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Les Possédés. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

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Dossier

Un festival de lectures plurielles, à travers les univers de premiers romans

Premier événement littéraire collaboratif de France, le Festival du premier roman de Chambéry est l’occasion unique de découvrir la littérature contemporaine en français, italien, espagnol, allemand, roumain et anglais. Débats, rencontres, cafés littéraires, ateliers, spectacles, expositions... Voyagez à travers les univers des auteurs invités. 

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Dossier

Le livre numérique fête ses 50 ans : un anniversaire, tout en histoire

Certains membres du Projet Gutenberg, célèbre plateforme dédiée à la préservation d'ouvrages du domaine public, ont décidé de sortir les bougies. L'ebook célèbre ses 50 années – né en 1971 ! – qu'il n'a effectivement pas l'air d'avoir. Si le grand public l'a découvert avec les premières liseuses, ActuaLitté, en partenariat avec ces passionnés, retrace une histoire de l'ebook. Un dossier exceptionnel.

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Romans, nouveautés : les livres de Hervé Le Tellier

Hervé Le Tellier est un écrivain, romancier, poète, journaliste et membre de l'Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle) français, né en 1957 à Paris.

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Roman, nouveautés : les livres de Cormac McCarthy

Cormac McCarthy est un écrivain américain né le 20 juillet 1933 à Providence, dans l'État de Rhode Island. Il a grandi dans une famille catholique irlandaise et a étudié à l'université de Knoxville, dans le Tennessee, où il a obtenu un diplôme en arts.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

Extraits

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Littérature russe

Les Possédés. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

"Est-il possible de croire ? Sérieusement et effectivement ? Tout est là". Stavroguine envoûte tous ceux qui l'approchent, hommes ou femmes. Il ne trouve de limite à son immense orgueil que dans l'existence de Dieu. Il la nie et tombe dans l'absurdité de la liberté pour un homme seul et sans raison d'être. Tous les personnages de ce grand roman sont possédés par un démon, le socialisme athée, le nihilisme révolutionnaire ou la superstition religieuse. Ignorant les limites de notre condition, ces idéologies sont incapables de rendre compte de l'homme et de la société et appellent un terrorisme destructeur. Sombre tragédie d'amour et de mort, "Les Possédés" sont l'incarnation géniale des doutes et des angoisses de Dostoïevski sur l'avenir de l'homme et de la Russie. Dès 1870, il avait pressenti les dangers du totalitarisme au XXe siècle.

01/2023

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Littérature française

Le Joueur. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Qui mieux qu'un joueur pouvait décrire la descente dans l'enfer du jeu ? Courant les grands casinos européens, Dostoïevski est criblé de dettes quand il écrit ce court roman. Dans une ville d'eau imaginaire, Alexis est employé dans la maison d'un général russe endetté auprès de son entourage. Paulina, pupille du général, demande à Alexis de jouer à la roulette pour elle, son rang lui interdisant les jeux d'Hasard. Elle a besoin d'argent mais ne dit pas pourquoi à Alexis, amoureux d'elle. Le général a également besoin d'argent, il attend la mort d'une tante et l'héritage, condition pour pouvoir épouser Blanche de Comminges, une femme beaucoup plus jeune que lui. Mais, voilà, la tante découvre le jeu de la roulette... Le Joueur est un roman court de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski paru en 1866. Rédigé1 dans l'urgence, le roman a été dicté en vingt-sept jours2 à Anna Grigorievna Snitkina3. Pressé par son éditeur Stellovski, à qui il avait promis ce roman, contemporain de Crime et Châtiment, Dostoïevski en a néanmoins fait une oeuvre marquante. Contexte d'écriture Ce court roman composé de 17 chapitres est écrit entre les parties V et VI de Crime et Châtiment, en automne 1866. C'est par ailleurs le premier roman qu'il dicta. C'est dans un état de grande anxiété qu'il rédige Le Joueur du fait de sa collaboration avec l'éditeur crapuleux Stellovski. En effet celui-ci lui ayant acheté les droits du futur roman pour peu, a fait signer à Dostoïevski un contrat léonin, comportant une clause qui engage le romancier à rendre le roman pour le 1er novembre 18664. Il ne lui reste donc plus que 27 jours pour écrire le roman, sinon "libre à lui, Stellovski, d'éditer pendant 9 ans comme il le voudrait tout ce que j'écrirai sans avoir à me verser de gratification" . Le 31 octobre de la même année, Dostoïevski se présenta chez l'éditeur, respectant donc les engagements. L'éditeur, avide du gain que lui procurerait le non-respect du contrat, indiqua à un de ses employés de l'annoncer absent pour quelques jours. Dostoïevski ne pouvant se résoudre à accepter les conditions qui l'engageaient, alla déposer son manuscrit dans un commissariat afin de dater le roman au 31 octobre 1866 aux yeux de l'Etat.

01/2023

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Littérature française

Les Pauvres gens. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Dostoïevski décrit luimême la genèse de ce roman épistolaire, première oeuvre qu'il a publiée : "La fumée sortait des naseaux des chevaux, des colonnes de fumée montaient des toits des deux rives et il semblait que de nouveaux édifices surgissaient audessus des anciens, qu'une nouvelle ville se bâtissait dans l'air... Il me semblait que toute cette ville, avec tous ses habitants, puissants et faibles, avec toutes leurs habitations, asiles de mendiants ou palais dorés, ressemblait en cette heure de crépuscule à une rêverie fantastique, enchantée, qui disparaîtrait et se dissiperait en fumée montant vers le ciel sombre. Je me suis mis à regarder et je vis soudain des figures étranges. C'étaient des figures étranges, bizarres, tout à fait prosaïques, qui n'avaient rien de Don Carlos ni de Posa, rien que de simples conseillers titulaires, mais en même temps des conseillers titulaires fantastiques. Quelqu'un grimaçait devant moi, en se dissimulant derrière cette foule fantastique et tirait des ficelles, des ressorts. Les poupées se mouvaient, et il riait, il riait ! C'est alors que m'apparut une autre histoire, dans quelque coin sombre, un coeur de conseiller titulaire, honnête et pur, candide et dévoué à ses chefs, et, avec lui, une jeune fille, offensée et triste, et leur émouvante histoire me déchira le coeur".

02/2023

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Littérature française

Un adolescent - Tome II. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Nous retrouvons notre adolescent, toujours en possession de la lettre qui peut ruiner sa famille. Il retrouve son ancien camarade de pension, qui lui vole le document, sans réussir toutefois à arriver à ses fins...

02/2023

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Littérature française

L'Idiot - Tome II. Un roman de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Texte intégral. L'Idiot est un roman de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski publié en feuilleton en 1868 et 1869 dans Le Messager russe, et en édition séparée en deux volumes en 1874. Résumé Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il est capable d'analyses psychologiques très fines. Après avoir passé sa jeunesse en Suisse dans un sanatorium pour soigner son épilepsie, il retourne en Russie pour pénétrer les cercles fermés de la société russe, sans sou ni attache, mais avec son titre de noblesse et un certificat de recommandation en poche. Il se retrouve par hasard mêlé à un projet de mariage concernant Nastassia Filippovna, jeune femme très belle, adulée par un grand nombre de soupirants, mais dont le seul amant est Totzky, son tuteur de 55 ans qui l'a élevée et en a fait sa maîtresse dès la petite adolescence... Lors de la soirée d'anniversaire de Nastassia Filippovna, le prince Mychkine voit un jeune homme qu'il a déjà rencontré, Parfione Semionovitch Rogojine, arriver ivre et offrir une forte somme d'argent à la jeune femme pour qu'elle le suive. Le prince perçoit le désespoir de Nastassia Filippovna, il éprouve une immense compassion pour elle et un désir infini de la sauver. Il lui propose de l'épouser. Après avoir accepté son offre, elle s'enfuit pourtant avec Rogojine, car, dit-elle, elle appartient à la rue. Le prince Mychkine part à Moscou faire les démarches nécessaires pour récupérer un héritage considérable dont on vient de découvrir qu'il lui revenait. Il reste six mois à Moscou. Cependant, ces six mois sont pleins de tension. Nastasia Filipovna est plusieurs fois sur le point d'épouser Rogojine ; mais la veille de la noce, elle s'enfuit pour rejoindre le prince, puis fuit le prince à nouveau. Le prince arrive à Petersbourg et y rencontre Rogojine. Le prince découvre une relation plus torturée encore qu'il ne le croyait entre Nastasia Filipovna et Rogojine. Rogojine est plein de sentiments contradictoires vis-à-vis du prince qu'il hait comme un rival mais adore d'amitié cependant, à cause de l'immense sincérité du prince. Toutefois, au terme d'une journée de tension extrême, Rogojine tente de tuer le prince, mais ce dernier est paradoxalement sauvé par une crise d'épilepsie qui le fait s'écrouler juste avant le meurtre...

01/2023

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Littérature française

Prohartchine. Une nouvelle de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski

M. Prohartchine est un "pauvreriche" . Cette nouvelle est tirée de l'histoire véridique d'un avare lue dans les journaux de la capitale, un "nouvel Harpagon mort en pauvreté sur des monceaux d'or. C'était un conseiller titulaire en retraite. Il ne payait que trois roubles par mois pour loger dans un coin derrière le paravent. Il se plaignait toujours de sa pauvreté et la dernière année avant sa mort il ne paya pas son loyer. Il se refusait des mets chauds même aux derniers jours de sa maladie. Après sa mort, on trouva dans ses effets cent soixanteneuf mille vingtdeux roubles en argent et en billets de banque" . La lecture de ce fait divers impressionna Dostoïevski. Il poursuit : "C'est alors que j'ai vu passer dans la foule une figure non réelle, mais fantastique. Elle portait un vieux manteau qui lui servait sûrement de couverture pendant la nuit. Elle me croisa et cligna en me regardant de son oeil mort, sans lueur et sans force, et je compris que c'était le même Harpagon qui était mort avec son demimillion ! Et voici qu'un personnage surgit devant moi, très semblable au Chevalier Avare de Pouchkine. Il me sembla soudain que mon S. était un personnage colossal. Il quitta le monde et toutes ses tentations et se retira derrière son paravent. Qu'estce, pour lui, que tout ce vain clinquant, tout notre luxe ? A quoi bon la commodité et le confort ? Non, il n'en a pas besoin, il possède tout cela sous son oreiller, sous sa taie non changée depuis l'année dernière. Il n'a qu'à siffler, et tout ce dont il a besoin lui viendra en rampant. S'il le veut, maintes personnes lui adresseront des sourires attentifs. Il est audessus de tous les désirs... Mais pendant que je rêvais ainsi, il me sembla que je volais Pouchkine".

01/2023

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