Laëtitia D. Emco

L’auteure de La tresse, Laetitia Colombani, revient avec un nouveau roman. Avec près d’un million d’exemplaires vendus du précédent, traduit en 35 langues – et que l’on découvrira prochainement au cinéma –, elle publiera chez Grasset Les victorieuses.

Depuis 2012, Domitys, créateur et gestionnaire de résidences pour les seniors, organise un prix littéraire au sein de tous ses établissements, afin de promouvoir et valoriser la lecture active, entretenir l'esprit d'analyse et la réflexion, mais aussi générer des échanges et des débats dans la convivialité et le respect des idées de chacun. La tresse, de Laetitia Colombani, remporte le prix littéraire Domitys 2018.

Laetitia Legay arrivera cet été au poste de Directrice marketing de Flammarion, un poste créé pour l’occasion qui couvrira un champ d’action plus large qu’auparavant. En effet, la maison édition a décidé de rassembler les différentes fonctions marketing au sein d’un même département. En attendant son arrivée, c’est Patrice Margotin qui assurera la période de transition. 

La réalisatrice Laetitia Masson (Un hiver en été, Petite fille) réalisera pour Arte une fiction tirée du livre d’Éric Fottorino, Chevrotine. Le tournage vient de démarrer en Bretagne, jusqu'au 13 novembre prochain. Au casting, Rafi Pitts et Élodie Bouchez, notamment.

La FNABEH — Fédération Nationale des Associations de Bibliothèques en Etablissements Hospitaliers — avait lancé son premier prix littéraire. Et c'est Laetitia Colombani qui remporte cette première édition, avec son livre La tresse, paru chez Grasset.

Le premier roman de Laetitia Colombani, La tresse, paru chez Grasset, a permis à la réalisatrice, scénariste et actrice de transformer l'essai. Derrière la caméra pour À la folie... pas du tout (2002) Mes stars et moi (2008), Colombani fera de son roman son troisième film, en l'adaptant elle-même pour le cinéma.

Alors que je n’étais qu’une enfant licorne, je demandais souvent à ma maman de me tresser la crinière. J’éprouvais, et je crois que c’est encore le cas aujourd’hui, une sorte de fascination devant le mystère de la natte. Une dessus, une dessous, une dessus et ainsi de suite. Trois mèches simplement enchevêtrées pour un résultat quasi-magique. Je me transformais en princesse par le seul entrelacement de mes cheveux.

Les vacances n'empêcheront pas France Télévisions de présenter son programme de rentrée, d'ores et déjà. Avec deux fictions particulièrement attendues, adaptées d'ouvrages revenant sur des affaires retentissantes. On découvrira ainsi Laëtitia, mini-série en 6 épisodes inspirée du livre d'Ivan Jablonka, et Le Mensonge, adaptation du titre homonyme de Christian Iacono.

Paru en 2013, le livre de Laëtitia Milot On se retrouvera (Fayard, 19 €) a fait l’objet d’une adaptation télévisée qui sera diffusée par TF1 le 18 juin 2015. Pour l’actrice qui a connu le succès grâce à son rôle dans « Plus Belle La Vie », l’écriture de cet ouvrage lui a permis de faire ressortir d’autres talents.

Les « voyageurs lecteurs » ont voté : le Prix Relay 2017 a été décerné à Laetitia Colombani pour son livre La tresse, publié aux éditions Grasset. Créée en 1978, sous le nom de Prix Ulysse, la récompense célèbre le lien entre littérature et voyage.

La Guilde française des scénaristes est heureuse d’annoncer l’arrivée de sa nouvelle déléguée générale, Laëtitia Kulyk, le 3 mai prochain.

L'été est à peine achevé que déjà les bilans commencent, avec celui du moteur de recherche Google, qui livre les résultats de recherches effectuées sur le secteur français. Une manière de « prendre le pouls des tendances de la rentrée avec une série de “tops” des recherches des internautes », promet le blog.

Les éditions Grasset annoncent la parution d'un nouveau roman de Laetitia Colombani en juin prochain. L'autrice de La Tresse publiera Le cerf-volant, récit d'une rencontre entre trois générations de femmes, où solidarité, sororité et esprit de résistance se mêlent joyeusement...

Composé de 22 autrices et auteurs, le Conseil d'administration de la Scam décide de la politique de la société de gestion des droits d'auteur ; il est renouvelé par moitié tous les deux ans. Ce mercredi 16 juin, lors de leur assemblée générale ordinaire, les auteurs et autrices de la Scam ont donc renouvelé une partie de leur Conseil d’administration.

En début de semaine passée, Laetitia Milot annonçait l’adaptation à venir, par TF1 de son livre Liés pour la vie, coécrit avec Bénédicte Des Mazery. Désormais, le premier clap est lancé, avec Jean-Marc Rudnicki à la réalisation.

Laeticia Hallyday travaille actuellement sur un ouvrage autobiographique, prévu pour 2025. Pour ce projet, elle est accompagnée d'un auteur, et pas n'importe lequel : Simon Liberati, lauréat du Prix Renaudot du roman 2022, et par ailleurs journaliste.

Nouvelle expédition dans le classement des meilleures ventes, avec le concours de notre partenaire Edistat. Si la semaine passée, Riad Sattouf faisait l’unanimité, tant sur le marché global qu’en librairie, les premiers mouvements se font sentir : Laetitia Colombani prend la tête des meilleures ventes, au global, mais Sattouf, lui, reste le chouchou dans les librairies. 

Ce 5 janvier marque l'anniversaire de la naissance d'Umberto Eco, le génial auteur et penseur italien. Si son œuvre la plus célèbre reste Le nom de la rose, il a signé de nombreux romans, et encore plus d'essais. Et, pour alimenter ce génie de la littérature, il fallait bien une bibliothèque hors du commun...

Le Conseil général et l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (Ademe), veulent imposer le "cartable sain" dans les écoles,
avec des fournitures contenant le moins de polluants possible.

Le Bonheur et le malheur Laetitia PelisseManu Boisteau

ESSAI LITTERAIRE - Pastiche : « Œuvre artistique ou littéraire dans laquelle l'auteur imite en partie ou totalement l’œuvre d'un maître ou d'un artiste en renom par exercice, par jeu ou dans une intention parodique » (*).
Postiche : « Qui apparaît comme un élément artificiellement ajouté à une œuvre » (*).

La bibliothèque privée d’Umberto Eco était un lieu de culture extraordinaire : elle contenait environ 50.000 volumes de titres contemporains et 1500 livres rares et anciens. Après sa mort, elle a été donnée à la bibliothèque Braidense de Brera et à la bibliothèque de l’université de Bologne. Et aujourd’hui, elle est à l’origine d’un film qui nous fait plonger dans un lieu unique, où l’esprit de son créateur demeure toujours vivant.

Ni un roman ni un essai : le Prix Médicis de cette année 2016 revient à Ivan Jablonka pour Laëtitia, Laëtitia ou la fin des hommes en version longue, publié par les éditions du Seuil. Dans ce livre, l'auteur fait le récit du meurtre de Laëtitia Perrais, en 2011, au-delà de l'émotion publique et du scandale politique qui avaient suivis.

À l’âge de 84 ans, Umberto Eco, l’immense écrivain italien, est décédé. C’est un pilier de la culture qui s’en va, prolifique et passionné, que ce soit dans le domaine de la fiction ou de la non fiction. Son plus grand roman, né de l’envie, comme il ne cessait de le répéter, de tuer un moine, restera sans conteste Le Nom de la Rose. Dans l’esprit de tous, Umberto Eco est cette particule insaisissable, à même de s’emparer de tous sujets : un auteur aux multiples talents.

Mondadori avait remporté l’enchère : le rachat de la branche éditoriale du groupe RCS était conclu entre les deux groupes. Une formalité restait : le passage devant l’autorité de la concurrence. Cet exercice tournerait en eau de boudin : l’une des figures de proue de RCS Libri, la maison Bompiani, ne rejoindrait pas Mondadori. Petite ironie du destin ? C’était l’éditeur d’Umberto Eco, qui s’est toujours opposé à cette vente.

L’autorité de la concurrence italienne avait tranché : pour que le rachat de RCS Libri par Mondadori s’opère, ce dernier aurait à vendre certains actifs. Et notamment les maisons Bompiani et Marsilio. Les enchères furent serrées, et le groupe Giunti a fini par l’emporter.

Arrivé dans son grand âge, le romancier et universitaire italien Umberto Eco commence à tourner son regard sur ses œuvres et interventions passées. C'est à ce titre qu'il a publié début mars en France un recueil de conférences, traduites de l'anglais, sous le titre Confessions d'un jeune romancier (Grasset, 236 pages, 17 €).

« Si Dieu existait, il serait une bibliothèque », s'était enflammé Umberto Eco en 1998. Sa bibliothèque personnelle, en tout cas, avait assurément quelque chose de divin, avec ses quelque 50.000 volumes et des étagères à n'en plus finir. L'auteur et réalisateur Davide Ferrario, proche d'Eco, a signé un documentaire sur cette collection, Umberto Eco: A Library of the World.

J’ai appris avec une grande émotion le décès d’Umberto Eco.