Recherche

Nicolas Abraham & Maria Torok, Zé tè dessine

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de Nicolas Mathieu

Nicolas Mathieu est un écrivain français contemporain, né le 2 décembre 1978 à Épinal, dans les Vosges. Il est particulièrement reconnu pour son roman "Leurs enfants après eux", qui lui a valu le prestigieux Prix Goncourt en 2018.

ActuaLitté

Dossier

Axelle Demoulin et Nicolas Ancion : traducteurs à quatre mains

Avec plus d'une centaine de romans traduits de l'anglais et de l'espagnol, Axelle Demoulin et Nicolas Ancion forment un des tandems les plus productifs de la traduction en langue française. Bon nombre des titres qu'ils ont traduits en français ont figuré parmi les meilleurs vendeurs en littérature Young Adult, comme la trilogie À travers ma fenêtre, d'Ariana Godoy chez Hachette, ou la série Serpent & Dove de Shelby Mahurin, publiée par De Saxus. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Bernadette Dupuy

Marie-Bernadette Dupuy est une autrice française née en 1952 à Angoulême. Elle fait aujourd'hui partie des 10 auteurs français les plus lus en France.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

ActuaLitté

Dossier

Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

ActuaLitté

Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

Extraits

ActuaLitté

Psychologie de l'enfant

Dessine-moi un fantôme ? Trace et travail du fantôme

A la suite du colloque Dessine-moi une énigme, qui s'est tenu à Montpellier en février 2019, l'Association "Zè Té Dessine" et l'Association Européenne Nicolas Abraham et Maria Torok (AENAMT) ont proposé un nouveau colloque sur les traces et le travail du fantôme. Quelle figuration en est possible par le dessin ? Cette recherche porte sur les premières traces qui, par les paroles, les dessins, les modelages ou les jeux, qui peuvent résonner dans les séances avec les patients. Pour certains auteurs les premières traces se réfèrent à la notion d'archaïque qui est hors-narration, non verbal et non-symbolique. Pour Françoise Dolto, c'est à ce niveau que les pulsions de mort des parents viennent parasiter la psyché de l'enfant et altèrent son image inconsciente du corps. Ces traces peuvent aussi donner une impression d'inquiétante étrangeté. Ce sentiment d'Unheimlich peut être révélateur d'un Fantôme, étranger à l'inconscient du sujet. Le travail sur le Fantôme pose la question de la transmission, celle du non-dit, voire celle des secrets des générations précédentes. Seront abordés les principaux concepts de Nicolas Abraham et Maria Torok : Incorporation, Introjection, Unité Duelle, Crypte, qui permettent de penser le Fantôme et la hantise dus aux traumatismes. Les effets du Fantôme dans la relation transférentielle et les possibilités d'introjection des traumatismes seront explorés, ainsi que les effets du Fantôme chez l'analyste.

10/2023

ActuaLitté

Essais

L'affaire Abraham et Torok. Légende, vie et secrets

Maria Torok (1925-1998), était convaincue que la mort de son compagnon, Nicolas Abraham (1919-1975), était due aux mauvais traitements institutionnels de la Société psychanalytique de Paris (SPP) dont elle l'estimait victime. L'affaire Abraham (le vote contre sa candidature au titre de membre adhérent de la SPP) a fait vaciller la première société psychanalytique française et nourri la légende d'Abraham. Psychanalystes juifs d'origine hongroise, ils avaient quitté Kecskemét et Budapest pour rejoindre Paris en 1938 et 1947. Leur vie en Hongrie et en France, certaines rencontres importantes et méconnues d'Abraham, les conditions de l'internement d'Etla, la femme d'Abraham, leur indemnisation par les autorités allemandes ou leur parcours avant leur entrée en formation psychanalytique sont retracés à partir de documents d'archives. L'affaire Abraham est reprise en éclairant les différents récits qui en ont été faits, en clarifiant le contexte de fonctionnement de la SPP au moment des faits, ce qui s'est réellement passé et pose la question des liens entre une théorie et son théoricien.

10/2021

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

L'écorce et le noyau

Entre 1959 et 1975, Nicolas Abraham (1919-1975) et Maria Torok (1925-1998) ont transformé la pratique de l'écoute en psychanalyse. Portés par le seul désir d'éclairer, coûte que coûte, les zones d'ombre de la souffrance humaine et d'étendre par là les limites de l'accueil de l'autre, les auteurs rejettent toute notion de conflit-type d'ordre universel, portant leur intérêt vers les catastrophes, les hontes singulières, personnelles, familiales ou sociales qui entravent le travail d'ouverture psychique. Seront ainsi inaugurés les concepts de secret de famille transgénérationnel, de deuil impossible, de deuil impossible, d'enterrement d'un vécu inavouable, d'incorporation secrète d'un autre, notions ayant toutes pour objectif de dessiner une clinique de la reconstruction de soi.

01/2009

ActuaLitté

Romans historiques

Abraham ! Abraham !

" Abraham ! Abraham ! Le Dieu caché lui avait parlé ! L'Invisible s'était manifesté à lui par ses paroles. Et quelles paroles ! C'était une force qui le poussait dans le dos et le tirait en avant, vers un au-delà, un plus loin, un plus tard, un demain. Pour la première fois, Abraham prit conscience du temps. D'un temps qui n'était pas celui des astres qui tournent, des jours et des saisons qui reviennent, mais qui se déployait en un horizon lumineux, qui dessinait un projet. Ce n'était pas une parole, c'était une Promesse ! Il comprit que les hommes ne sont pas nés pour mourir, mais pour innover, s'ouvrir à la naissance et à la renaissance. Abraham se releva et poursuivit son chemin. Il avançait sous le soleil levant qui lui parut fragile. Il sentit son corps dans sa verticalité, surgi comme un point d'exclamation au milieu des choses. Il entendit encore les échos de la voix qui semblait lui dire : " Ne perds pas la force de l'étonnement que tu sens vivre en toi, c'est elle qui te conduira au-delà. " Va pour toi hors de ton pays, De ton lieu natal Et de la maison de ton père, Vers le pays que je t'indiquerai " Ce livre, premier tome d'une longue saga, emmène aux sources d'une grande aventure : la découverte par un homme du Dieu unique, révolution formidable qui offrira à l'humanité un chemin et un souffle nouveaux.

02/1999

ActuaLitté

Beaux arts

Nicolas de Staël. Lettres et dessins

La publication en 1968 du catalogue raisonné de la totalité des peintures de Nicolas de Staël par Jacques Dubourg et Françoise de Staël accompagné de ses lettres présentées par Germain Viatte provoqua un effet de choc d’autant plus considérable que la complexité de l’itinéraire de l’artiste qu’elle révélait, treize ans après son suicide, était aussi atypique qu’à contre-courant. Staël apportait superbement la preuve de la vitalité de la peinture, de l’immensité du champ des renouvellements qui s’offraient à elle quand les augures affirmaient programmée sa mort et ne juraient que par le conceptuel, la table rase installée, l’objet. Au surplus, comme l’écrivit André Chastel, les lettres « c’est Staël à l’état pur […] dans ses conflits, ses professions de foi, ses violences, ses hésitations et ce qu’on eût nommé à la Renaissance, sa terribilità ». Impossible de s’arranger avec un homme pareillement identifié à sa peinture, surtout que celle-ci avait déjà pris un envol qui ne s’arrêtera plus. Trente années plus tard, la publication d’un nouvel inventaire de l’œuvre peint et de la correspondance contribue à préciser encore les éclairages apportés par la publication de 1968, dans une situation où Staël a pris sa place parmi les grands peintres du siècle, où il continue d’être aussi dérangeant au regard de ceux qui croient incarner le contemporain. Simplement, pour entrer dans ses lettres, l’écart s’est agrandi avec cette décennie de l’après-deuxième guerre mondiale où, dans la France violentée et ruinée, coupée du monde pendant cinq années, la peinture se rattrapa dans un bouillonnement d’initiatives, d’inventions, de débats tranchés et tranchants, cruels parce qu’ils touchaient au vif, mais qui restent d’une fraîcheur passionnée sans égale. Ce petit livre présente des extraits choisis de la correspondance de Nicolas de Staël, illustrés de dessins non encore publiés.

10/2011

ActuaLitté

Beaux arts

Nicolas de Staël. Peintures et dessins

Nicolas de Staël (1914-1955) a quitté la vie à l'âge de 41 ans après avoir mené la peinture à une incandescence inconnue jusqu'alors. On ne comprend pas ce peintre d'origine russe si l'on ne prend pas en compte la synthèse, unique dans l'art européen de son temps, entre le prisme pictural nordique et le prisme pictural byzantin méditerranéen. C'est la grille de lecture qui éclaire le regard de Jean-Claude Marcadé tout au long de cette monographie. L'auteur voit un lien essentiel entre l'énergie sublimée de la couleur dans l'icône et les unités colorées de nombreux tableaux de Nicolas de Staël, tout particulièrement dans l'ultime phase de sa création. L'iconique flamboie dans son authentique visée : l'au-delà de la représentation, la visibilité apparaissant au sein de l'invisibilité, venant à la naissance à travers elle. En d'autres termes : l'abstraction essentielle faisant se manifester, se révéler les objets et les êtres. Sans parler des " rouges staëliens dans leur sublime simplicité, ces rouges de toutes les nuances, des sourdes aux transparentes, des carmins, des cramoisis aux pourpres et aux vermillons, ces rouges ont la même énergie que dans la peinture d'icône orthodoxe ". Et pourtant, dans son art, Nicolas de Staël apparaît, à première vue, parmi les génies issus de l'Empire russe, comme le plus " français ". Ses premières abstractions sont, certes, pleines de violence, mais il saura se plier à la discipline française. On ne saurait cependant le réduire à ça : c'est l'apport capital de la lecture novatrice que nous propose Jean-Claude Marcadé ici que de restituer l'impact de Ravenne, de l'art roman et de la lumière de la Sicile dans l'art fulgurant de cet artiste qui est passé dans le ciel de la peinture tel une comète. Une iconographie exceptionnelle de près de 300 œuvres est réunie ici avec, pour la première fois, une présentation de l'œuvre graphique substantielle.

09/2008

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté