Recherche

Des sciences sociales à la science sociale. Fondements anti-utilitaristes

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Chroniques anti-isolement à travers L’Âme des peuples

« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

ActuaLitté

Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

ActuaLitté

Dossier

Etats généraux du livre : les auteurs à la recherche d'un meilleur avenir

Le 22 mai se tiendront les États généraux du livre. Parce que les auteurs ont cruellement besoin d’être entendus. Des réformes sociales pointent le bout de leur nez, et, au pays de l’exception culturelle, les artistes auteurs ne sont ici que quantité négligeable.

ActuaLitté

Dossier

Thorgal : Voyage à travers mythes, étoiles et vikings

La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Annie Ernaux

Annie Ernaux, née Duchesne, a grandi en Normandie – à Lillebonne où elle est née en 1940, puis à Yvetot, où ses parents ont déménagé quelques années plus tard pour tenir un café-épicerie. Élève à l’école privée catholique, elle côtoie des filles de milieux plus aisés que le sien, et fait l’expérience de la honte sociale. En 1958, âgée de 18 ans, elle part pour la première fois seule, sans ses parents, travailler dans une colonie de vacances.

Extraits

ActuaLitté

Sociologie

Des sciences sociales à la science sociale. Fondements anti-utilitaristes

On attend des sciences sociales qu'elles nous aident à comprendre la marche du monde. Or elles en semblent toujours plus incapables. Non seulement elles apparaissent le plus souvent en retard sur l'événement mais, noyées dans l'hyper spécialisation, perdues dans la guerre entre disciplines, elles voient toujours mieux certains détails mais de moins en moins bien l'ensemble. A côté des spécialistes, il est urgent de former des généralistes qui sachent faire dialoguer les différents champs de la science sociale. Parler de la science sociale, évoquer son unité, au moins à titre d'idéal régulateur, peut sembler un combat perdu d'avance, tant elle est fragmentée. Mais il existe déjà une certaine forme de science sociale généraliste, qui n'est autre que la science économique généralisée, inspirée par la théorie des choix rationnels, sous toutes ses formes, et par l'utilitarisme et ses dérivés (cognitivistes, constructivistes, etc.) C'est cette science sociale générale qui modèle la conception du monde dominante, hégémonique même à l'échelle planétaire, et qui inspire et légitime les politiques menées dans tous les pays. Avec des résultats discutables, tant aux plans théorique, qu'éthique ou politique. Il nous faut donc retrouver l'idéal et la réalité d'une science sociale généraliste (qu'a pu en son temps incarner la sociologie classique) mais la faire reposer sur d'autres fondements que l'utilitarisme. Par ailleurs, la globalisation du monde modifie en permanence l'échelle et la définition même des sociétés. Symétriquement, la globalisation des sciences sociales et la contestation de l'hégémonie conceptuelle occidentale imposent elles aussi de repenser le passé de nos disciplines pour les projeter vers l'avenir. C'est dans cette perspective que se sont réunis à Cerisy-la-Salle, en 2015, une quarantaine de chercheurs de renommée internationale, anthropologues, économistes, géographes, historiens, philosophes et sociologues. L'accord qu'ils ont su trouver est prometteur.

04/2018

ActuaLitté

Sociologie

Ecrire les sciences sociales, écrire en sciences sociales

Thèses, articles, livres... tous les chercheurs en sciences humaines et sociales consacrent une partie de leur temps à écrire. Ce dénominateur commun masque à l'évidence une grande diversité quant aux pratiques d'écriture : écrire un manuel juridique n'est pas écrire un article dans une revue d'économie ; rédiger un rapport de recherche pour un organisme public n'est pas rédiger un essai pour un éditeur soucieux de toucher un lectorat aussi large que possible... La variable "discipline" joue à l'évidence sur ce terrain, elle nourrit les stratégies de publication : écriture à plusieurs ou écriture solitaire ? En français ou en anglais ? Format article ou format livre ? En fonction de son histoire, de son épistémologie, chaque discipline s'impose des normes valorisant tel support ou tel format. Ainsi le "livre" , objet totem pour une partie des sciences humaines et sociales encore imprégnées du modèle "littéraire" , est-il démonétisé dans d'autres disciplines davantage nourries des imaginaires associés aux sciences dures... Malgré cette diversité, l'acte d'écriture demeure une pratique partagée. L'objectif de ce livre, qui entend croiser témoignages et analyses, est certes de donner à voir la diversité des pratiques d'écriture mais aussi et surtout de faire dialoguer les chercheurs autour des manières de mettre leur idéal scientifique à l'épreuve de l'écriture. Car écrire en sciences humaines et sociales, ce n'est jamais simplement rédiger, ce n'est jamais simplement consigner un résultat de recherche. L'écriture n'est ni simple, ni transparente, ni innocente. En invitant les chercheurs à dire leur rapport à l'écriture, et même à raconter leurs expériences (heureuses ou douloureuses), ce second volet de la collection "Métier de chercheur·e" entend interroger frontalement une pratique trop peu souvent mise en discussion dans l'espace académique.

12/2021

ActuaLitté

Ethnologie

La mondialisation des sciences sociales

" Le fait central des Temps modernes n'est pas que la Terre tourne autour du Soleil. L'essentiel est bien plutôt que l'argent coure autour de la erre à l'intérieur du capitalisme planétaire en phase de globalisation dans les cinq parties du monde. Le rassemblement de la Terre s'est effectué par la circulation de l'argent dans tous ses avatars aussi bien marchands que culturels, communicationnels et cognitifs, imaginaires aussi. " (extrait de l'introduction) A la fois ouvrage de géopolitique, et analyse des travaux des principaux anthropologues sur la question de la mondialisation et du post-colonialisme (et montrant, de manière extrêmement pertinente, comment les deux sont liés), cet ouvrage est composé d'une dizaine d'essais. Ecrit dans une langue claire, il offre, aux chercheurs comme à toute personne intéressée à comprendre notre monde, une approche originale et critique.

02/2010

ActuaLitté

Sociologie

Matière sociale. Esquisse d'une ontologie pour les sciences sociales

Ce livre propose une ontologie adaptée aux sciences sociales, à leurs objets et à leurs méthodes. Les catégories proposées s'appuient sur les travaux de l'auteur, mais l'objectif du livre est avant tout d'explorer les possibilités de faire apparaître un espace théorique commun de ces sciences, au-delà des divergences théoriques, des différences disciplinaires ou thématiques, et de la diversité considérable des vocabulaires. Les entités, les processus et les relations constituent les entrées complémentaires sur la base desquelles sont élaborées les catégories présentées, avec une attention particulière au niveau intermédiaire des phénomènes situés entre les interactions et les processus collectifs très massifs. Les notions de réseau, de collectif, de sphère d'activités et d'institution sont définies à partir de ce niveau intermédiaire et sont ensuite déployées sur d'autres niveaux d'analyse. L'ouvrage met l'accent sur les phénomènes d'émergence de formes sociales complexes au sein d'un espace à trois dimensions (masse, durée, généralité) qui généralise la classique distinction entre micro et macro souvent discutée par les sociologues et les typologies des durées élaborées par les historiens. Les catégories proposées sont toujours appuyées sur des travaux empiriques et associées à des méthodes d'enquête.

04/2022

ActuaLitté

Criminologie et sicence pénite

Pénologie, science sociale

En marge de ses très nombreuses communications scientifiques portant sur des thèmes diversifiés de criminologie, Guy Houchon a patiemment peaufiné une perspective radicale sur l'emprisonnement. Attaché aux droits de la personne et pour le moins sceptique sur les performances de la prison, il a consacré de nombreux travaux à la construction d'une pénologie dont il revendiquait le statut de science sociale, théoriquement et méthodologiquement soutenue, aux antipodes des introductions ou des appendices vaguement humanistes des traités de droit pénal ou de droit pénitentiaire. Cet ouvrage rassemble, après le décès de Guy Houchon, les neuf pièces essentielles qu'il a consacrées à l'étude macrosociologique de l'emprisonnement. Pour construire ce livre qu'il aurait voulu écrire lui-même, Pierre Reynaert, Dan Kaminski et Francine Gigain ont procédé à la sélection, à l'organisation et au "tuilage" de ses conférences et publications marquantes, afin d'en restituer la substance, la logique et la rigueur utiles aux travaux contemporains.

02/2022

ActuaLitté

Critique littéraire

Station métropolis, direction Corsucant. Ville, science-fiction et sciences sociales

Depuis la fameuse Metropolis de Fritz Lang jusqu'à la cité-planète de Coruscant dans Star Wars, en passant par les mégalopoles étouffantes de Soleil vert ou Blade Runner, les villes du futur, réelles ou imaginaires, semblent concentrer les maux : démesure et surpopulation, violence et oppression, pollution et ghettoïsation... La science-fiction aurait-elle peur des villes ? N'y aurait-il de salut que dans leur destruction ? Telles sont les interrogations soulevées par Alain Musset, géographe et directeur d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, qui nous livre ici un ouvrage référencé et engagé. Alors que les prévisions indiquent que deux personnes sur trois habiteront dans des centres urbains à l'horizon 2050, il devient crucial de déterminer comment mieux habiter et vivre ensemble. Or en la matière, la science-fiction sait nous indiquer le chemin pour ne pas faire des villes un enfer sur Terre...

10/2019

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté