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L'art d'être pauvre

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

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Dossier

Entre la lecture et l'écoute : livre audio, mode d'emploi

Livre audio, livres lus, audiolivre, audiobook : les noms diffèrent, mais désignent le même objet culturel. Créé au même moment que le phonographe et que la possibilité d'enregistrer des sons sur un support, le livre audio a depuis connu bien des formats, de la K7 au CD en passant par la clé USB et le fichier MP3.

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“Être soi-même ne devrait jamais poser problème”

Liberté d’expression, discrimination positive, morale : Vitaly Malkin décortique les grands enjeux de notre temps. Né en URSS, il a vécu mille vies : ingénieur, physicien, banquier, homme politique, philanthrope. Ici, il livre son regard lucide sur le monde et, indéniablement, vise juste !  

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Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

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Dossier

Rétablir le lien profond entre la Nature et l'Humanité

Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.

Extraits

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Littérature française

L'art d'être pauvre

S'agit-il d'un roman très autobiographique ? De Mémoires piégés par l'imagination ? D'une fresque drolatique et tendue entre les derniers feux d'un monde proustien et les ambiances métalliques du Palace ou de la Factory ? En vérité, il y a un peu de tout cela dans cet étrange Art d'être pauvre (titre emprunté au dandy Boni de Castellane), où François Baudot revisite, retouche et augmente sa Grande Vie parmi les esthètes du baby-boom. On y rencontre Iggy Pop, Andy Warhol et le Pop Art. le Velvet Underground, des Argentins excentriques aussi bien qu'une foule anonyme de tapins, de travestis ou de voyous. On y prend le thé avec des baronnes avant de traîner dans les mauvais lieux avec des créatures noctambules et transgressives. Dans cette sarabande bientôt dévastée par les années-sida, snobs, milliardaires, artistes ou gigolos se relaient au fil d'un sabbat qui explore une joie de vivre, à en mourir. Difficulté d'être d'enfants trop gâtés, jeunesses désordonnées, on croise là les gauchistes, la révolution gay, l'explosion du disco, la cocaïne, le Saint-Germain existentialiste, les derniers bals du XXe siècle, la jet-set et, surtout, le désespoir joyeux d'une génération qui aura préféré gâcher sa jeunesse plutôt que de n'en rien faire.

05/2009

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Histoire de la population

Etre pauvre

Dans l'Europe d'Ancien Régime la pauvreté est endémique. Elle est tout à la fois un risque conjoncturel (auquel on répond par la culture des terres communes, la pluriactivité de toute une famille mise au travail, les engagements de biens au mont-de-piété contre de microcrédits ou la migration saisonnière de métier), un état structurel (auquel on espère échapper par les déménagements constants, la contrebande et le vagabondage, l'illégalité et la mendicité) et une exclusion (qui conduit à l'abandon des enfants ou à la prostitution). La massivité du phénomène induit de la part des autorités des réponses dont la diversité va de la peur devant ces miséreux, qu'il convient d'enfermer dans des institutions qui les mettraient au travail pour leur redressement moral, à la dénonciation des insupportables inégalités sociales et économiques qui retranchent de l'humanité commune des individus qui ne demandent que leurs droits. En 1777 l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Châlons-sur-Marne met au concours la question des "moyens de détruire la mendicité en rendant les mendiants utiles à l'Etat sans les rendre malheureux". Jamais aucun concours n'a attiré autant de participants : cent vingt-cinq mémoires sont envoyés ; ils constituent la meilleure introduction aux débats d'alors sur la pauvreté et aux questions qui agitent les élites. S'y esquissent nos questions d'aujourd'hui : comment parler des pauvres ? De l'inégalité ? Des dominés de la famille patriarcale ? De la charité, avec sa variante moderne de la philanthropie, et de l'impôt ? De l'accès au marché des plus démunis devenus des défavorisés ? De leur liberté de choix ? De l'appartenance des pauvres à la société des citoyens ? De leur mise en capacité de prendre leur destin en main ? Rarement, en histoire sociale, un siècle passé apporte autant de lumières sur nos défis les plus contemporains.

10/2022

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Ecrits sur l'art

L'art pauvre des riches

Peut-on en finir avec cinquante ans de paresse d'invention et de mièvreries dans l'art contemporain ? L'académisme artistique d'aujourd'hui ressemble à s'y méprendre à celui du Second Empire, et pour cause : les fortunes des années 2000 ont le même intérêt que leurs lointains prédécesseurs pour le creux, le vain, le décoratif, le sonnant et le trébuchant. Sur toute la planète, on applaudit des prix, pas des oeuvres. On s'esbaudit devant des records, des chiffres et même le nom des acheteurs devient un motif d'euphorie. Les plus lucides y verront la dernière étape d'un phénomène au bout duquel la " culture " aura trahi la cause de l'Art. Les audaces survendues sont profanes, jamais profanatrices. A bien y regarder, oui, nous vivons une répétition de la " fête impériale ", cette époque où Napoléon III et les nouveaux riches de l'acier et de la finance achetaient à prix d'or les productions clinquantes des peintres pompiers. Un triomphe du conformisme d'autant plus exaspérant qu'il passe pour tapageur. Déjà dans les années 1970, en réaction à l'engourdissement et au mensonge d'un art mercantile, des créateurs ont prôné une nouvelle pureté d'expression. En refusant catégoriquement de faire des tableaux, ils ont créé des performances et des installations, autrement dit des oeuvres impropres à la spéculation financière. Tel était l'art contemporain en vérité : une démarche téméraire et d'avant-garde. Une aventure d'un immense impact mais d'une très grande brièveté, que les marchands ont ensuite vidée de sa substance. Le Pop Art et ses imitateurs se sont imposés, suivis par le retour à la peinture, et enfin les stars comme Jeff Koons ou Damian Hirst - portés par le cortège des grandes fondations privées et des institutions muséales complaisantes. Franchement : ne serait-il pas temps de se déprendre du spectacle de l'argent et de la nullité, et d'imaginer le retour de l'art dans des formes forcément nouvelles ?

03/2023

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Actualité et médias

Cela devient cher d'être pauvre

Bienvenue dans le royaume de la double peine. Ici, les pauvres ont moins d'argent et sont condamnés à dépenser plus: de la mini-dose de lessive au loyer, dopé par l'aide au logement; du lait infantile au contrat d'assurance; du forfait téléphonique aux frais médicaux. Et cela coûte cher à la société de compenser en vain, à coups de milliards, cette taxe sur la pauvreté.

08/2014

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Histoire des Etats-Unis (1776

De l'art d'être pauvre. Précédé de Comment j’ai découvert l’Amérique

Boni de Castellane, c'est le plaisir érigé en art de vivre, le raffi nement à la française, l'allégorie même de la Belle Epoque, avec son charme et sa fugacité... Collectionneur passionné et dandy issu d'une des plus anciennes familles de la noblesse française, devenu richissime par son mariage avec l'héritière du roi des chemins de fer américains, il n'aura de cesse de faire triompher son sens de l'esthétique, en toutes circonstances, avec une grâce et un goût très sûrs. Mais soudain, la roue tourne : assailli par les créanciers à l'issue de son divorce, il se retrouve, à 39 ans, dans l'obligation de gagner sa vie ; ce dont il s'acquittera sans jamais se départir de l'esprit et de l'élégance

11/2022

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Histoire de France

De l'art d'être pauvre. Précédé de Comment j'ai découvert l'Amérique

Boni de Castellane (1867-1932), c'est le plaisir érigé en art de vivre, le raffinement à la française, l'allégorie-même de la Belle Époque, avec son charme et sa fugacité... Collectionneur passionné et dandy issu d'une des plus anciennes familles de la noblesse française, devenu richissime par son mariage avec l'héritière du roi des chemins de fer américain, il n'aura de cesse de faire triompher son sens de l'esthétique, en toutes circonstances, avec une grâce et un goût très sûrs. Mais soudain, la roue tourne : assailli par les créanciers à l'issue de son divorce, il se retrouve, à 39 ans, dans l'obligation de gagner sa vie ; ce dont il s'acquittera sans jamais se départir de l'esprit et de l'élégance qui le caractérisent. Jusque dans l'adversité.

02/2009

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