Les fées du désert
Extraits
Non classé
Les fées du désert
Bien qu'étant amant de sa terre dotée d'une prégnance facteur de la convoitise des autres peuples qui viennent piller autant qu'ils pouvaient, le poète ne veut garder aucun silence en faveur de ces dirigeants assoiffés du pouvoir et vendeur de la mèche de leur développement à impérialiste contre de l'argent. Ces dirigeants qui le sont seulement du nom puisque n'ayant aucune politique de sauvetage de ces nombreux enfants de rue, de ces déscolarisés, de ces jeunes gradés de plusieurs diplômes rangés dans des placards et gisant dans la piscine du chômage. Il ne manque ainsi, de jeter de la fleur à ceux qui apparaissent comme des messies même si le prince charmant n'est pas du monde. Sans aucune faveur, il ne manque de lancer un appel à l'impérialiste qui est à l'image d'un père donateur de cadeaux d'indépendance mais ne cesse de s'ingérer dans la gestion politique et économique de ces pays bénéficiers qui continuent depuis et toujours de tendre les mains pour quémander. Passant du sévère au doux, la deuxième partie de cet ouvrage exhibe les valeurs intrinsèques et extrinsèques de la chose femelle, en la concevant comme raison et source de notre existence, tout en chantant l'amour et les merveilles de la nature.
08/2020
Littérature française
Trust : 1 - Le souffle brûlant du désert
Fille d'un couple aimant devenu famille d'accueil, Annalisa a grandi entourée d'Adélaïde et Alexia, ses deux soeurs de coeur. L'image qu'elle se faisait de la vie était idyllique, ses parents n'étant pas avares d'affection ni d'amour. Aujourd'hui, à trente ans passés, ses repères si ancrés ne sont malheureusement plus qu'un lointain souvenir, la vie s'étant chargée de lui faire comprendre que les contes de fées n'existent pas. La douleur et l'amertume, par contre... Est-il possible de croire que l'on peut oublier, pardonner et avancer, quand des sentiments semblent flotter comme des grains de sable dans l'air étouffant du désert ? De la France à la Mauritanie, la vie peut-elle prendre un nouveau sens ?
02/2023
Littérature Italienne
Les impardonnables
Les impardonnables fait partie de ces livres qu'il suffit à l'homme d'ouvrir pour que sa vie s'éclaire d'une aurore durable. S'il nous fait don d'une parole nourricière, c'est qu'en lui chaque mot fut pesé sur le trébuchet du coeur, passé au tamis d'une rigueur patiente et d'une ascèse limpide. Car Cristina Campo fut bien cette "maîtresse et reine de la prose" que reconnut en la lisant Giorgio Manganelli. Qu'elle nous parle des contes de fées ou des tapis d'Orient, des Mille et Une Nuits ou des Pères du désert, de John Donne, de Marcel Proust ou du chant grégorien, toujours son regard porte plus loin que les décrets du visible. Mais qui est en vérité Cristina Campo ? Une silhouette élégante et sévère ? Un pacte entre la force et la grâce ? Une "trappiste de la perfection" ? Assurément. Ayant peu écrit, elle déclarait qu'elle eût aimé écrire moins encore. Son legs est dans Les impardonnables, aujourd'hui notre viatique.
02/2023
Littérature Italienne
Les Impardonnables
Les impardonnables fait partie de ces livres qu'il suffit à l'homme d'ouvrir pour que sa vie s'éclaire d'une aurore durable. S'il nous fait don d'une parole nourricière, c'est qu'en lui chaque mot fut pesé sur le trébuchet du coeur, passé au tamis d'une rigueur patiente et d'une ascèse limpide. Car Cristina Campo fut bien cette "maîtresse et reine de la prose" que reconnut en la lisant Giorgio Manganelli.
Qu'elle nous parle des contes de fées ou des tapis d'Orient, des Mille et Une Nuits ou des Pères du désert, de John Donne, de Marcel Proust ou du chant grégorien, toujours son regard porte plus loin que les décrets du visible. Mais qui est en vérité Cristina Campo ? Une silhouette élégante et sévère ? Un pacte entre la force et la grâce ? Une "trappiste de la perfection" ? Assurément. Ayant peu écrit, elle déclarait qu'elle eût aimé écrire moins encore.
Son legs est dans Les impardonnables, aujourd'hui notre viatique.
Qu'elle nous parle des contes de fées ou des tapis d'Orient, des Mille et Une Nuits ou des Pères du désert, de John Donne, de Marcel Proust ou du chant grégorien, toujours son regard porte plus loin que les décrets du visible. Mais qui est en vérité Cristina Campo ? Une silhouette élégante et sévère ? Un pacte entre la force et la grâce ? Une "trappiste de la perfection" ? Assurément. Ayant peu écrit, elle déclarait qu'elle eût aimé écrire moins encore.
Son legs est dans Les impardonnables, aujourd'hui notre viatique.
04/1992
Non classé
Douce revanche
La star américaine Phoebe Spring épouse Abdul ibn Faisal Rahman, le roi du Jaquir, un royaume niché dans les sables du désert. En gage de son amour, Abdul offre à sa promise le fabuleux collier Le Soleil et la Lune. Mais le conte de fées tourne au cauchemar car Phoebe n'a pu donner qu'une fille au roi. Méprisée, brutalisée, reléguée au fond du harem, la belle Phoebe n'a plus qu'une obsession : s'évader avec sa fille Adrianne. Des années plus tard, Phoebe et Adrianne ont enfin réussi à se libérer du joug d'Abdul. Adrianne n'a plus qu'une idée en tête : se venger de son père en lui dérobant Le Soleil et la Lune...
05/2007
Non classé
Douce revanche
Figure de proue de la littérature sentimentale, Nora Roberts nous offre un roman plein de suspense, d'exotisme et de passion. La presse people est en ébullition : la plus belle femme du monde, la star
Phoebe Spring, épouse Abdul ibn Faisal Rahman, le roi du Jaquir, un royaume niche dans les sables du désert. En gage de son amour, Abdul offre à sa promise le fabuleux collier Le Soleil et la Lune. Un vrai conte de fées. Qui tourne bientôt au cauchemar. Car Phoebe n'a pu donner qu'une fille au roi. Méprisée, brutalisée, reléguée au fond du harem, la belle Phoebe n'a plus qu'une obsession : s'évader avec Adrianne, sa fille adorée. Des années plus tard, Phoebe et Adrianne ont enfin réussi à se libérer du joug d'Abdul. Adrianne n'a plus qu'une idée en tête : se venger de son père en lui dérobant Le Soleil et la Lune. Elle ignore qu'elle est suivie comme son ombre par le plus séduisant des
policiers...
11/2006
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