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La mort qu'il faut

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

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Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

2021, commémoration des 700 ans de la mort de Dante Alighieri

Né le 21 mai 1265, Dante Alighieri, mythique poète italien, écrivain, mais également homme politique ayant vécu à Florence, est mort le 14 septembre 1321, laissant derrière lui La Divine Comédie. Considéré comme le père de la langue italienne, il compose avec Boccace et Pétrarque cette trinité littéraire par laquelle le toscan s’imposa dans le pays. En cette année 2021, le 700e anniversaire de sa mort est commémoré, partout dans le monde.

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Dossier

La famille, ce port d'attache parfois trop attachant

La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.

Extraits

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Petits classiques parascolaire

La mort qu'il faut

Pour les déportés de Buchenwald, la vie se réduit à peu de chose : la ration de pain du matin, le refuge des latrines du petit camp, et chaque dimanche, la voix douce de la chanteuse Zarah Leander. Parfois, la survie a le visage du " mort qu'il faut " : son voisin, son meilleur ami, son frère, un inconnu. Juste quelqu'un qui vous ressemble assez pour, dans sa mort, vous redonner une identité, une vie. Cela pourrait être un scénario de science-fiction, c'est le récit-témoignage d'une histoire hallucinante, où les mots : générosité, cruauté, solidarité, violence s'écrivent tous en majuscules. L'accompagnement pédagogique rappelle précisément le contexte historique et politique de l'œuvre. Le récit, qui emprunte à la fois à la fiction romanesque et au biographique, fait l'objet d'une étude narrative précise. L'importance de la culture, la question du désir, l'acceptation de la souffrance, thèmes qui traversent Le mort qu'il faut, sont l'objet de développements nourris. Une longue interview exclusive de l'orge Semprun éclaire les intentions de l'écrivain.

11/2003

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Littérature française (poches)

Le mort qu'il faut

" Dans le brouhaha de la boîte de jazz, dans la fumée des cigarettes, nous avions levé nos verres et trinqué à la santé de Walter Bartel. - Rotfront ! s'était écrié Jiri Zak. Et je lui avais répondu - Rotfront ! Front rouge ! C'était le salut des communistes allemands, autrefois, à l'époque sectaire et exaltante, misérable et glorieuse, de la lutte finale et du mot d'ordre apocalyptique classe contre classe ! Beaucoup plus tard, alors que nous commencions à devenir pâteux - mais la musique était à chaque instant meilleure, plus maîtrisée et plus sauvage à la fois -, Jiri Zak s'était penché vers moi, compagnon de mémoire et de beuverie. - Toi qui écris, tu devrais donner une suite au Grand voyage... Il avait dit Grosse Reise, bien sûr: nous parlions en allemand. Il avait lu mon livre en allemand. - Tu devrais raconter la nuit au Revier, à côté de ton Musulman. Tout ce qui va avec... "

08/2002

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Romans historiques

Il est des morts qu'il faut qu'on tue

A la fin du XIXe siècle... En ce temps-là, Paris est une guerre civile. En ce temps-là, on invente le terme "racisme", l'expression "socialisme national" et le slogan "La France aux Français". Les scandales fleurissent. Les attentats anarchistes se multiplient. Les nationalistes préparent un coup d'Etat. La République vacille. Bientôt l'affaire Dreyfus cristallisera toutes les passions. Romain Delorme est jeune et audacieux. Son mentor, l'ex-préfet de police Andrieux, un deus ex machina proche de Clemenceau, a fait de lui son agent au coeur du mouvement antisémite. Romain est devenu l'ami du marquis de Morès, redoutable duelliste, de ses gardes du corps, les terribles bouchers de la Villette, de Jules Guérin - dont le journal L'Antijuif et l'épisode du fort Chabrol immortaliseront le nom -, et d'Edouard Drumont, l'auteur de La France juive qui, dans les colonnes de La Libre Parole, exalte la haine des Juifs. Il devra feindre, ruser, prendre des risques inouïs avant d'être mêlé à une affaire insensée autant qu'incroyable, l'assassinat d'Emile Zola, et de découvrir le secret de ses propres origines. De la Commune de Paris à la Libération, un roman noir historique à la documentation impressionnante. Palpitant.

01/2016

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Actualité et médias

Il faut qu'il parte

"Je n'aime pas les communistes parce qu'ils sont communistes ; je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes ; et je n'aime pas les miens parce qu'ils aiment trop l'argent". Charles de Gaulle C'est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre'un comme celui qu'écrivit La Boétie : le tableau d'une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu'en 1830 et en 1851. Que se passe-t-il dans ce cher et vieux pays pour qu'on accuse les pauvres d'être coupables de leur sort, pour que le travail, ce mal nécessaire, soit tenu pour une valeur, pour que le serpent de Mai 68 se morde la queue et que la culture soit rangée au rayon des biens de consommation ? Un homme à la tête de l'Etat incarne aujourd'hui le nihilisme d'une hyperclasse sans attaches et sans territoire qui voudrait oublier que l'homme est un animal social et que le lien compte plus que le bien. Il ne sera pas nommé dans cet exercice de style dont la violence vise d'abord les idées : le poisson pourrit toujours par la tête. Il faut qu'il parte ne révélera aucun petit secret caché : il fera entendre le hurlement de bouledogue vivisectionné d'un écrivain non-conformiste.

04/2008

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Policiers

Ce qu'il nous faut, c'est un mort

Pour 60 millions de Français, la nuit du 12 juillet 1998 fut celle d'une victoire footballistique. Pour 6 d'entre eux, la nuit où leur vie a basculé. Vingt ans plus tard, un destin sans hasard les réunit à Vrainville, Normandie, où les ateliers de lingerie Cybèle sont sur le point de passer aux mains d'un fonds de pension. A la clef, une véritable casse sociale. Devant l'indifférence médiatique, l'une des ouvrières ironise : " Ce qu'il nous faudrait, c'est un mort ". De mort, il y en aura un, qui ressuscitera le souvenir d'une certaine nuit – une nuit de victoire, de regrets et de larmes.

06/2017

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Policiers

La haine qu'il faut

Aéroport de Nyala, Darfour, Soudan. Une chaleur incandescente, irrespirable. Sur le tarmac, un jeune homme s'encourage. "Tu voulais faire de l'humanitaire ? Voilà, tu y es, et bien profond même". Arrivé de Paris pour sa première mission, Bosco ne sait rien encore de ce qui l'attend au coeur de ce pays en guerre. Rien de ceux qui deviendront comme une seconde famille : Moka, la responsable charismatique, Stijn le Belge exubérant ou la ravissante Dee, photojournaliste anglaise en quête de notoriété. Rien de la galaxie des urgentistes qui affluent des quatre coins du monde sur cette zone de conflit, ni des tout-puissants bailleurs de fonds, à qui il faut impérativement plaire si l'on veut sauver des vies. Qu'importe, il s'engage corps et âme. Mais, brutalement, sa belle aventure tourne au drame. Le meurtre inexpliqué d'un travailleur humanitaire lui rappelle que la mort fait partie des risques de son nouveau métier. Quand un autre expatrié est mystérieusement assassiné, Bosco veut comprendre, et décide de mener discrètement son enquête. Malgré le danger, il la poursuivra jusqu'aux jungles de la République Démocratique du Congo, en pleine guerre civile. Et ce qu'il va découvrir pourrait bien remettre en cause les beaux idéaux sur lesquels il veut bâtir son existence...

10/2018

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