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Le maître de Pétersbourg

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Tokyo Revengers de Ken Wakui : petits frappes et gros gangs

Que vous soyez fans de GTO, Bleach ou Erased, Tokyo Revengers saura combler vos attentes. Ken Wakui, maître incontesté des manga de furyo au Japon, signe ici l'œuvre la plus ambitieuse de sa carrière. Tout en soignant la description de l'univers des racailles japonaises dans laquelle il excelle déjà, il mène d'une main de maître un scénario complexe mêlant voyage dans le temps, thriller et baston. S'y ajoutent des personnages tous plus charismatiques les uns que les autres pour faire de Tokyo Revengers l'une des plus belles surprises shônen de ces dernières années !

Extraits

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Littérature étrangère

Le maître de Pétersbourg

Octobre 1869. Un exilé revient à Pétersbourg. Son beau-fils Pavel vient d'y être victime d'un accident fatal : il doit reprendre les affaires du jeune mort. Le voyageur, un écrivain nommé Dostoïevski, a emprunté une fausse identité. La police le démasque et refuse de lui remettre les papiers de Pavel, mêlé aux activités d'un groupe terroriste. Dostoïevski s'installe dans la chambre de Pavel et noue une liaison érotique avec sa logeuse, une femme douce et sévère qui lui reproche son indécision. Il plonge dans un univers angoissant où les apparences sont trompeuses : Pavel s'est-il suicidé, a-t-il été tué par la police ou par ses camarades nihilistes ? Dérouté par les interrogatoires policiers, traqué par un indicateur qui pénètre dans son intimité, fasciné et écoeuré par sa rencontre avec le fanatique Netchaïev, il s'égare sur les traces de Pavel, dont l'image idéalisée vole en éclats. La Russie est malade, rongée par la pauvreté, l'autorité stupide et la violence destructrice. L'écrivain, hanté par son impuissance, ne peut qu'écrire en se nourrissant des vies blessées qui l'entourent et de ses propres échecs. Un ouvrage profond, subtil, grave, où l'on retrouve le style austère de Coetzee, mais aussi un univers intérieur trouble et émouvant, porté par des images fortes. Un récit captivant qui se lit d'une haleine.

02/1995

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Poches Littérature internation

Nouvelles de Petersbourg

Attaché, tel un diable visionnaire, aux pas chancelants de ses personnages, pantins grotesques autant qu'ils sont pathétiques, Gogol parcourt Pétersbourg, transfigurée sous sa plume en un inquiétant théâtre d'ombres. Du Manteau au Portrait, en passant par Le journal d'un fou, Le Nez et La Perspective Nevsky, ces nouvelles fantastiques et cocasses, par-delà la satire de la société russe, donnent à voir un univers imprévisible, gouverné par le non-sens. Ainsi que l'écrivait Nabokov, "l'essence de l'humanité est dérivée d'une manière irrationnelle du chaos de faux-semblants qui compose le monde de Gogol".

01/2009

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Littérature étrangère

Pétersbourg

Tout Biely est à la jointure entre mort et naissance, entre naissance et mort, qui fait les très grandes oeuvres. Pétersbourg est la fin d'un monde, la possible naissance d'un autre, à peine entrevu, dessiné dans le brouillard de la ville la plus fantastique et la plus terroriste du monde. Aussi ce roman-poème nous poursuivra longtemps après la dernière page. Longtemps après que nous aurons laissé Nikolaï Apollonovitch absorbé par la lecture du philosophe vagabond ukrainien qu'il lit après la bombe, après sa fuite en Egypte, après la mort du sénateur, retombé en enfance... Un livre mirage, retombée de brouillard, retombée de mots qui persécutent.

03/2018

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Poches Littérature internation

Pétersbourg

Dans les cercles de la bourgeoisie juive de Saint-Pétersbourg, en ces années 1910, on ne parle que du prochain mariage de Zakhari Mirkin, fils d'un riche homme d'affaires, avec la fille de l'avocat Halperine, dont la renommée s'étend à tout l'Empire, attirant aussi bien les puissants que les rebelles opprimés par le régime. Mais Zakhari ne se reconnaît pas dans ce milieu. Il sait ce qu'il ne veut pas : ressembler à son père, mu par l'amour du luxe et du pouvoir, cachant sa judéité comme il cache sa liaison adultère. Tandis qu'il se rapproche des juifs malheureux, dont il aime la foi, les espoirs et les révoltes, Zakhari découvre qu'il parle et comprend mystérieusement leur tangue, le yiddish... C'est le début d'une quête d'identité à travers les milieux et les destins juifs les plus divers car, écrivait Stefan Zweig, "c'est dans le coeur juif que Schalom Asch entend le mieux battre le coeur du monde".

02/2020

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Histoire internationale

Histoire de Saint-Pétersbourg

Dès sa fondation, en 1703, Saint-Pétersbourg engendra des mythes tenaces. Pour la construire, Pierre le Grand mobilisa des dizaines de milliers d'ouvriers, dont beaucoup moururent, d'où la légende d'une ville édifiée sur des ossements. En moins de dix ans, à coup d'oukazes et de déplacements de population, le tsar fit surgir une ville qui devait surpasser toutes les capitales d'Europe. Bâtie sur le principe de la perspective " régulière ", elle serait un modèle d'ordre et de raison, le phare de l'Empire russe, une ouverture sur l'Europe. Les héritières du tsar, Elisabeth et surtout la Grande Catherine, reprirent l'ambitieux dessein de Pierre. Sous la houlette de Rastrelli, l'inventeur du baroque russe, palais et églises se multiplient. La cour de Pétersbourg vit alors au rythme des bals masqués et des feux d'artifice, et leur magnificence fait dire aux étrangers que les impératrices, à l'instar de Louis XIV, veulent ruiner la haute noblesse. S'affirmant digne héritière du tsar fondateur, Catherine érige la célèbre statue de Pierre le Grand. A la fois Auguste et Mécène, elle transpose les rêves d'architecture néoclassique de l'Occident, couvre la capitale de colonnades et fait construire l'Ermitage où elle réunit ses collections de peinture. Au XIXe siècle, salons littéraires, cabinets de lecture, spectacles font de Pétersbourg une grande capitale européenne. La cité est en même temps le centre d'un Etat en pleine expansion, qui s'affiche à l'occasion des parades militaires de Nicolas Ier et dont le dynamisme surprend les étrangers. A la fin du siècle, la révolution industrielle bouleverse le visage de Pétersbourg alors même que la société russe s'y enracine. La ville semble cependant marquée par la malédiction originelle qui, de Pouchkine à Dostoïevski, imprègne toute la littérature et que viennent illustrer des événement tragiques : l'inondation de 1824, l'assassinat d'Alexandre II, le Dimanche rouge de 1905. En 1914, Saint-Pétersbourg perd son nom : après la Révolution de 1917, elle cède à Moscou son statut de capitale, avant d'entrer dans l'ère soviétique.

05/1996

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Poches Littérature internation

2 nouvelles de Pétersbourg

"Fuyez, pour Dieu, fuyez au loin le réverbère ! Et vite, aussi vite que vous pouvez, passez au large. Heureux encore si vous vous en tirez avec une coulée de son huile puante sur votre élégant manteau. Mais outre le réverbère tout respire l'imposture. Elle ment à longueur de temps, cette Perspective Nevski, mais surtout lorsque la nuit s'étale sur elle en masse compacte et accuse la blancheur ou le jaune pâle des façades, quand toute la ville devient éclair et tonnerre, quand des myriades d'attelages débouchent des ponts, quand les postillons hurlent sur leurs chevaux lancés au galop, quand le démon lui-même allume les lampes uniquement pour faire voir les choses autres qu'elles ne sont". Classiques de la littérature russe, La Perspective Nevski et Le Manteau sont deux entrées exemplaires dans l'oeuvre de Gogol et ouvrent, magistralement, à sa Saint-Pétersbourg spectrale et cruelle.

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