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Le moment viennois. Chroniques de la modernité à l'époque de la Sécession viennoise

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Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

Extraits

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Autriche

Le moment viennois. Chroniques de la modernité à l'époque de la Sécession viennoise

La Sécession viennoise est un courant artistique qui s'est épanoui en Autriche, plus particulièrement à Vienne, entre 1897 et 1905. Par convention et a posteriori, il a été rattaché à l'Art nouveau et au Jugendstil, vaste élan de renouveau des formes artistiques que connaît tout l'Occident à la fin du XIXe siècle. Pascal Morand y voit la naissance du monde moderne et la préfiguration de notre actualité. Il fait en particulier les liens nécessaires entre histoire et histoire de l'art ainsi qu'entre art et économie. Il plonge le lecteur dans la Vienne de 1900 et redonne vie à l'exceptionnelle richesse de sa création artistique et culturelle. Il analyse l'eeuvre de six figures illustres, pour montrer en quoi chacune a contribué à poser les jalons de notre société contemporaine dans les domaines du développement durable, de l'innovation, de la création, de la diversité, du féminisme... : Gustav Klimt (1862-1918), Otto Wagner (1865-1902), Josef Hoffmann (1870-1956), Adolf Loos (1870-1933), Emilie Flöge (1874-1952) et Arnold Shönberg (1874-1951).

04/2021

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Critique littéraire

Karl Kraus. Phare et brûlot de la modernité viennoise

Voici une étude d'ensemble, la première en langue française depuis un demi-siècle, de la vie et de l'oeuvre d'une des étoiles les plus brillantes de la Vienne du tournant du siècle à l'entre-deux-guerres. Né en 1874, la même année que Hugo von Hofmannsthal et Arnold Schönberg, Karl Kraus (1874-1936) est l'une des plus grandes figures de cette modernité qui, de la fin de siècle aux années 1920, a fait passer la capitale viennoise au premier plan de l'histoire intellectuelle et artistique européenne. Orateur magnétique, maniant comme personne cet humour (juif) qui fut comme la marque d'un Empire à ses derniers feux, Kraus fascina autant les écrivains (Brecht, Canetti, Broch), les musiciens (Schönberg, Berg), l'architecte Loos, l'explorateur de l'âme Freud, les philosophes, de Wittgenstein à Adorno, que Walter Benjamin, son interprète le plus profond et le plus lucide. Dramaturge, poète, essayiste, il fut avant tout un satiriste redouté, dénonçant dans sa fameuse revue, Die Fackel, les compromissions et les faux-semblants des milieux littéraire et politique, la corruption sous toutes ses formes (en particulier celle de la langue, qui lui semblait la plus destructrice) et la presse en général. Maître de l'essai satirique et polémique, de l'aphorisme, cultivant la provocation au nom d'une certaine idée de la culture et de la vérité, cet enragé magnifique est l'auteur d'authentiques chefs-d'oeuvre (des Derniers Jours de l'humanité à la Troisième Nuit de Walpurgis). Richement documentée et portée de bout en bout par l'élan de créativité qui enflamma l'époque, cette passionnante biographie fera date.

10/2018

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Littérature française

La mort viennoise

Vienne, 1679. Un univers féroce et vulnérable, tout frémissant de cette sensualité qui naît du frôlement incessant de la mort. Trois figures centrales : le prince Balthasar ; sa femme Eléonore et leur fils Johannes dressent sur ce décor baroque et funèbre leurs désirs, leurs hantises, leurs rêves de vie. Mais le principal personnage de ce livre, c'est Vienne, la Vienne du XVIIe siècle et l'empire dont elle est le symbole. Le plaisir et la mort s'y mêlent, l'un masquant l'autre sous les dorures, les divertissements et les étreintes. Dans ce grand bouillonnement d'une ville quasi mythique et d'une société ébranlée par une fièvre proche de la démence, la peste surgit. Sommet d'un sabbat dont Vienne est le théâtre. Tandis que Johannes apprend tout ensemble la vie, l'amour, la mort, et qu'Eléonore découvre la "petite mort" de la volupté, les habitants de Vienne, sous la menace de la peste, tombent dans une hallucination érotique, mystique, meurtrière... Le très beau roman de Christiane Singer brasse tous ces éléments intensément dramatiques avec une sûreté, une acuité, une ampleur ; et en même temps une richesse de métaphores, qui confirment un prodigieux tempérament d'écrivain. "Dans la puissance d'évocation, et l'intensité de la pensée, certaines pages ne sont pas loin d'égaler l'admirable oeuvre au noir de Marguerite Yourcenar Jean-Michel Royer/Le Point Un sens remarquable du détail... Une étonnante habileté... Un rythme qui fait de ce livre une baroque pavane, luxurieuse et funèbre... Christiane Singer affirme avec une éblouissante maîtrise l'originalité et l'ampleur de son talent". Pierre Kyria/Le Monde

03/2022

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Littérature étrangère

Romance viennoise

Au début du XXe siècle, à Vienne, émigrés juifs, officiers de l'armée autrichienne, bureaucrates, bourgeois, anarchistes, comédiens, chanteurs et prostituées... tous ces gens passent leur temps à boire et manger dans les tavernes, à traîner dans les parcs et salles de concert, à jouer aux cartes et à parier dans des tripots enfumés. Parmi eux Michael Rost, un jeune juif russo-polonais, une âme de poète, sans un sou, débrouillard et avide d'expériences. Il rencontre un homme d'affaires à la fortune douteuse, Peter Dean, qui lui offre une sorte de "bourse" pour se lancer dans la vie. Michael Rost loue une chambre à une famille bourgeoise influente, se laisse séduire par la maîtresse de maison, Gertrude Stift, dont le mari est en voyage d'affaires, et séduit aussitôt Erna, leur fille encore adolescente. Romance viennoise est à la fois le récit de cette relation triangulaire, en proie à une sexualité fougueuse et un amour destructeur, et le portrait d'une société décadente dans la Vienne des années 20. Ce roman érotico-sentimental, d'une modernité impressionnante, écrit dans un hébreu profane, expressionniste, évoque d'autres oeuvres, celles d'un Schiele, Schnitzler ou Joseph Roth.

10/2014

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Histoire internationale

Symptômes viennois

" Ce sont des enfants de la rue. La rue est leur foyer et leur toit, leur origine et leur but. Ce sont eux en premier qui lui prêtent sa physionomie et son caractère spécifique, ils en font partie comme les pieds des réverbères, les pavés, les refuges au milieu de la chaussée, les colonnes Morris, les obélisques et les guérites. Ils sont le mobilier de la rue, fabriqué par l'usine de la vie et bradé dans la grande ville. Le bourgeois passe tous les jours devant eux, indifférent et apathique, il les évite comme un arbre sur le trottoir ou un caniveau et il s'arrête, surpris, quand l'un de ces meubles ouvre la bouche ou tend la main. ". Dans une série d'articles pleins de compassion et d'humour opiniâtre, Joseph Roth (1894-1939) décrit un petit peuple de miséreux et de marginaux qui, en 1919, hante les rues d'une Vienne encore meurtrie par la guerre. Peu à peu, ce qui paraissait impossible se réalise, tout empire encore avec l'apparition du nazisme. L'ironie n'est alors plus de mise...

11/2004

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Théâtre - Pièces

Legendes de la foret viennoise - deuxieme version

Sur une petite place dans un quartier de Vienne et dans la Forêt Viennoise, entre les deux guerres mondiales. Les hommes et les femmes qui vivent là chantent et boivent, s'aiment et se trompent, partagent leurs espoirs et leurs désillusions, se repoussent et parfois se pardonnent, pour le meilleur et pour le pire. Il y a Magiemag, le propriétaire d'une clinique de poupées, et sa fille Marianne, fiancée contre son gré à Oskar, son voisin boucher. Marianne est séduite par le bel Alfred, un jeune noble désargenté et bon-à-rien qui fréquentait auparavant chez la veuve Mathilde, la buraliste de la place, avant que celle-ci ne le remplace par Erich, le neveu de Magiemag. Le tout sous le regard goguenard du capitaine et de Havlitchek, l'assistant-boucher. Légendes de la Forêt Viennoise est, avec Casimir et Caroline, la pièce la plus célèbre de Horvath. Il en existe deux versions, assez différentes. La seconde que nous vous présentons ici, n'avait jamais été publiée auparavant en français. Elle est légèrement plus courte que la première version, mais surtout moins cruelle et avec une once d'espoir.

02/2024

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