Histoire d'un tableau qui guerit

Ce petit ouvrage est un pur bonheur d'humour et de fantaisieJack Trevor STORY

RÉCITS –  Le dernier livre d’Arnaud Cathrine, J’entends des regards que vous croyez muets (éditions Verticales), est une succession de portraits de gens que l’auteur croise au hasard des rues et des situations, et à partir desquels il laisse baguenauder son imagination. Trop peu ?

Depuis mon enfance, j’ai toujours dialogué avec les tableaux anciens. Je leur parlais et ils me répondaient, ou m’apostrophaient eux-mêmes. Avec certains, je suis devenu ami. Je leur confiais des secrets, et ils me dévoilaient les grands événements de leur longue existence. 

En partenariat avec les éditions Points, ActuaLitté met à l'honneur des polars, estampillés et garantis 100 % pas suédois. Des romans noirs, venus du monde entier, et qui permettent de « quitter la Suède le temps d'un meurtre ou deux ». Aujourd'hui, entretien avec Leonardo Oyola est né à Buenos Aires en 1973. Il collabore actuellement à l'édition argentine du magazine Rolling Stone. Chamamé a reçu le prix Dashiell Hammett de la Semana Negra, qui récompense le meilleur roman noir écrit en langue espagnole.

AVANT-PARUTION – Dans une approche inédite, Michel Onfray s’appuie sur 40 tableaux aux détails emblématiques pour proposer une découverte de la philosophie par la peinture. Une histoire mondiale, par les tableaux, que l’on retrouvera à la rentrée. 

Rencontres / Débats - Mercredi 25 septembre 2013 à 20h00 - A la librairie

Une lettre de Charles Dickens à l’attention du comédien français François Regnier, sera mise aux enchères au Lion Heart Autographs à New York. L'auteur britannique mentionne un ami à lui et « peintre célèbre » réalisant une œuvre sur la mort de Molière. Le portrait et l'identité de l'artiste sont inconnus à ce jour. La future vente de la missive lance donc le top départ d’une chasse au tableau. 

Avec une once de provocation, Franck Leibovici propose une autre lecture de l’histoire de la peinture, entre ombre et lumière. Le titre, il l’emprunte à cette phrase de David Hockney, portraitiste et théoricien de l’art : « À quoi sert l’ombre dans un tableau si ce n’est à indiquer l’heure ? » Alors, posons-nous la question : Quelle heure est-il ?

On ne le reconnaîtra jamais assez, les libraires font un métier formidable. Surtout quand de drôles d’énergumènes se pointent et... que l’on finit par se demander pourquoi diable ils ont choisi d’entrer. Non, sincèrement : pourquoi lui, pourquoi vous, pourquoi ce jour... Tant de questions sans réponses...

En ces moments un peu mouvementés côté politique et relations internationales, l'aventure de la bibliothèque publique de Deadwood apportera une note d'humour. Et un brin de bonne humeur.

On en sait un peu plus sur Jane Auste, la romancière qui enflamme toujours la Grande-Bretagne, grâce aux outils utilidés pour une analyse photographique. En effet, une peinture présentant l'artiste en jeune fille, désolé pour Joyce, la présente avec un visage d'adolescente... sans que l'on ait pu encore avoir l'assurance qu'il s'agissait bien de Jane.

Personne n’oublie les paroles de Jean Rostand : « On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu. » Mais si l’on en tue à peine quelques centaines, quelle place occupe-t-on ? Celle du pauvre bougre qui, au Brésil, a choisi la carrière d’assassin, pour vivre. Tueur à gages, un métier qui faisait recette.

ROMAN YOUNG ADULT - Catherine, trentenaire vivant à New York, reçoit un coup de fil d’un fantôme du passé, Sal, le petit frère de sa meilleure amie. Celle-ci étant morte 20 ans plus tôt, Catherine replonge dans ce passé qu’elle n’a pas su oublier. 

Faire du NookColor une machine tournant sous Android Honeycomb, la dernière version de l'OS made in Google a été la priorité des petits bidouilleurs équipés de l'appareil. C'était voilà quelques semaines déjà.

Prendre en photo des fantômes, donner vie à un grille-pain, protéger sa fille du terrorisme des intelligences artificielles… Dans ce recueil, les univers fantasques s’enchaînent et les aventures entrent en résonance. Le duo derrière The Promised Neverland n’a décidément pas fini de nous étonner et de nous émouvoir.

Un tableau de Renoir volé en 1975 est retrouvé en Italie

Sur la plateforme de financement participatif Kickstarter est proposé le

Un tableau inédit représentant le portrait de Shakespeare

Les Onze de Pierre Michon : épuisement d'un tableau imaginaire

« Le devoir de qui aime les hommes est peut-être de faire rire de la vérité », écrivait Umberto Eco dans Le nom de la rose. Cette citation résume bien la démarche de Priscille Lamure, dont les Drôles d’histoires, cabinet de curiosités historiques et déjantées est le premier ouvrage (Éditions du Trésor). 

Philip Roth et Newark une histoire d'amour qui vaut bien un Nobel

Faut-il, ou ne faut-il pas espérer des ventes mirifiques d'un ouvrage considéré comme la Bible du cricket, si on le traduit en indou ? L'éditeur Wisden, propriétaire des droits sur le Cricketers' Almanack vient de décider d'une parution en 2012 d'un titre qui contenterait les fans de ce sport, en Inde.

A l'occasion de la célébration des cinquante ans de la naissance de la radio France Culture, un livre revient sur cette aventure démarrée en 1963. Baptisé tout simplement Cinquante ans de France Culture, l'ouvrage, signé Anne-Marie Autissier et Emmanuel Laurentin, est préfacé par Olivier Poivre d'Arvor (éditions Flammarion, 256 pages, 35 €).

Voici une solution anti-déprime qui nous vient d’outre-Atlantique : le Dr Serge Marquis, considérant la morosité ambiante, a décidé de tordre le cou à un hamster. Et son idée est intéressante. Non que l’on puisse encourager les violences physiques contre les animaux, mais Pensouillard, le hamster qui lui sert de métaphore est une plaie. Il passe son temps à nous polluer l’esprit avec des pensées parasites. On est foutu, on pense trop ! Trop ? Pas vraiment, mais on se laisse envahir par l’infernal brouhaha qui vient des sombres pensées du nuisible. Pensouillard bien sûr, c’est notre ego.

Il est pieds nus, porte des vêtements en lambeaux, et il se trouve assis en train de lire, dans une librairie de Manille. « On pourrait penser que le dernier endroit pour trouver un enfant des rues affamé et hirsute est un magasin de livres », commente le professeur adjoint Sedricke Lapuz, en prenant cette photo. L'enfant est pourtant absorbé par sa lecture...

Élie Guillou revint de son périple dans le Kurdistan turc avec la conscience vive du drame qui s'y jouait. Il décide alors de raconter l' « Apocalypse » par l'entremise d'un jeune homme « tempéré » qui prend conscience de la dimension tragique du monde. Ce dernier exprime sa frustration face à l'apathie ambiante et sa détresse devant son propre sentiment d'impuissance. Sa douleur se mélange à tous ses moments de tendresse partagés. Un récit d'apprentissage en librairie depuis ce 23 août.

C'est l'histoire d'un livre numérique de 17.000 mots, qui raconte l'avènement d'un autre livre, lui en version papier, et que Vanity Fair vient de commercialiser. Le premier est vendu 1,99 $. Le second représente une avance de 650.000 $.

Un tableau de Magritte, L'Olympia, volé dans un musée belge

L’histoire qui agite actuellement le BTS proposé par l’ASFORED tire ses racines d’un mal-être social qui ne date pas d’hier. Alors que sa directrice, Aïda Diab, et le président, François de Waresquiel, continuent de camper sur une position de volontaire ignorance.