour trois jours consacrés à la littérature d’ici et d’ailleurs.

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Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Patrick Deville

Voyageur insatiable et styliste hors norme, Patrick Deville fait dialoguer ses pérégrinations à travers le monde et la grande Histoire dans des romans « d’invention sans fiction », un jeu entre les différentes littératures. 

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Dossier

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

Extraits

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Droit

Normes et fonction de juger

Comment justifier les normes et les décisions juridictionnelles qui autorisent, interdisent ou planifient des comportements, dans une société caractérisée par la complexité croissante des liens sociaux et par un pluralisme culturel irréductible ? Sur quelles bases accepter la généralisation induite par les règles juridiques qui sont imposées à une multitude de points de vue particuliers ? Quelle place et quel statut devons-nous réserver à la fonction de juger ? La question de la légitimité du droit peut se rapporter, en définitive, au problème suivant : que signifie suivre une règle dans le contexte d'une démocratie délibérative ? Les exercices pratiques de la raison sont l'ensemble de nos activités délibératives aux termes desquelles nous nous donnons une règle d'action. Une règle d'action est une raison d'agir appropriée pour régir une situation contextualisée déterminée. Une norme juridique est une raison d'agir qui bénéficie cependant d'un caractère d'exclusivité, car la règle ou le principe de droit épuisent en quelque sorte nos délibérations sur les raisons d'agir. Dans ce travail, l'auteur montre que l'application adéquate des règles - la fonction de juger - dépend étroitement de l'ancrage de la connaissance dans l'action et de l'arrimage de l'action langagière dans les croyances. En montrant cette dépendance, on s'aperçoit qu'une certaine image de la séparation des pouvoirs, celle notamment d'une séparation radicale entre les opérations de justification et les opérations d'application des règles, s'obscurcit. Certaines difficultés récurrentes dans les débats contemporains sur la théorie de la démocratie ne viennent-elles pas de notre obstination à juxtaposer plutôt qu'à enchevêtrer les fonctions de légiférer et de juger ? Dans cette perspective, la théorie de la démocratie articulée et incarnée dans un ordre juridique gagne à reposer sur une conception épistémologique qui évite toute fragmentation de la raison en une raison théorique et une raison pratique indifférentes l'une à l'autre. Il faut au contraire accepter l'idée d'une réflexivité de l'action sur l'événement, des valeurs sur les faits, de la raison pratique sur la raison théorique.

06/1998

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Anatomie

Formes articulaires. Fonctions musculaires

Cet ouvrage présente une vision mécanique du corps humain. A la manière des paléontologues, nous pouvons déduire les fonctions musculaires des formes osseuses. A partir des articulations réduites à des types simples, comme la poulie et la sphère, Michel Lauricella vous montre les correspondances avec le système musculaire nécessaire aux mouvements. Le but est toujours de faciliter votre pratique du dessin d'imagination et d'enrichir votre dessin d'observation.

03/2019

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Droit

Dire le droit : normes, juges, jurisconsultes

L'Institut d'histoire du droit (UMR 7105, CNRS, Université Panthéon-Assas/Paris II, Archives nationales) a organisé, les 4 et 5 novembre 2004, un colloque international sur le thème Dire le droit : normes, juges, jurisconsultes. La réflexion s'est développée autour du thème des sources du droit, de leur interprétation par les juristes et de leur application par les juges. Comment naquirent et furent formulées les règles juridiques ? Quelle fut la part de l'activité des scribes dans la formation du droit en Mésopotamie ? Quelle était la place du principe de maât, symbole de justice et d'équité, dans la définition de la fonction judiciaire dans l'Egypte pharaonique ? De quelle manière fut réalisée, dans la Grèce archaïque, la coexistence de la tradition juridique avec les nouveautés du droit ? Comment le juge grec, " droit animé " selon la définition d'Aristote, devait-il appliquer la loi pour en corriger la rigueur ? Quel fut le rôle du verbe créateur de droit dans la dissolution volontaire du mariage en droit romain ? Comment, le long d'un millénaire, la doctrine juridique contribua-t-elle au développement du droit romain ? Dans un pays marqué par le pluralisme juridique comme l'Egypte romaine, dans quels cas les juges provinciaux appliquaient-ils les traditions juridiques locales et dans quels cas le droit romain ? En vertu de quelles lois et sur quelle catégorie de personnes la torture judiciaire fut-elle appliquée à Byzance devant les juridictions étatiques et devant les instances arbitrales ? Comment l'historiographie italienne des XIXe et XXe siècles a-t-elle considéré la coexistence des trois sources de droit écrit dans les villes du Centre-Nord de la péninsule au Bas Moyen Age ? En France, à la fin du Moyen Age, dans quelle mesure la jurisprudence du Parlement fut-elle source du droit ? Et quelle fut la valeur juridique des coutumes alléguées par les parties devant le Parlement ? Qu'en fut-il du problème de l'inexécution des arrêts du Parlement dans le royaume de France aux XIV et XVe siècles ? Quel fut le rôle spécifique joué par les translations du Parlement de Paris pour procès de lèse-majesté du duc d'Alençon, jugé à Vendôme en 1458 et du duc de Nemours, jugé à Noyon en 1477, dans le cours de ces procédures ? Par quelles procédures le Parlement exerçait-il le contrôle des actes royaux ? Et par quelle trame narrative, Jacques-Auguste de Thou, président au Parlement de Paris, entreprit-il dans son (auto) biographie, de faire littérairement appel du jugement qui avait condamné son Histoire ? En répondant à ces questions, les travaux des participants apportent un nouvel éclairage diachronique sur la problématique de la formation de la règle de droit, sur l'histoire de la justice et sur l'histoire politique.

01/2007

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Droit

Le juge administratif et l'inapplicabilité directe des normes communautaires

Cet ouvrage explique les raisons qui sont à la base du refus d'acceptation automatique de l'application du droit communautaire par les Etats membres de l'UE, en particulier la France. Il convient maintenant de se poser la question de savoir pourquoi le juge administratif accepte la primauté du droit communautaire sur le droit national d'une part, et d'autre part, pourquoi ce même juge s'aligne aux exigences communautaires en théorie ? Le droit communautaire peut-il entrer en conflit avec des normes nationales ? L'arrêt Costa C/Enel, du 15 juillet 1964 de la CJuE, affirme le principe de primauté. En effet, en ce qui concerne le droit originaire, les Etats membres ont reconnu sans aucune difficulté le principe d'applicabilité immédiate. Certains ont mis plus de temps que d'autres. Par exemple, l'Italie a pleinement accepté ce principe en 1973. Les autres Etats sont plus particulièrement réticents concernant les actes communautaires. Les directives et les décisions ont besoin de mesures nationales d'application immédiate. Mais cette compétence n'est qu'une compétence d'exécution et non de réception. Elles sont intégrées dans les différents ordres juridiques nationaux, par le seul effet de leur publication communautaire. Il en est de même pour le droit issu des accords externes des communautés. Il est inséré de fait dans l'ordre juridique national, sans avoir besoin de ratification ou de publication nationale. Il ne veut pas forcément dire que le droit communautaire octroie des droits qu'un juge doit faire respecter. Nous pouvons nous poser la question de savoir si une norme communautaire non transposée peut être invoquée par un particulier en droit interne ?

02/2019

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Beaux arts

L'ornement. Formes et fonctions dans l'art islamique

L'art islamique est reconnu comme étant "ornemental" ou "décoratif". Ces termes prêtent à confusion, car, d'une part, toute une tradition artistique et intellectuelle considère l'ornement comme une caractéristique secondaire et, de l'autre, l'ornement est par définition sans référent significatif extérieur et donc se trouve présent uniquement pour parer de beauté un objet ou un monument. Dans ce livre, Oleg Grabar, cherche à concilier ces paradoxes et propose de définir l'ornement comme une forme intermédiaire qui rend possible la transmission de la communication visuelle dans la création et l'histoire des arts en général.

10/2013

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Droit

Juger, être jugé. Le magistrat face aux autres et à lui-même

Rigoureuse indépendance vis-à-vis du pouvoir politique et formation très poussée, moyens matériels efficaces, tout cela, certes, est indispensable au corps judiciaire pour répondre aux demandes croissantes d'une société sans cesse plus complexe, qui tolère mal l'injustice (ou ce qu'elle tient pour tel) et dont les membres réclament de plus en plus qu'une tierce autorité les départage en cas de conflit. Encore faut-il que le magistrat - qu'il soit agent de la société (procureur) ou bien organe de la loi (juge) - sache que l'impartialité ne procède que de lui seul. Il doit se savoir dépendant d'abord de son milieu, de ses croyances, de ses amitiés, de ses inimitiés ; il doit être conscient des effets inattendus, parfois dévastateurs de la violence qu'il est chargé d'exercer ; enfin, il doit concilier l'irresponsabilité que son statut organise et se sentir responsable des sanctions qu'il est amené à prendre. Conditions ô combien difficiles à remplir.

05/2001

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