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La gloire du Christ dans l'art

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

Dans l'univers d'Harry Potter, la fantastique aventure de JK Rowling

Depuis maintenant une vingtaine d’années, les histoires du petit sorcier et de ses copains magiciens ont provoqué un véritable miracle. Traduite en plus de 80 langues, la saga Harry Potter est un monde en soi, dont les ramifications s’étendent au-delà de l’imaginable.

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

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Dossier

La musique dans tous ses états

Le chant, le rythme, les sons, la mélodie, l’harmonie... La musique est le plus magique des arts. Là nulle rationalisation, aucun mensonge du discours. Certes la poésie doit atteindre à la musique, mais n’est-ce pas là bien la preuve d’une supériorité ? Une autre occasion où le texte rejoint l'art musical, c’est quand de grands musicologues ou mélomanes nous en décryptent les subtilités ou nous en racontent les histoires.

 

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Dossier

Salon du livre 2024 de Turin : plongée dans la “Vie imaginaire”

Le Salon International du Livre de Turin revient au Lingotto Fiere du jeudi 9 au lundi 13 mai, sous la nouvelle direction d'Annalena Benini, pour accueillir la communauté de lectrices et lecteurs de tous âges qui rencontreront des autrices et auteurs italiens et internationaux, et découvriront les œuvres des maisons d'édition présentes, en tracent ensemble de nouvelles vies imaginaires.

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Dossier

7 lieues, la collection d'aventures dans la poche

Les éditions Milan ont choisi de faire chausser des bottes aux jeunes lecteurs, à partir de 7 ans, pour vivre des aventures incroyables. Et pas n’importe quelles bottes : celles de 7 lieues, du nom de leur nouvelle collection. Deux séries ouvrent le bal de cette aventure éditoriale : La Famille Rollmops et ses voyages invraisemblables et La Cabane, une histoire d’enfants, interdite aux grands.

Extraits

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Art sacré

La gloire du Christ dans l'art

Reprenant le même principe que L'enfance du Christ dans l'art, La vie publique du Christ dans l'art et La mort et la résurrection du Christ dans l'art, ce beau livre propose cent oeuvres pour traverser l'histoire de l'art et redécouvrir la mort et la résurrection du Christ. L'ouvrage s'articule autour de grandes thématiques : de la résurrection du Christ à l'Apocalypse, en passant par les apparitions de Jésus, l'Ascension, la Pentecôte, le Jugement dernier, etc., en s'attachant à chaque fois à retracer l'apport artistique du Moyen Age au XXIe siècle. Son originalité, outre le dialogue entre l'art chrétien d'hier et celui d'aujourd'hui, est de convoquer et de comparer l'art chrétien d'Orient et celui d'Occident. Les photographies de John Pole et les textes de Marie?Gabrielle Leblanc nous ouvrent, à travers chaque détail et chaque explication, au mystère de l'Evangile, en suivant pas à pas le génie de l'artiste. Les oeuvres redeviennent ainsi pour nous les catéchèses qu'elles furent pour leurs contemporains, l'art constituant certainement l'une des plus belles formes d'évangélisation et de témoignage.

11/2021

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Histoire de l'art

La gloire du Christ dans l'art + coffret

Reprenant le même principe que L'enfance du Christ dans l'art, La vie publique du Christ dans l'art et La mort et la résurrection du Christ dans l'art, ce beau livre propose cent oeuvres pour traverser l'histoire de l'art et redécouvrir la mort et la résurrection du Christ. L'ouvrage s'articule autour de grandes thématiques : de la résurrection du Christ à l'Apocalypse, en passant par les apparitions de Jésus, l'Ascension, la Pentecôte, le Jugement dernier, etc. , en s'attachant à chaque fois à retracer l'apport artistique du Moyen Age au XXIe siècle. Proposé dans un coffret où glisser les trois volumes précédents. A propos de l'auteur : Marie-Gabrielle Leblanc est historienne d'art, spécialiste de la peinture flamande du XVe siècle, de l'art baroque européen, de l'art copte des chrétiens d'Egypte et de l'art orthodoxe byzantin. Organisatrice de voyages culturels et de pèlerinages, elle est depuis quarante ans reporter et critique d'art d'abord à Famille chrétienne, puis à France catholique.

10/2022

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Art sacré

Christ dans l'Art. Coffret en 4 volumes : L'enfance du Christ dans l'Art ; La vie publique du Christ dans l'Art ; La mort et la résurrection du Christ dans l'Art ; La gloire du Christ dans l'Art

Ce pack propose de redécouvrir la vie du Christ à travers quatre cents oeuvres du Ve siècle au XXIe siècle. Son originalité, outre le dialogue entre l'art chrétien d'hier et celui d'aujourd'hui, est de convoquer et de comparer l'art chrétien d'Orient et celui d'Occident. Les photographies de John Pole et les textes de Marie-Gabrielle Leblanc nous ouvrent, à travers chaque détail et chaque explication, au mystère de l'Incarnation, en suivant pas à pas le génie de l'artiste. Les oeuvres redeviennent ainsi pour nous les catéchèses qu'elles furent pour leurs contemporains, l'art constituant certainement l'une des plus belles formes d'évangélisation et de témoignage. A propos de l'auteur : Marie-Gabrielle Leblanc est historienne d'art, spécialiste de la peinture flamande du XVe siècle, de l'art baroque européen, de l'art copte des chrétiens d'Egypte et de l'art orthodoxe byzantin. Organisatrice de voyages culturels et de pèlerinages, elle est depuis quarante ans reporter et critique d'art d'abord à Famille chrétienne, puis à France catholique.

10/2022

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Beaux arts

La vie publique du Christ dans l'art

Cent oeuvres exceptionnelles pour redécouvrir la vie publique du Christ. Cet ouvrage nous dévoile les différents moments de La VIe publique du Christ à travers cent oeuvres du IVe siècle au XXIe siècle. Son originalité, outre le dialogue entre l'art chrétien d'hier et celui d'aujourd'hui, est de convoquer et de comparer l'art chrétien d'Orient et celui d'Occident. Les photographies de John Pole et les textes de Marie-Gabrielle Leblanc nous invitent, à travers chaque détail et chaque explication, à suivre le Christ de son baptême à sa résurrection, en passant par les guérisons, les miracles et les paraboles. Les oeuvres redeviennent ainsi pour nous les catéchèses qu'elles furent pour leurs contemporains, l'art constituant certainement l'une des plus belles formes d'évangélisation et de témoignage.

11/2019

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Histoire de l'art

Gloire et misère de l'image après Jésus-Christ

La prolifération des images dans notre société vue à travers le prisme du christianisme. La prolifération des images a pris, au cours du XXe siècle, des proportions extravagantes. Pour le dire comme Günther Anders : " Auparavant, il y avait des images dans le monde, aujourd'hui il y a "le monde en images', plus exactement le monde comme image, comme mur d'images qui capte sans cesse le regard, l'occupe sans interruption et recouvre sans interruption le monde. " Ce règne des images et son corollaire, le désintérêt à l'égard du monde tel qu'il nous est donné, est aux antipodes de l'enseignement biblique dans son ensemble. Le christianisme a certes promu l'image, mais pas n'importe quelles images ; et s'il a recommandé les images, c'est en tant que celles-ci s'accordent à la prédication évangélique et servent à confirmer l'Incarnation, réelle et non fictive, du verbe de Dieu dans la personne du Christ. Autant dire que le déluge d'images qui s'abat aujourd'hui sur le monde n'a rien de chrétien. Et cependant, pareil déluge n'aurait pu advenir sans le statut accordé par le christianisme à l'image, sans l'enjeu dont il l'a investie. Conjoncture étrange, dont seule une enquête généalogique est à même de dégager les traits, de révéler les tenants et les aboutissants. Le propos de cet ouvrage est, en mettant au jour certains fils enterrés, de comprendre comment a pu s'effectuer le passage entre l'image chrétienne et le raz-de-marée imagier contemporain.

08/2023

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Beaux arts

Gloire et misère de l'image après Jésus-Christ

La prolifération des images a pris, au cours du XXe siècle, des proportions extravagantes. Pour le dire comme Günther Anders : " Auparavant, il y avait des images dans le monde, aujourd'hui il y a "le monde en images", plus exactement le monde comme image, comme mur d'images qui capte sans cesse le regard, l'occupe sans interruption et recouvre sans interruption le monde. " D'une part, ce règne des images et son corollaire, le désintérêt à l'égard du monde tel qu'il nous est donné, est aux antipodes de l'enseignement biblique, depuis le Pentateuque et les Prophètes jusqu'aux Evangiles et aux épîtres de Paul. Le christianisme a certes promu l'image, mais pas n'importe quelles images : les conciles ont condamné " les peintures qui charment la vue et corrompent l'esprit, et allument les flammes des désirs impurs ", et s'ils ont recommandé les images, c'est en tant que celles-ci s'accordent à la prédication évangélique et servent à confirmer l'Incarnation, réelle et non fictive, du verbe de Dieu dans la personne du Christ. Autant dire que le déluge d'images qui s'abat aujourd'hui sur le monde n'a rien de chrétien. D'autre part cependant, pareil déluge n'aurait pu advenir sans le statut accordé par le christianisme à l'image, sans l'enjeu dont il l'a lestée. Conjoncture étrange, dont seule une enquête généalogique est à même de dégager les traits, de révéler les tenants et les aboutissants. Le propos de cet ouvrage est, en mettant au jour certains fils enterrés, de comprendre comment a pu s'effectuer le passage entre l'image chrétienne et le raz-de-marée imagier contemporain. Une enquête historique, philosophique, théologique est donc nécessaire. Les hommes qui au VIIIe siècle, en Orient, se sont durement affrontés sur la question des images, n'étaient pas des insensés, mais des personnes plus au fait que nous de la puissance des images et des enjeux qui leur sont attachés. Voilà pourquoi les arguments échangés lors de cette querelle, ainsi que la théologie de l'image qui s'est dégagée alors, et précisée par la suite, réclament de nous attention et réflexion. Ils la réclament d'autant plus que, parmi les parmi les erreurs commises à l'égard des images qui nous viennent du passé, la plus courante consiste à les recevoir comme oeuvres d'art. Or, comme l'a souligné Hans Belting, l'" ère de l'art " ouverte par la modernité a été précédée par une longue " ère de l'image ", dont nous avons peine à nous faire une idée juste, dès lors que " l'histoire de l'art a tout qualifié d'art sans autre forme de procès, afin d'en revendiquer le titre de propriété, nivelant ainsi les différences ". A l'époque médiévale, il n'y avait pas d'oeuvres d'art à caractère religieux, il y avait des oeuvres sacrées réalisées avec art. Non seulement la pensée théologique se révèle indispensable pour appréhender correctement des oeuvres qui n'étaient pas proposées à l'admiration des esthètes, mais à la contemplation des fidèles ; elle s'avère également nécessaire pour comprendre de quelle manière la transition entre l'ère de l'image et l'ère de l'art a pu s'effectuer. Le XVe siècle constitue à cet égard, en Occident, une période charnière, à laquelle nous accordons une attention particulière. Durant les premiers siècles du christianisme, l'apologétique se devait d'insister sur la divinité du Christ. Vint ensuite un temps où il n'y eut plus tant à convaincre les fidèles de la divinité du Christ, ni à la proclamer contre ceux qui la niaient, qu'à rappeler son humanité, qu'il s'était vraiment fait homme. Ce souci nourrit un mouvement vers le naturalisme : plus le Christ, son entourage et le cadre dans lequel il apparaissait étaient présentés de manière naturaliste, plus l'Incarnation de Dieu en ce monde-ci révélait son caractère " surmerveilleux ". De ce point de vue, la valeur religieuse d'une peinture se trouva, sinon indexée, du moins liée à l'art dont le peintre avait fait preuve dans le rendu des personnages, des objets et de la nature. Le passage de l'ère de l'image à l'ère de l'art ne s'est pas opéré par rupture, ni par évolution progressive, mais par la production d'oeuvres à double entente, qui pouvaient tout à la fois être reçues comme images sacrées et comme oeuvres d'art. L'histoire des liens entre sacré et image ne s'achève pas avec l'émancipation de l'art vis-à-vis des thèmes et prescriptions religieux. Car quand bien même la modernité serait " sortie de la religion ", sortie ne signifie pas indépendance - pas plus que celui qui rejette sa famille pour aller vivre sa vie aux antipodes n'en a fini avec l'influence de ses parents, dont témoigne son éloignement même. S'imaginer définitivement quitte de la religion, ce n'est pas en être effectivement quitte, c'est plutôt s'interdire d'en mesurer l'héritage et se condamner à une forme de somnambulisme. Quoi qu'on en ait, le rapport à l'image demeure hanté par le sacré. A travers elle, une Présence se cherche. Cela vaut aussi bien pour les images photographiques ou cinématographiques, dans leur multiplication insensée : au fur et à mesure qu'elles se multiplient, la présence qu'elles tentent de capter s'évapore, et plus cette présence s'évapore, plus il faut multiplier les images pour essayer d'en capter malgré tout une bribe, en un emballement frénétique. En regard de la photographie, une autre quête de la présence dans l'image, différente et concurrente, s'est poursuivie au sein de l'art moderne - qui a mené à la peinture non figurative. Les deux mouvements - l'inflation photographique, l'abstraction - se répondent : plus le nombre des images photographiques et cinématographiques devient démentiel, au point de saturer le regard, plus la peinture est conduite, pour donner matière à voir, à prendre le contrepied. Dans ce livre, nous nous efforçons de suivre un fil. Le qui, partant de la façon dont les images ont été reçues et se sont épanouies au sein du christianisme, conduit au moment où la célébration du mystère de l'Incarnation a servi d'incubateur à l'ère de l'art, qui elle-même aboutit, après quelques siècles, à leur prolifération sans mesure, ou à l'abandon de la figuration. Le chemin n'est pas une marche aléatoire, il n'est pas non plus une ligne droite. Les modes d'intelligibilité varient mais, ce qu'à épouser les plis du terrain le propos perd en unité, il espère le gagner en vérité.

09/2020

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