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Claudine Brécourt-Villars

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Dictionnaires divers

Mots de table, mots de bouche. Dictionnaire étymologique et historique du vocabulaire clasique de la cuisine et de la gastronomie

La pêche Melba a son histoire, comme le poulet Marengo ou le homard à l'américaine ou thermidor, inventé celui-là pour fêter le triomphe d'une tragédie de Victorien Sardou. Mais pourquoi telle sauce s'appelle-t-elle béarnaise, béchamel, Soubise ou Robert ? Pour quelle raison telle pâtisserie est-elle baptisée amandine ou conversation ? Et qu'en est-il, parmi tant d'autres, des amourettes, du baba, de l'épigramme, de la crêpe Suzette ou des pets-de-nonne ? Voilà ce qu'on peut trouver dans ce petit dictionnaire, qui comprend cinq cents articles illustrés par des citations puisées dans près de trois cents cinquante oeuvres du quatorzième siècle à nos jours.

06/2023

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Littérature érotique et sentim

Eros. Anthologie de littérature érotique

Trêve de minauderies et de mots couverts, ce florilège souligne le regard d'auteurs célèbres, méconnus ou inconnus sur le désir et le plaisir : maîtres-mots de la littérature érotique ou nichés au creux de la plus classique et dans les correspondances appartenant au plus intime. Claudine Brécourt-Villars invite le lecteur à une promenade vagabonde sur les chemins sinueux de la galanterie, illustre la marche changeante de l'histoire des mentalités de la Renaissance à nos jours et révèle les transgressions de certains embarquements pour Cythère...

04/2019

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Dictionnaire français

Du couvent au bordel. Mots du joli monde

Le monde des prostituées et celui des gens de la pègre, qui les exploitent, possèdent un langage original d'une vulgarité propre à émoustiller les clients et à choquer les bien-pensants, mais dont la richesse ne laisse pas de surprendre. Et si le passage des mots d'argot dans le français familier, puis dans le français tout court, n'a commencé que dans les années 1870, ce vocabulaire pittoresque et truculent était toujours vivace à l'aube du XXe siècle. A côté des incontournables catins, filles de joie ou putains, les marchandes d'amour sont stigmatisées comme appartenant à une espèce mi-animale, mi-humaine : noms d'oiseaux ou de volatiles de basse-cour – chouettes, grues, cocottes, poules –, de batraciens, voire de larves d'insectes. Les araignées de luxure ou de pissotière offrent la parfaite représentation du rejet que suscitent ces filles, considérées comme avilissantes. S'ajoutent à ce florilège chienne, guenon, truie, femelles réputées pour leur lascivité, ou louve qui a donné le littéraire lupanar, mais encore biche et lionne, termes appliqués aux courtisanes croqueuses de diamants et aux demi-mondaines chères à Alexandre Dumas fils. Quant aux lieux d'exercice du métier, ils sont appelés : bordel, bobinard, boxon, claque, trottoir et tutti quanti. Autant de mots et expressions du " joli monde " dont Claudine Brécourt-Villars donne le sens, l'étymologie, la datation. Elle les illustre par des citations, littéraires pour la plupart, provenant aussi parfois de chansons ou de vaudevilles. Du XVIe siècle à nos jours, en passant par le XIXe – âge d'or de la prostitution où nombre d'écrivains populaires et naturalistes se sont emparés du thème –, cet ouvrage en dit long sur l'évolution de la condition des prostituées dans la société française et, inévitablement, sur celle des femmes.

01/2017

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Littérature française

Les «Claudine». Claudine à l'école ; Claudine à Paris ; Claudine en ménage ; Claudine s'en va

Les voilà de nouveau, après trois quarts de siècle, ces Claudine qui "font l'enfant et la follette" — le mot est de Colette elle-même, qui ajoute : "La jeunesse, certes, y éclate. "La jeunesse, oui, et l'éclat : ainsi apparut Claudine, un jour de l'année 1900, dans son sarrau noir d'écolière, campée sur le seuil de la classe des grandes... Dès sa parution, Claudine à l'école est un succès, qui tourne au triomphe après la publication, l'année suivante, de Claudine à Paris, puis coup sur coup de Claudine en ménage et Claudine s'en va. On mesure mal aujourd'hui l'engouement que suscitèrent les Claudine durant ces premières années du siècle. Le théâtre s'en empare, l'opérette, le music-hall, la mode aussi... Engouement, parfum de scandale, battage publicitaire... Mais quelque chose de plus : un ton nouveau — le naturel. Et la naissance, comme le prédisait Catulle Mendès à Colette, d'un type littéraire. Et puis, cette Claudine, "personnage acide qui, vêtu en enfant, a licence de se comporter en femme ", ne faut-il pas la voir comme le premier état, la gracieuse et fraiche ébauche de tant d'héroïnes qui vont lui faire escorte dans l'oeuvre de Colette ? Julie de Carneilhan par exemple, cette Claudine parvenue à la maturité... Blessée, bafouée, elle n'abdique ni son intrépidité ni sa sincère imprudence. Comme Claudine, Julie s'en va... Comme s'éloignent Renée Néré, la Vagabonde, et la narratrice de La Naissance du jour... Quant à la valeur autobiographique des Claudine, elle n'est peut-être pas aussi mince qu'ont pu le penser certains. Des recoupements avec des ouvrages tels que Mes apprentissages, Le Pur et l'impur, feraient à coup sûr surgir similitudes, contradictions et.. prémonitions. Cependant voici Claudine : elle se suffit à elle seule. Colette l'a voulu ainsi : "Un jeune lecteur, une jeune lectrice n'ont pas besoin d'en savoir davantage sur un écrivain caché, casanier et sage, derrière son roman voluptueux. " GB.

06/2019

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Littérature française

Imagine Claudine

Le temps passe, le village change. La ville se rapproche et Claudine devient riche. En ville, être riche c'est aller au massage, se faire livrer à manger par de jeunes cyclistes, c'est faire les vitrines chaque jour, c'est porter une robe différente par semaine, c'est aller au restaurant quand ça vous chante, c'est arrêter un taxi d'un geste de la main. Au village, être riche consiste à cacher son argent et à s'arranger pour donner des imaginations, des envies et des jalousies sournoises à tout le monde. Entre les deux, Claudine hésite.

04/2024

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Littérature française (poches)

Claudine à Paris

Son original de père ayant brusquement décidé de s'installer à Paris, Claudine se retrouve rue Jacob dans un appartement sombre, entre deux cours. Refusant obstinément de sortir, errant d'une chambre à l'autre, la gorge rétrécie et l'appétit absent, elle finit par tomber gravement malade. Deux mois passent. Claudine, sans oublier Montigny et sa chère école, reprend petit à petit goût à la vie. Elle fait la connaissance de son ravissant neveu Marcel qui a dix-sept ans comme elle et ses confidences sont bien excitantes ! On la demande en mariage... et enfin elle découvre l'amour. Rempli de vie et de sensualité, Claudine à Paris est la suite de Claudine à l'école, premier roman de Colette.

09/2004

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