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La campagne de 1814

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Le Syndicat national de l'édition (SNE)

Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Les prix littéraires de la rentrée

Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.

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Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

Extraits

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Histoire de France

La campagne de 1814

" Vivre dans la défaite, c 'est mourir tous les jours " Napoléon Ier. " Napoléon a épuisé la bonne volonté des Français, fait abus de leurs sacrifices, couvert l'Europe de tombes, de cendres et de larmes; pourtant, ceux-là même qu'il fit tant souffrir, les soldats lui furent les plus fidèles, et de nos jours encore, malgré le temps écoulé, les sentiments différents, les deuils nouveaux, des foules venues de tous les points du monde rendent hommage à son souvenir et s'abandonnent, près de son tombeau, au frisson de la grandeur " Charles de Gaulle.

03/2011

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Histoire de France

La campagne de France 1814

Après la défaite de Leipzig le 19 octobre 1813, l'Empereur doit replier ses troupes au-delà du Rhin. Pour la première fois depuis la Révolution, la guerre va se dérouler sur le territoire français que rien ne préparait à une telle catastrophe. Les coalisés disposent de forces colossales pour abattre "l'Aigle". Encore une fois, Napoléon va devoir faire appel à des levées extraordinaires. La campagne de France est une des plus courtes de l'épopée impériale, elle en est aussi une des plus remarquables. Napoléon va en effet déployer tous ses talents militaires au cours de ces trois mois. Sa stratégie consiste à frapper chaque armée ennemie entre la Marne et la Seine avant qu'elles ne se rejoignent. Il affirme : " 50 000 hommes et moi, cela fait 150 000". Aujourd'hui encore, stèles, plaques et monuments nous rappellent qu'en ces lieux sont tombés des milliers d'hommes venus de toute l'Europe.

03/2014

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Histoire de France

1814, la campagne de France

Voilà tout juste deux cents ans, le Nord, l'Est et le Sud-Ouest de la France étaient envahis par les armées coalisées (Russes, Allemands, Autrichiens au Nord ; Anglais, Espagnols & Portugais au Sud), décidées à en finir définitivement avec Napoléon Ier que la désastreuse campagne de Russie avait si considérablement affaibli. En l'espace d'un trimestre (de janvier à avril 1814), le sort de la France (et de l'Empire) semble tour à tour sauvé ou perdu, au gré des batailles à demi-gagnées ou à demi-perdues par des armées françaises qui luttent le plus souvent à 1 contre 3 ! Mais, au final - on le sait -, la fortune tournera en défaveur d'un Napoléon qui ne parvient pas à empêcher Paris, après une terrible bataille dans les faubourgs, de tomber aux mains des Coalisés et qui, pris dans un infernal engrenage de malchances successives, finit par abdiquer, abandonné par tous... Le 1814 de Henry Houssaye est un ouvrage inouï où l'on suit, au jour le jour, parfois même d'heure en heure, le déroulement haletant des événements : on se trouve sur les chemins qui mènent aux champs de bataille, aux marches en avant ou aux retraites ; dans les villes assiégées, prises ou reprises, au sein des états-majors qui échafaudent fiévreusement des plans ; au côté des maréchaux, des généraux, des politiciens du gouvernement de régence à Paris et leurs (vacillants) états d'âme ; enfin dans l'intimité même de Napoléon Ier et de ses soldats... Par son style alerte, sa précision éclairante du détail, sa minutie, son souffle dans l'évocation, sa documentation faramineuse et toujours édifiante, 1814 donne la fascinante impression de remonter deux siècles de temps et d'être immergé au coeur de l'Histoire aux instants décisifs et précis durant lesquels elle se déroule le plus intensément. C'est certainement un des plus brillants, des plus complets et des plus compréhensibles ouvrages sur la chute du Premier Empire.

10/2014

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Histoire de France

Hiver 1814. Campagne de France

"Le 26 janvier 1814, à Châlons-sur-Marne, Napoléon prend la tête de l'armée pour repousser les coalisés qui ont passé le Rhin et occupent l'Alsace, la Lorraine et le nord de la Bourgogne. Il a soixante mille soldats, majoritairement jeunes et inexpérimentés, l'ennemi cinq fois plus. Alors que son entourage pense la défaite inéluctable, Napoléon guette, provoque, exploite les erreurs de ses adversaires et enchaîne une série de victoires qui rendent possible l'incroyable. Le nombre, finalement, l'abandon des maréchaux et la défection de Marmont donneront à l'événement son issue logique. Commencée sous les neiges de janvier en Champagne, achevée dans l'aigre printemps d'avril en Ile-de-France, cette dernière campagne est l'histoire d'un homme au sommet de son génie que sa puissance abandonne. Le maître de guerre observe à la lorgnette les rues de Brienne où il a grandi et qu'il va canonner. Le chef d'Etat continue d'administrer dans le salon d'un château, une chambre d'auberge, un presbytère, au hasard des étapes, un empire en peau de chagrin. Le cavalier sous les intempéries, au milieu de ses maigres troupes, chemine à travers une région dévastée, une population violentée, hanté par le passé et les fantômes d'une grandeur perdue. A la fin, c'est un homme seul qui, retiré dans une pièce du château de Fontainebleau, la "maison des siècles", appelle la mort en s'empoisonnant." Michel Bernard.

09/2019

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Napoléon

Hiver 1814. Campagne de France

"Sur un signe de Napoléon, un officier se détacha de l'état-major pour porter un billet au commandant de l'artillerie. Quelques instants après, les premiers boulets ébréchaient les murs de la ville, faisaient sauter les tuiles et dispersaient les rangs de l'infanterie ennemie. Des fumées commençaient de s'élever au-dessus de Brienne. Il canonnait ses souvenirs". En retraçant la dernière campagne de l'Empereur, commencée en janvier 1814, Michel Bernard dresse le portrait d'un homme au sommet de son génie que sa puissance abandonne.

04/2021

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Empire

1812, la campagne de Russie

En 1812, Napoléon entreprend une expédition contre la Russie. Son objectif est avant tout d'amener le tsar Alexandre Ier à respecter ses engagements pris à Tilsit quelques années auparavant, en premier lieu le blocus continental. L'Empereur réunit pour cette entreprise la plus formidable armée jamais vue. Fin juin, la Grande Armée traverse le Niémen. Mais la campagne ne se déroule pas comme prévu. Les armées russes se dérobent en refusant de livrer bataille, appliquant à la lettre la tactique de la "terre brûlée" . Ce n'est qu'à une centaine de kilomètres de Moscou, l'ancienne capitale des tsars, que Napoléon tient enfin sa bataille. La Grande Armée occupe Moscou, mais les Russes allument un gigantesque incendie qui détruit les derniers espoirs de Napoléon de terminer honorablement cette guerre pas comme les autres. L'Empereur tente de se frayer un chemin vers les régions intactes de l'Empire russe, mais les troupes ennemies, bien reposées et décidées à résister jusqu'au dernier homme, lui barrent la route à Maloïaroslavets. La Grande Armée se voit alors forcée de battre en retraite poursuivie par l'armée russe et harcelée par les cosaques et les partisans. L'inaction délibérée du feld-maréchal Koutouzov permet toutefois à Napoléon d'atteindre les rives de la Bérézina. Trompant ses adversaires, il réussit à faire passer cette rivière aux survivants, mais le constat est sans appel : fin novembre, la Grande Armée n'existe plus comme force militaire organisée, chacun luttant pour sa propre survie. Cet ouvrage, basé sur une riche documentation aussi bien française que russe, présente une synthèse complète et inédite de ces évènements dramatiques qui constituent une des pages les plus passionnantes et tragiques de l'épopée napoléonienne.

05/2021

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