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Fantasmagories

Extraits

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Littérature étrangère

Fantasmagories

Voici une série de douze textes comme dans les précédents recueils de nouvelles de Tati Loutard, intitulées Chroniques. Chroniques, comme le mot l'indique, renvoient à une réalité vécue. Fantasmagories semblent plutôt relever du fantastique. Mais il n'en est rien, du moins pour la plupart des textes du présent recueil. Le revenant qui se manifeste, la femme-génie qui écume la Côte, la métamorphose de l'homme en animal, le jeteur de sort surpris en flagrant délit, ce sont là des faits de l'univers mental congolais. L'auteur poursuit le portrait de la société congolaise, entamé dans les Chroniques, en révélant ici des croyances qui rendent compte du bien ou du mal qui survient au fil des jours et des saisons.

02/1999

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Histoire internationale

Fantasmâlgories

Fantasmâlgories se rapporte à la volonté de la première génération allemande (de l’Ouest) d’après-guerre de se confronter au «fascisme» latent ou manifeste de ses parents : de cette génération qui avait porté Hitler au pouvoir ; de ces soldats, de ces membres de la Gestapo ou des SS qui soumirent et dévastèrent presque toute l’Europe dans une guerre de près de six ans à laquelle nous devons, outre six millions de juifs assassinés, quelque vingt millions de victimes russes et d’indénombrables morts, exilés et vies brisées. Une génération qui alors, depuis 1950, menait en RFA une vie de parfait petit citoyen et refusait qu’on lui parle des exactions de la dictature hitlérienne. Cette confrontation avec le passé avait été rendue possible (nécessaire) grâce aux changements politiques survenus dans les années soixante qu’avaient impulsés la gauche allemande radicale dans le flot des soulèvements estudiantins du monde entier : aux Etats-Unis contre la guerre du Vietnam, en France avec «mai 1968», en RFA par le Sozialistische Deutsche Studentenbund (l’Union des étudiants socialistes allemands), en Italie avec les «brigades rouges»; mouvements politiques qui visaient bien plus loin : le changement radical des formes de vie bourgeoise dont ils avaient hérité, et notamment - comme allant de soi - la «révolution» sexuelle tant attendue - Make Love Not War.

02/2016

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Littérature française

Fantasmagories londoniennes

L'Histoire délaisse la plupart du temps les faits "mineurs" pour ne retenir que les grands événements. Pourtant, sans l'accumulation de facteurs anodins, la postérité est contrainte de faire abstraction de circonstances qui ont conditionné la poursuite de la vie des générations antérieures. Georges Rodriguez qui connaît admirablement la métropole de Londres, s'est attaché à retracer des épisodes manquants de l'Histoire Londonienne, qu'il s'agisse de faits avérés, de rumeurs, de légendes ou de fantasmes collectifs.

01/2015

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Philosophie

Effrois et fantasmagorie

Voici des oeuvres brèves, affûtées comme des lames de rasoir, implacables, au goût de cruauté et de passions. Que voulez-vous, dit Wells, avec un charmant sourire : "la vie idyllique ressemble trop à un dîner qui ne serait composé que de desserts".

04/1984

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Littérature française

Fantasmagories. Contes noirs et flamboyants

Le retour dans la maison natale, le monde secret des garçons perdus, une vie souterraine à la beauté terrifiante, la frontière indicible séparant le territoire des vivants et celui des morts, des aventures de jeunesse héroïques et les solitudes inexprimables qui les côtoient : autant de scènes ressuscitant "l'art de faire parler les fantômes" pour former ces contes sombres et envoûtants, quinze histoires intemporelles d'enfants terribles que rien ne peut arrêter. A travers la vivacité des premiers rêves, les souvenirs sensitifs et les silhouettes dessinées dans la lumière incertaine des lanternes magiques, ces nouvelles font la part belle à la puissance de l'imaginaire, en invoquant la poésie noire propre aux aspirations et aux cauchemars de l'enfance. Graves et merveilleux, ces récits nous incitent à gratter la surface grise du quotidien pour découvrir la force inouïe des sentiments qu'elle recèle, pareille au feu qui rougeoie sous la cendre.

03/2018

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Littérature étrangère

AU CHATEAU DE KAFKA. Une fantasmagorie

Le château de Kafka, nous avertit l'auteur, ne se trouve pas en Bohême, mais dans les profondeurs du cerveau, et il s'éloigne au fur et à mesure que l'on s'en approche. De même ce récit étourdissant, dans lequel le lecteur avisé s'engouffrera avant de relever le pont-levis sur l'esprit de sérieux. On entre dans ce Palais des glaces par le colloque Kafka, qui eut lieu en 1963 dans un château des environs de Prague. Le gratin de la littérature et de la critique des blocs est-ouest, dont Roger Garaudy, René Depestre, Anna Seghers, Milan Kundera... s'y livre à des disputes passionnées sur le rôle de Kafka dans la Guerre froide, ses affinités avec Brecht, discute zombies et Barbe Bleue au sauna ou démasque l'Arpenteur K, probable agent sioniste infiltré aux cuisines. Entre deux agapes, on assiste à une pièce plutôt leste sur la dernière année de Casanova - dans le rôle-titre - au château de Dux où il mourut. Lequel chevalier galant, baron de Münchhausen en réalité, enfourchant son boulet de canon à remonter le temps, fait marcher son auditoire... jusque chez le sultan de Constantinople, en compagnie de Don Quichotte. Tout l'art d'édifier, ou de démolir, des châteaux en Espagne.

11/1999

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