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La Spectatrice

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Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Dossier

Yasmina Khadra : le goût de la liberté

Il est aujourd'hui le romancier algérien le plus lu au monde, et l'un des auteurs francophones les plus traduits sur la planète. Yasmina Khadra est entré dans le Petit Robert en 2014, alors que sortait son nouveau roman, Les anges meurent de nos blessures. À cette occasion, il assurait, comme une poétique de son écriture : « Je suis responsable de chaque mot dans mes livres. Je peux me tromper, mais je ne triche pas. J’explique ce que je crois avoir compris, raconte ce que je crois savoir. »

Extraits

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Critique littéraire

La Spectatrice

En mars 1728 est lancé à Paris un curieux journal anonyme, seulement intitulé La Spectatrice. L'auteur affirme d'emblée sa volonté d'écrire un " spectateur " : par ce terme, on désigne à l'époque les centaines de périodiques imités du Spectator, journal anglais qui connaît un succès inédit dans toute l'Europe. Pourtant, La Spectatrice est bien plus qu'une simple imitation. Il s'agit bien d'un " spectateur ", mais au féminin, puisque ce journal est censé être rédigé par une femme restée célibataire. Son féminisme provocant lui confère en outre un ton qui n'a guère d'équivalent dans la presse d'Ancien Régime. La modernité de ce périodique vient aussi de la relation ambiguë que l'auteur construit avec son public : elle oscille entre une hostilité farouche et un élan vers l'autre de plus en plus désespéré. En réunissant les quinze numéros parus sous ce titre en 1728 et 1729, ce volume propose la première édition de La Spectatrice depuis 1730. Mais la radicale étrangeté de ce journal tient aussi à son destin inattendu. Malgré l'absence de réédition, ce périodique a été salué au XVIIIe siècle par d'illustres commentateurs. Et il a même été plagié à la veille de la Révolution, à une époque où la plupart des " spectateurs " étaient déjà retombés dans l'oubli.

12/2013

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Littérature étrangère

La Spectatrice

Les années cinquante, c'était hier. Une femme se souvient de son enfance à Ambleville, un village de l'Ile-de-France au charme impressionniste. Les baignades dans la rivières avec son frère Antoine, les rêveries du jeudi, jour sans école... Une famille paisible qui semble sortir tout droit du XIX ? siècle. Et voici déjà les années soixante-dix, la fac, "kermesse aux idées" , les copines, Blanche et Judith, le désordre des rencontres. "Personne ne semblait avoir de plan de carrière... On avait tellement de temps devant nous qu'on s'amusait à le massacrer pour rien". Et aujourd'hui ? Toujours spectatrice, la narratrice de ce roman continue d'exercer son ironie aux dépens de la nouvelle société.

12/1992

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Paramédical

L'éternelle spectatrice

L'immense souffrance d'un père atteint dans sa chair. Au détour de chaque phrase, de chaque mot, surgit la figure énigmatique et attachante de sa fille atteinte d'une maladie neuromusculaire qui la contraint à l'immobilité. " Une tranche de vie, de petite vie de papa égoïste, blessé pour toujours. Je ne peux plus reprendre la plume, je ne peux plus faire pleurer le stylo qui est pourtant bien plus habile que mes paroles, mais c'est tellement dur de replonger dans ce mauvais souvenir. J'ai l'impression de descendre chaque fois dans un gouffre où le cauchemar se joue pour toujours. Je descends au plus profond de cette mine de galères et, quand je suis au fond, j'ai peur de ne plus pouvoir remonter, j'ai peur qu'on m'enlève l'échelle ". Au bout de l'échelle, pourtant, il n'y a pas que le témoignage d'un père, chose déjà assez rare. Contrainte au rôle d'éternelle spectatrice, la petite princesse vit dans la relation de plus en plus passionnée qui l'attache à son père. Une relation qui, à travers les crises, saura s'ouvrir et accueillir la famille toute entière. Sans pathos, avec toute l'ironie et l'emportement nécessaires, Thierry Decloître livre le premier texte autobiographique d'un père démuni face à l'injustice du hasard et à la souffrance de la maladie.

11/1998

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Ethnologie et anthropologie

Spectatrices ! De l'Antiquité à nos jours

Spectatrices ! De l'Antiquité à nos jours Les femmes occupent une place continue dans le public du spectacle vivant depuis ses origines. Partis en quête des traces de cette présence, les auteurs ici réunis ont repéré les lieux et genres de spectacles que les femmes ont privilégiés, leurs emplacements dans les gradins et les salles, et tenté de retrouver leurs émotions, décantées des commentaires masculins. Les spectatrices ont souvent été considérées comme soumises à leurs passions et dépourvues de toute distance critique. Elles ont été placées soit dans une position subalterne, reflétant leur place dans la société, soit aux premières loges, non pour leur offrir une qualité du regard mais pour permettre aux spectateurs de les voir et de scruter leurs robes et coiffes. Adversaires et défenseurs du théâtre ont débattu de la présence de ces femmes, les premiers la regrettant, tant cet art favoriserait des désirs illicites, les seconds la louant, les spectatrices devenant cette fois les garantes de la décence et de l'utilité du genre théâtral. Dans le même temps, la réception féminine a joué un rôle croissant dans les stratégies des auteurs et acteurs. En fonction de la période, du lieu, de leur appartenance sociale, les spectatrices ont pu jouir d'une plus ou moins grande liberté ; elles ont également usé de la scène comme d'un lieu d'émancipation, et ont parfois pris soin de laisser de leur expérience des témoignages directs. Cette étude de grande ampleur permet de redonner à ces femmes une parole et une voix, un corps et des gestes, mais aussi des affects contrastés, de l'exaspération au plaisir.

09/2022

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Théâtre - Essais

"Les femmes aussi vont au théâtre". Les spectatrices dans l'Europe de la première modernité

"Les femmes aussi vont au théâtre" , écrit Juan de Zabaleta, qui commente la vie des habitants de Madrid au XVIIe siècle. Cela semble une évidence ; pourtant, la fréquentation des lieux de spectacle par les femmes suscite de nombreux débats dans l'Europe de la première modernité et demeure aujourd'hui largement méconnue. Cet ouvrage mène l'enquête sur le public féminin des scènes européennes à travers une grande variété de textes invitant à confronter la réalité fuyante des spectatrices à ses multiples représentations. Les spectatrices participent pleinement à l'activité dramatique et jouent un rôle important dans la modernisation du champ théâtral du XVIe au XVIIe siècle. Leur présence met en valeur le cadre matériel et la nature sensuelle de l'expérience théâtrale ; elle éclaire les modalités de la réception, qui associe l'émotion au jugement, et contribue à la naissance du discours critique ; elle révèle la participation du public à la production du sens et les répercussions possibles de la fiction dans l'existence. Ces différentes perspectives, où s'associent étroitement pouvoir culturel des femmes et pouvoir social du théâtre, intéressent directement notre époque.

02/2023

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Autres collections (6 à 9 ans)

Les enquêtes de Liliane et Ladrouille : Le dragon d'Hélium

Liliane et ses petites soeurs, accompagnées de leurs parents, assistent au carnaval de la ville. La foule est en liesse quand, subitement, un terrible événement survient. Un dragon d'hélium a avalé une spectatrice ! C'est la panique ! Le commissaire Ladrouille est appelé. Avec Liliane, témoin direct du drame, réussiront-ils à découvrir la vérité et retrouver la disparue ?

06/2021

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