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Esprit d'époque. Essai sur l'âme contemporaine et le conformisme naturel de nos sociétés

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Dossier

Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Dossier

Rétablir le lien profond entre la Nature et l'Humanité

Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.

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Dossier

Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Dossier

Chroniques anti-isolement à travers L’Âme des peuples

« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.

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Dossier

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Dossier

Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

Extraits

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Sociologie

Esprit d'époque. Essai sur l'âme contemporaine et le conformisme naturel de nos sociétés

Ce n'est jamais sans déplaisir que nous découvrons que ce que nous prenions pour des expressions authentiques de nos incomparables egos, nos goûts, nos jugements "personnels", nos comportements "originaux", nos idées "neuves", nous les partageons en fait quasiment tous avec presque tous nos semblables pratiquement au même moment. Il arrive que nous niions cette évidence : les conformistes, ce sont les autres... Et nous disposons d'une explication ultime. Pensée " unique " ou " commune " : le développement d'une société spectaculaire nous enfermerait dans la copie, nous empêchant d'être les individus que nous sommes de naissance. Partant d'une analyse d'une série de signes d'époque, des plus minimes et "superficiels" (les traits de nos visages, nos parfums, notre goût culinaire, le design de nos objets, la décoration de nos intérieurs, nos tics de langage) aux plus abstraits et "sérieux" (notre goût en matière artistique, notre conception de l'espace, nos idées), Esprit d'époque entend donner une explication à cet unanimisme. Contre l'idéologie radieuse de l'ère bénie de "l'individualisme démocratique", ce livre montre à quel point nous sommes tous pris dans un réseau étroit de normes, fantasmes et paradigmes qui s'impose à nous. L'originalité ne saurait être une donnée, mais une conquête malaisée, jamais terminée. Déjouer nos "allant de soi", ces associations d'idées machinales qu'établit chaque époque : tel est le seul espoir pour nous d'échapper à notre destin de replicants et de devenir des personnes.

03/2002

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Beaux arts

Création. Essai sur l'art contemporain

L'art contemporain suscite passion, perplexité, intérêt, mépris ou suspicion... selon les cas ; selon la manière dont " ça choque " nos identifications. Et si cet art, comme phénomène vivant, avait des enjeux essentiels, qui touchent à notre rapport au monde, aux autres, au transcendant, à la valeur, et à cette chose étrange et galvaudée qu'on appelle la création ? En fait, qu'est-ce qui spécifie l'art contemporain ? Que s'y passe-t-il pour les artistes, pour les publics ? Où en sont leurs liens complexes, qu'on dit " interactifs " ? Comment se fixe la valeur de ces œuvres singulières, qui sont souvent des cassures où éclatent jubilation et détresse, exaltation et défaite ? Que cherchent donc ces artistes sur l'arête où ils nous montrent à la fois la plénitude et l'angoisse, le désir et l'effondrement, le plaisir et son au-delà douloureux ? Comment ces narcissismes enthousiastes et blessés deviennent-ils créateurs de réalité ? Pourquoi notre idée même de l'esthétique est-elle forcément bousculée, ainsi que notre notion d'identité - dont on sait la portée subjective et planétaire ? Ce livre - le trentième de l'auteur - répond de façon nouvelle, offrant une approche inédite à ceux qui veulent plonger dans l'inconscient de l'art actuel.

10/2005

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Religion

La nature de la conscience. Essais sur l'unité de l'esprit et de la matière

C'est une révolution que propose Rupert Spira dans La Nature de la Conscience, en bousculant le paradigme matérialiste régissant notre culture mondiale — à savoir que la matière est l'élément fondamental de notre univers dont découle le mental ou la conscience — lui substituant le paradigme de la "conscience seule" — à savoir que la conscience constitue la réalité ultime et fondamentale de l'univers — abolissant la dualité matière-mental qui emprisonne notre vision de la réalité. Car il s'agit dans ce livre, de libérer notre vision de l'univers et de nous-mêmes des barreaux de la dualité et de la croyance en la séparation. C'est en empruntant la rigueur et l'honnêteté du scientifique que Rupert Spira explore ce qui constitue notre expérience, pour montrer clairement que son ultime réalité n'est jamais autre que la conscience qui la connaît, et cette conscience-là, c'est nous-mêmes. Connaitre ou être conscient constitue notre être essentiel. Oublier ou ignorer cette réalité est la cause profonde de toutes les souffrances psychologiques et de tous les conflits entre les communautés et les nations. Rupert Spira a à coeur d'extraire la compréhension non-duelle du carcan des dogmes et la reformule d'une façon accessible pour tout ceux qui recherchent la compréhension, la paix, l'accomplissement et le bonheur car c'est bien de cela dont il s'agit avant tout. Les implications du modèle de la conscience-seule sont immenses en ce sens qu'il reconditionne progressivement notre manière de penser, de ressentir, de percevoir et d'être en relation avec les autres. Et ceci est le garant suprême de la paix et du bonheur qui "dépassent l'entendement". Une exploration passionnante et palpitante. Préface de Deepak Chopra

05/2019

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Psychologie, psychanalyse

Essais sur la symbolique de l'esprit

Les Essais sur la symbolique de l'esprit viennent clore la trilogie entamée par La Vie symbolique, Psychologie et vie religieuse puis L'Ame et le Soi, Renaissance et individuation, dernier cycle des publications de Jung quant à la fonction religieuse de l'inconscient. On y trouvera deux textes parmi les plus importants de C. G. Jung, celui sur l'Esprit Mercure d'une part, celui sur l'interprétation du dogme de la Trinité de l'autre. A travers ces deux études, en effet, l'une principalement fondée sur la figure du spiritus rector de tout travail alchimique, l'autre sur l'un des mystères centraux de la révélation chrétienne, Jung dévoile les fondements les plus certains de sa position envers les phénomènes religieux : ni approbation béate comme on l'a cru souvent, ni croyance en une sorte de sacré nébuleux auquel il suffirait de s'abandonner pour goûter aux extases de l'âme. Au contraire. Comme Walter Otto l'avait bien fait ressortir, toute "manifestation sacrée" est à double tranchant et si l'imago Dei peut s'y donner à voir, c'est tout autant la puissance du Mal que l'on peut y découvrir. D'où l'exigence de tout un travail intérieur, d'une ascèse à proprement parler, que guide la lumière de la raison, sous peine de tomber dans l'aliénation de soi-même et, à la limite, par submersion sous l'inconscient, dans la psychose. De quoi dissiper bien des malentendus et prendre enfin conscience que toute l'oeuvre de Jung est aussi fondée sur un principe de raison nécessaire où on ne recherche pas tant la fusion que, dans la pensée même de l'Un, les séparations qui permettent de le penser.

05/1991

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Critique littéraire

La Non-Conformiste

Joëlle, née aux Antilles, monte à Paris au début des années quatre-vingt-dix. Elle devient chercheuse dans l'industrie pharmaceutique et s'installe dans une vie bourgeoise... ... . jusqu'au jour où le destin bascule. Un grave accident de voiture, un sentiment de mal-être, une crise conjugale, tout se précipite. Devant l'évidence des faits, les questions fusent : que faire lorsqu'à trente-six ans, vous découvrez votre attirance pour quelqu'un du même sexe ? Lorsque vous êtes mariée avec des enfants ? Lorsque vous êtes issue d'un milieu catholique et conservateur ? Vous avez le choix : le nier et en souffrir, ou assumer et vous donner une chance de vivre libre et heureux... Dans un récit rythmé et touchant, Grégoire Blondel restitue ce parcours hors du commun, qui donne le vertige par la densité des péripéties et apporte une véritable leçon d'espérance à tous ceux qui ont du mal à trouver leurs voies.

01/2014

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Philosophie

Les puissances de l'expérience. Essai sur l'identité contemporaine

Volume 1 : Après la perte supposée d'un " sens commun ". les héritiers des modernes se tournent vers le " monde commun ". C'est le monde partagé par ceux qui, éprouvant quelque chose, peuvent comprendre ce qu'ils éprouvent, comprenant ce qu'ils éprouvent, peuvent dire ce qu'ils comprennent et disant ce qu'ils comprennent, peuvent s'entendre sur ce qu'ils disent. Aussi, face aux verdicts fin de siècle qui martèlent notre époque comme autant de soubresauts où s'essoufflent les nostalgies du sujet, c'est plutôt dans la logique d'un verbe sécularisé que l'on s'enquiert du sens à construire. Il s'agit de la logique des procès d'entente. Du fait qu'elle mobilise les distinctions de temps, de modes, de voix, de personnes, et toute cette grammaire qui permet de communiquer par-delà les différences de langue et de culture, ce qui nous était le plus familier devient alors l'énigme : comment la grammaire est-elle possible ? Loin de tomber du ciel, elle s'enracine dans les expériences profondes au cours desquelles nos rapports au monde se sont progressivement différenciés. Jean-Marc Ferry découvre ainsi dans la préhistoire de notre aptitude à communiquer le drame fascinant des réclamations et frustrations, illusions et désillusions dont l'enchaînement définit la dialectique où chaque moment significatif d'un nouveau désenchantement marquait aussi bien la libération de cette énergie réflexive que l'on nomme " raison ". L'histoire y prend sa source. Elle se déploie comme le discours qui, à travers ses registres différents, de la narration et l'interprétation à l'argumentation et la reconstruction, élabore les compréhensions du monde où se forment nos identités. Volume 2 : La question porte ici sur les conditions réelles de la communication sociale et politique. Dans l'interdit du contact direct entre les personnes s'engendre une semiosis sociale. Elle est tissée par des régulateurs artificiels qui, tels le signe monétaire et le règlement juridique, médiatisent la reconnaissance réciproque. C'est le système. Il a remplacé, pense-t-on, la violence naturelle par une autre, car sa rationalité dure détruirait la raison molle du monde vécu dont il est pourtant issu, faisant peser une menace sur l'identité et la citoyenneté. Comment la communication peut-elle alors reconquérir sa propre essence réifiée dans l'organisation ? Comment les individus font-ils face, dans nos sociétés, à l'autonomisation des ordres différenciés, cette complexité horizontale qui définit pour le monde des personnes les ordres de la reconnaissance, où se joue notre responsabilité ? Or, en catalysant les demandes d'une responsabilité étendue aux temps jusqu'ici abandonnés à une gestion non critique des mémoires nationales, la construction de l'Europe politique invite à une réflexion fondamentale sur les relations qu'entretiennent les individus et les peuples. Entre un culturalisme pédant qui relègue les hommes au musée et un universalisme arrogant qui méprise les contextes culturels, il y a place pour considérer la situation qu'occupe chaque peuple dans une histoire de la reconnaissance. C'est cette situation morale qui doit être philosophiquement comprise et identifiée, afin d'éclairer le sens politique des relations prises entre les nations.

12/1991

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