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Denis Rolland, Clémence Raynaud

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Dossier

Les livres de Roland Topor : humour noir jusqu'au bout du cigare

Roland Topor (1938-1997) restera cet artiste français aux multiples talents : dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, acteur et cinéaste. Une singularité créative qui l'a distingué comme l'une des figures emblématiques de l'art et de la littérature du XXe siècle en France.

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Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

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Dossier

En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Points Terre : écologie et sauvegarde de la planète

Pour débattre et mobiliser autour de la question écologique et de la sauvegarde de la planète «Points Terre» une collection d'essais en poche pluraliste, engagée et interdisciplinaire. Face à l’urgence climatique, face aux défis majeurs que posent l’entrée dans l’anthropocène et la sauvegarde de la planète, la collection de poche « Points Terre » se propose d’ouvrir un espace d’échanges, d’analyse et de questionnements autour de la question écologique. 

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

Extraits

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Sciences historiques

Adieu mon commandant. Souvenirs d'un officier

"Adieu, mon Commandant" est la formule poignante adressée par un soldat au chef de bataillon Alfred Guédeney avant un assaut le 25 décembre 1914. Inédits, ces souvenirs mettent ainsi en lumière le sort d'un officier dans la Grande Guerre, confronté tout à la fois à la violence des combats, aux souffrances des hommes et aux ordres d'un haut commandement à l'égard duquel il se montre souvent très critique. C'est toute la singularité de ce témoignage, écrit dans les années trente par un général en retraite, libéré du poids de la censure et soucieux d'établir la vérité. De 1914 à 1919, dans le temps long de la guerre, l'auteur décrit jour après jour son parcours et celui de ses unités, révélant des épisodes surprenants de nombreuses batailles (Champagne, Chemin des Dames, Aisne 1918, etc.). Présenté et annoté par deux spécialistes de la Grande Guerre, ce récit captivant retrace également les pérégrinations avant et après guerre de l'officier, Vosgien qui servit une grande partie de sa carrière en Afrique et au Levant.

03/2018

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Art contemporain

Peinture combas raynaud. Robert combas et jean-pierre raynaud

D'un côté Robert Combas, né en 1957, marqué par les arts populaires, le Pop art, la bande dessinée, le rock, la publicité. Dès le début de son oeuvre, il se détache des mouvements conceptuels des années 1970 pour renouer avec une peinture bien réelle, insolente, pulsionnelle, une peinture combative, quasi expressionniste et aussi pleine d'humour critique. De l'autre Jean Pierre Raynaud, né en 1939, qui dès le début des années soixante, emploie de façon obsessionnelle des motifs et des objets liés à son histoire pour se les réapproprier en leur donnant une valeur formelle tout en intervenant légèrement pour leur offrir tout leur sens. Ainsi, des carreaux de céramique blanc de 15 cm de côté à joints noirs qui recouvrent sculptures, containers maritimes, architectures ; des containers médicaux en inox emplis de gravats d'une maison entièrement carrelée puis détruite ; des pots de fleurs Psycho-objets de toute taille remplis de ciment et peints de couleurs vives ou des panneaux de signalisation Sens interdits. En faisant le choix de présenter ces deux artistes en résonance, la Galerie Strouk - au-delà d'une recherche de correspondances ou de discordances entre leurs oeuvres si singulières - permet d'assister au retentissement d'une sensibilité sur une autre, et inversement. Cette exposition inédite, à la fois par ses qualités historique et muséale, confirme l'engagement fort et le soutien années après années de la galerie envers ces deux artistes.

11/2023

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Art contemporain

Les Deschamps de Raynaud

J'ai conscience de la particularité de mon témoignage pour ne pas dire l'impudeur face à l'oeuvre de Gérard Deschamps. Ce n'est certes pas mon rôle car artiste moi-même, comment aurais-je l'audace d'exprimer des mots qui auront toujours des conséquences tant pour lui que pour moi-même ? Mais en ai-je le choix ! Certainement pas après avoir ressenti cette illumination au début des années 1960. Jeune artiste à cette époque, j'ai eu tout naturellement besoin de clarifier mes engagements et de faire émerger dans ma tête les artistes qui m'apparaissaient déterminants : Gérard Deschamps faisait partie de ceux-là, comme une évidence, comme une raison suffisante créant une fidélité à son oeuvre jamais remise en question pendant 50 ans. De quoi s'agissait-il dans ma tête ? Une justesse liée à cette époque d'après-guerre dont j'étais un témoin, une liberté jamais démentie, mais surtout une fraîcheur transmise dans ses oeuvres, ce qui était pour moi un petit miracle. Je n'oublierais jamais ce jour au début des années 60 où préparant une exposition personnelle à la galerie Apollinaire à Milan, je fus invité pour des raisons techniques à descendre dans la cave de leurs locaux, cela à l'aide d'une bougie. Au milieu de l'obscurité et d'un fatras inextricable j'entraperçus un vague panneau comportant un châssis recouvert d'un tas de chiffons. Est-ce à travers cette lumière digne d'un Vermeer que m'apparût l'évidence de cette oeuvre ? J'étais en face d'un assemblage de tissus éblouissants que je reconnus instantanément comme une oeuvre majeure qui, d'ailleurs, avait représenté Gérard Deschamps à la Biennale de Paris quelques années auparavant. Après cette évocation lumineuse, l'environnement m'apparut d'une propreté plus que douteuse et j'en ressentis une grande détresse. Immédiatement et inconsciemment, je me portai acquéreur de ce chef-d'oeuvre en péril. Ce fut le début d'une démarche fidèle, jamais démentie et souvent résurgente. Que représente aujourd'hui cette oeuvre apparemment légère et libre ? sans aucun doute une authenticité, une résistance face à un monde marchand dominant l'art. Est-elle en danger, va-t-elle disparaître ou demeurera-t-elle à jamais cette émancipation radieuse que nous offre Gérard Deschamps ?

05/2023

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Policiers

Clémence

Greg, Julian, David, Quentin et Chris sont cinq jeunes musiciens de hard-rock qui d'apprêtent à faire un voyage de plus de 500 km jusque dans l'Aisne,où ils doivent se produire sur la scène d'un festival dans la ville d'Hirson. Une panne contraint Greg, le chauffeur et leader du groupe, à s'arrêter et demander de l'aide à sa soeur, Clémence. Cette dernière rejoint le petit groupe et décide de faire le voyage avec eux, malgré les réticences de son frère qui voit d'un mauvais oeil la présence de sa soeur parmi ses copains. L'effet qu'elle produit sur ceux-ci n'est pas du goût de Greg. Malgré cela, les voilà tous les six embarqués pour Hirson où les choses commencent a dégénérer à cause d'une fête trop arrosée qui prive les musiciens de cpncert. Clémence est sujette à une convoitise toujours plus présente et la situation s'envenime lorsque Greg découvre que David et Quentin qui sont frères, ont commis un meurtre quelques mois plus tôt. Forcés de repartir et épuisés, les six jeunes gens s'arrêtent dans une ancienne carrière pour y trouver un peu de repos, mais c'était sans compter sur l'arrivée de deux malfrats qui, dans un premier temps, assassinent Julian, puis les prennent en otage. Conduits dans une vieille ferme isolée, ils seront contraints de satisfaire les caprices de satisfaire les caprices des deux individus et seront les victimes d'un jeu cruel dans lequel ils devront essayer de survivre. Les meurtres vont alors s'enchaîner jusqu'à ce qu'il ne reste que Clémence, qui, rendue au bord de la folie, va encore faire une découverte qui l'achèvera.

06/2019

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Littérature française

Clémence

1915. Clémence de Pibrac, ancienne artiste de music-hall, s'est retirée à Cormontreuil, dans la Marne, à quelques encablures de la ligne de front. Elle fait la connaissance du soldat Fernand qui lui raconte la mort mystérieuse de son beau-frère Abel, reclus dans une chambre d'hôtel à Wissant, au bord de la Manche. Intriguée par cette histoire qui la replonge dans son propre passé, Clémence profite d'une tournée du théâtre aux armées à laquelle elle participe sur le front du Nord pour se rendre à Wissant et enquêter elle-même sur la mort d'Abel. La vérité qu'elle va découvrir et rapporter au soldat va faire voler en éclats bien des certitudes et des non-dits.

06/2021

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Monographies

Raynaud catalogue raisonné. Tome 2

Le deuxième volume de l'oeuvre raisonnée de Jean Pierre Raynaud commence en 1974, avec le travail de l'artiste confronté au carrelage blanc 15x15 cm, joints noirs et se poursuit jusqu'en 1997. Le deuxième volume de l'oeuvre raisonnée de Jean Pierre Raynaud commence en 1974, avec le travail de l'artiste confronté au carrelage blanc 15x15 cm, joints noirs et se poursuit jusqu'en 1997. Cette période intègre l'oeuvre maitresse de Raynaud, " La Maison " de Bougival, mais aussi " le Mastaba " édifié à La Garenne-Colombes. Elle incorpore également les " Minguettes ", le " Pot doré " et le " Container " installés de manière pérenne au Centre Georges Pompidou... Mais aussi les thématiques telles : les armes de guerre, les vitrines, et autres projets de grande échelle comme les pots et les autoportraits.

09/2021

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