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Nicolas Le Roux

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La faveur du roi

Dans la France de la Renaissance, la cour s'impose comme un outil de gouvernement. A la fois instrument et reflet de sa puissance, l'entourage du prince joue un rôle politique majeur. C'est dans ce monde aux contours mouvants qu'un cercle privilégié de familiers acquiert une position dominante : les mignons. Ce livre s'attache à ces personnages mal connus, à la réputation sulfureuse. Jusqu'au milieu du XVIe siècle, seuls quelques grands barons jouent à la cour le rôle d'intermédiaires obligés entre les élites et le souverain. Avec les guerres de Religion (1562-1598), les conflits pour l'accès aux ressources de l'Etat et à la faveur du roi deviennent de plus en plus violents. Tandis que la reine mère Catherine de Médicis tente de rétablir l'unité du royaume, le futur Henri III prend la tête d'un groupe de jeunes gens soudé notamment par l'expérience des combats. Les mignons accèdent donc au pouvoir avec leur maître en 1574. Ils forment alors l'écrin qui magnifie la majesté du souverain. Les ducs de Joyeuse et d'Epernon émergent de cette nébuleuse, épurée par les assassinats, les duels et les disgrâces. Après la mort du premier et la mise à l'écart du second, la politique de la faveur s'éteint, obligeant le roi à reprendre lui-même en main le fonctionnement de la cour. Cette histoire de la faveur propose une approche renouvelée de la formation de l'Etat royal : elle démontre que les figures du courtisan et du favori participent pleinement à la construction du pouvoir monarchique.

02/2024

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La faveur du roi.

Dans la France de la Renaissance, la cour s'impose comme un outil de gouvernement. A la fois instrument et reflet de sa puissance, l'entourage du prince joue un rôle politique majeur. C'est dans ce monde aux contours mouvants qu'un cercle privilégié de familiers acquiert une position dominante : les mignons. Ce livre s'attache à ces personnages mal connus, à la réputation sulfureuse. Jusqu'au milieu du XVIème siècle, seuls quelques grands barons jouent à la cour le rôle d'intermédiaires obligés entre les élites et le souverain. Avec les guerres de Religion (1562-1598), les conflits pour l'accès aux ressources de l'Etat et à la faveur du roi deviennent de plus en plus violents. Tandis que la reine mère Catherine de Médicis tente de rétablir l'unité du royaume, le futur Henri III prend la tête d'un groupe de jeunes gens soudé notamment par l'expérience des combats. Les mignons accèdent donc au pouvoir avec leur maître en 1574. Ils forment alors l'écrin qui magnifie la majesté du souverain. Les ducs de joyeuse et d'Epernon émergent de cette nébuleuse, épurée par les assassinats, les duels et les disgrâces. Après la mort du premier et la mise à l'écart du second, la politique de la faveur s'éteint, obligeant le roi à reprendre lui-même en main le fonctionnement de la cour. Cette histoire de la faveur propose une approche renouvelée de la formation de l'Etat royal : elle démontre que les figures du courtisan et du favori participent pleinement à la construction du pouvoir monarchique.

01/2001

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Ouvrages généraux

Les guerres de Religion

Les "guerres de Religion" désignent ordinairement les conflits, achevés par huit paix, qui se déroulèrent en France de 1562 à 1598. On a pu faire commencer la période des troubles civils un peu plus tôt, notamment avec la mort accidentelle d'Henri II en 1559, et intégrer les guerres dans les années 1620 pour prendre en compte l'ensemble des violences et campagnes militaires ayant opposé des partis confessionnalisés au début de l'époque moderne. Les affrontements qui se déroulèrent dans les cantons helvétiques autour de 1530, puis dans le Saint-Empire dans les années 1540 et 1550, constituent eux aussi, assurément, des guerres de Religion, et les anciens Pays-Bas basculèrent à leur tour dans la guerre à partir de 1566. Quant à l'Angleterre, elle connut des troubles, mais ne sombra pas dans la guerre civile, ce qui ne l'empêcha pas de participer aux conflits européens, tout comme la monarchie catholique espagnole et les puissances italiennes, à commencer par la papauté. Proposer une approche à la fois nationale et transnationale des affrontements religieux du XVIe siècle, en soulignant le poids des circulations et des échanges à travers l'Europe, mais aussi des logiques territoriales de rivalité ou de solidarité, tel est le but de cet ouvrage.

09/2023

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Les guerres de religion

Au début du XVIe siècle, certains chrétiens, "protestant" contre ce qu'ils considèrent comme des abus de Rome, ébranlent l'unité de l'Eglise. De ce conflit théologique découle une crise politique sans précédent, dont les guerres de Religion sont la traduction sanglante. Complots, attentats, massacres, guerre des mots et des images... De la mort d'Henri II à la signature de l'édit de Nantes, c'est cette histoire, douloureuse mais féconde sur le plan des idées politiques, que Nicolas Le Roux raconte avec verve, mettant au jour le rôle crucial que cette période troublée a joué dans le renforcement du pouvoir royal et dans l'avènement de la modernité. Pour les contemporains, une question s'est posée, qui n'a rien perdu de son actualité : le politique est-il un rempart suffisant contre les guerres menées au nom de la religion ?

02/2023

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Les guerres de religion

Au début du XVIe siècle, certains chrétiens, "protestant" contre ce qu'ils considèrent comme des abus de Rome, vont durablement ébranler l'unité de l'Eglise. De ce conflit théologique découle une crise politique sans précédent. Les guerres de Religion sont la traduction sanglante de ces affrontements qui déchirent l'Europe depuis la Réforme. Complots, attentats, massacres, guerre des mots et des images... ce livre retrace une histoire douloureuse, mais féconde sur le plan des idées, des arts et des lettres, qui commence à la mort d'Henri II et s'achève à la signature de l'édit de Nantes. Il met au jour le rôle crucial que cette période troublée a joué dans le renforcement du pouvoir royal ainsi que dans l'avènement de la modernité. De fait, au XVIe siècle s'est posée une question qui n'a rien perdu de son actualité : le politique est-il un rempart suffisant contre les guerres menées au nom de la religion ?

09/2016

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Les guerres de religion

Au début du XVIe siècle, certains chrétiens, " protestant " contre ce qu'ils considèrent comme des abus de Rome, ébranlent l'unité de l'Eglise. De ce conflit théologique découle une crise politique sans précédent, dont les guerres de Religion sont la traduction sanglante. Complots, attentats, massacres, guerre des mots et des images... De la mort d'Henri II à la signature de l'édit de Nantes, c'est cette histoire, douloureuse mais féconde sur le plan des idées politiques, que Nicolas Le Roux raconte avec verve, mettant au jour le rôle crucial que cette période troublée a joué dans le renforcement du pouvoir royal et dans l'avènement de la modernité. Pour les contemporains, une question s'est posée, qui n'a rien perdu de son actualité : le politique est-il un rempart suffisant contre les guerres menées au nom de la religion ?

10/2018

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