Recherche

Chefs-d'oeuvre d'Afrique dans les collections du musée Dapper

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

ActuaLitté

Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

ActuaLitté

Dossier

7 lieues, la collection d'aventures dans la poche

Les éditions Milan ont choisi de faire chausser des bottes aux jeunes lecteurs, à partir de 7 ans, pour vivre des aventures incroyables. Et pas n’importe quelles bottes : celles de 7 lieues, du nom de leur nouvelle collection. Deux séries ouvrent le bal de cette aventure éditoriale : La Famille Rollmops et ses voyages invraisemblables et La Cabane, une histoire d’enfants, interdite aux grands.

ActuaLitté

Dossier

Bibliophilie : les Collections Aristophil

Les documents des collections Artistophil balayent toutes les périodes de l’humanité, depuis l’Antiquité, jusqu’au XXe siècle. La maison de ventes Aguttes s’est vue confier par le tribunal de Commerce la mission d’inventorier, conserver et restituer les œuvres qui en étaient issues. 

ActuaLitté

Dossier

Fureur ! Passion ! Eléphants ! : Salammbô, l'exposition

« C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar ». Il suffit de ces quelques mots pour que l'imaginaire immédiatement se déclenche, convoquant images et mythes, langueur et Histoire, Orient et littérature. Publié en 1862, le roman de Flaubert retrace l’attraction fatale entre Salammbô, prêtresse de Tanit et Mathô, chef des mercenaires révoltés contre l’opulente Carthage. Jusqu'au 19 septembre prochain, et dans le cadre des célébrations du bicentenaire de la naissance de l'écrivain, le Musée des Beaux-arts de Rouen accueille une exposition conviant tous les arts, traces de l'incroyable postérité de cette oeuvre. 

ActuaLitté

Dossier

Poésie, musique et légendes : découvrir l'Afrique

Continent exploité des siècles durant, berceau de l’humanité, mais également terre de mystères et de fascination : l’Afrique, complexe et plurielle, offre au lecteur mille raisons de s’émerveiller. Et peut-être autant de prendre conscience de ce que la civilisation occidentale a pu exercer d’influence et de dégâts. Voici dix ouvrages, sans prétention à l’exhaustivité, pour aborder ces mondes, autrement.

Extraits

ActuaLitté

Beaux arts

Chefs-d'oeuvre d'Afrique dans les collections du musée Dapper

Des pièces majeures, qui pour certaines d'entre elles n'ont pas d'équivalent dans le monde, sont réunies pour la première fois dans un ouvrage de référence publié en hommage à Michel Leveau, le fondateur du musée Dapper. Un de ses articles, "La découverte des figures de reliquaire dites kota" (Gabon), est réédité ici. Nombre de ces objets ont appartenu auparavant à des grands noms ayant marqué la reconnaissance des arts non occidentaux au début du XXe siècle - Paul Guillaume, Jacob Epstein, Charles Ratton... Remarquables par leur qualité esthétique, les quelque cent trente oeuvres reproduites - masques, statues, statuettes, insignes et parures - témoignent de la richesse des pratiques artistiques de l'Afrique subsaharienne. Leurs fonctions politiques, sociales et religieuses sont éclairées par les analyses de spécialistes reconnus, anthropologues, ethnolinguistes ou historiens de l'art Alain-Michel Boyer, Jean-Paul Colleys, Christiane Falgayrettes-Leveau, Christiane Owusu-Sarpong, Anne van Cutsem-Vanderstraete et Jean-Pierre Warnier. Chaque auteur a rédigé pour ce catalogue, qui s'articule en deux grandes sections - Afrique centrale et Afrique de l'Ouest -, un texte de présentation général suivi de notices dans lesquelles il a résumé l'essentiel de ses connaissances sur le sujet. Ce livre permettra à chaque lecteur, spécialiste, simple amateur ou néophyte, d'entreprendre un voyage riche de découvertes à travers l'univers des formes et des spiritualités que les cultures africaines nous proposent en partage.

09/2015

ActuaLitté

Beaux arts

Monet. Chefs-d'oeuvre du Musée Marmottan Monet

L'exposition "Monet - Chefs-d'oeuvre du musée Marmottan Monet", proposée à l'occasion de l'ouverture du Musée Mer Marine de Bordeaux, présente un ensemble d'oeuvres pour beaucoup restées inédites du vivant de l'artiste. En 1883, Monet loue une maison à Giverny avec Alice Hoschedé et leurs enfants. Toujours en quête de motifs, le peintre parcourt la France mais aussi l'Europe. En 1890, il acquiert la maison de Giverny qu'il aménage à son goût. Durant des années, sa peinture se mêle à sa passion pour l'horticulture : il aménage un jardin plantureux et coloré, et ne cesse de le représenter sur ses toiles. En 1899, il commence une série consacrée au Bassin aux nymphéas, dont il déclinera le thème jusqu'à la fin de sa vie. En 1927, quelques mois après sa mort, le musée de l'Orangerie inaugure l'installation des panneaux des Nymphéas. Le legs de Michel Monet au musée Marmottan en 1966 constitue un éventail, devenu fameux, des explorations artistiques du peintre. Les oeuvres présentées dans cette exposition forment un ensemble qui témoigne d'un Monet intime, saisi depuis ses caricatures d'enfant jusqu'à ses oeuvres ultimes.

06/2018

ActuaLitté

Histoire de l'art - Guides

Chefs-d'oeuvre. La collection Cini

L'Hôtel de Caumont - centre d'art d'Aix-en-Provence fait voyager ses visiteurs à Venise en présentant une sélection des chefs-d'oeuvre de la collection Cini, l'une des plus importantes collections d'art ancien italien. Les peintures, sculptures, dessins et objets précieux présentés et reproduits dans cet ouvrge, font partie de l'un des plus prestigieux ensembles d'art italien, du XVIe au XVIIIe siècle, réuni par l'entrepreneur et philanthrope Vittorio Cini (Ferrare 1885 - Venise 1977). En 1951, ce dernier crée la Fondation Giorgio Cini, centre de recherche et formation de réputation internationale, intitulé à la mémoire de son fils, décédé prématurément. Aujourd'hui, la collection Cini est répartie entre la Galerie du Palazzo Cini, ancienne résidence du collectionneur sur le Canal Grande, et l'important siège de la Fondation Giorgio Cini, sur l'île vénitienne de San Giorgio Maggiore. A côté des grands noms de la peinture toscane - Botticelli, Fra Angelico, Filippo Lippi, Piero di Cosimo - et vénitienne, comme Lorenzo et Giandomenico Tiepolo, l'exposition présente des pièces maîtresses de la Renaissance ferraraise. Complétée par une sélection de sculptures, émaux et ivoires, ainsi que par un choix de dessins et enluminures, l'exposition et le catalogue qui l'accompagne rendent compte de toute la variété technique et stylistique d'une époque florissante de l'art italien, ainsi que du goût raffiné de l'un de plus importants collectionneurs italiens du XXe siècle.

11/2021

ActuaLitté

Musées français

Chefs d’oeuvre art déco. Musée des années 30

Tandis que l'Art déco, admiré de tous à l'Exposition internationale des arts décoratifs de 1925, continue à se diffuser, jusqu'à la fin des années 30, conjointement aux mouvements modernistes et cubistes dans les arts décoratifs, les Beaux-Arts et l'architecture, de nombreux peintres de l'entre-deux guerres tels que Boutet de Montvel, Courmès, La Patelière, Souverbie ou Despiau s'attachent à redonner au réalisme un nouveau visage, en phase avec son temps. La ville de Boulogne-Billancourt est au coeur de cette créativité bouillonnante. Attirés par des terrains aux prix abordables, de grands industriels comme Renault et Dassault, les Studios de Boulogne pour le cinéma et des artistes tels que Paul Landowski, Marc Chagall ou Juan Gris s'installent dans cette ville naissante. Les "Dimanches de Boulogne" de Daniel-Henry Kahnweiler, en réunissant de nombreux artistes cubistes, participe à faire de la ville un centre culturel de premier plan. Témoin privilégié de cette époque foisonnante, le musée des années 30 conserve dans ses collections plusieurs centaines de chefs-d'oeuvre, dans des domaines aussi variés que la peinture, la sculpture, avec les frères Martel, Jouve, Janniot ou Bernard, les arts décoratifs, avec des ensembles exceptionnels de Ruhlmann, Leleu, Follot, Sue et Mare, Printz, Herbst, Sognot, Mallet-Stevens, les arts graphiques ou l'architecture. A rebours d'une modernité trop longtemps cantonnée au cubisme, à l'abstraction et à l'art conceptuel, il offre un regard singulier sur cette période encore méconnue.

09/2023

ActuaLitté

Beaux arts

Ensor, Magritte, Alechinsky... Chefs-d'oeuvre du Musée d'Ixelles

L'exposition qui se tient du 28 septembre 2019 au 23 février 2020 au Musée de Lodève et le catalogue qui l'accompagne invitent à un cheminement sensible sur les sentiers de l'art belge à travers une sélection de quatre-vingt-dix chefs-d'oeuvre des collections du Musée d'Ixelles-Bruxelles. Ce panorama offre un éclairage sur les principaux courants développés en Belgique de la fin du XIXe siècle au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et illustre la densité, la richesse et la singularité de cette épopée artistique. Oscillant entre des influences internationales et des caractéristiques spécifiquement locales, entre un profond attachement à l'égard du réel et une propension féconde à l'imaginaire, l'art belge se révèle telle une ode à la modernité, à la liberté et au non-conformisme.

10/2019

ActuaLitté

Monographies

Chefs d'oeuvre de la collection Bemberg

Véritable cosmopolite d'autrefois, et homme de culture de toujours, Georges Bemberg est l'héritier d'une vieille famille vivant depuis longtemps entre l'Ancien et le Nouveau Monde. Si c'est en 1841 que le banquier Charles-Juste Bugnion achète la campagne de l'Hermitage, située sur une colline dont la vue superbe sur la cathédrale de Lausanne et le lac avait déjà été immortalisée par Camille Corot en 1825, c'est peu d'années plus tard que la famille Bemberg quitte Cologne, en Allemagne, et traverse l'Atlan- tique pour y commencer une nouvelle vie. Georges Bemberg aurait pu être pianiste, compositeur, écrivain, ou encore auteur de théâtre mais, avec une discrétion et un sens du secret qu'il érige en règle de vie, c'est en collectionneur qu'il se consacra à l'art. Jusqu'à ses derniers jours, il partage son temps entre Paris où il réside le plus souvent, New York dont il aime l'énergie et les hivers, et Buenos Aires auquel il garde un attache- ment profond. Né en Argentine en 1915 dans une famille luthérienne d'industriels, il grandit en France. Pianiste talentueux envisageant un temps de devenir compositeur, il choisit Harvard pour ses études afin de rejoindre Nadia Boulanger et côtoyer toute l'élite des compositeurs du xxe siècle. Finalement, il renonce à la carrière musicale, trop exclusive à son goût, pour se lancer dans la création littéraire. Diplômé en littérature comparée anglaise et française, il devient alors un familier des cercles d'écrivains et de poètes de la Nouvelle-Angleterre et rencontre de grands auteurs comme John Dos Passos ou Edmund Wilson. Il publie différents ouvrages et certaines de ses pièces sont jouées avec succès off-Broadway. En Argentine, il fréquente les milieux intellectuels sud-améri- cains et sa cousine Victoria Ocampo lui ouvre sa fameuse revue littéraire SUR. En France, ses nouvelles et poèmes au style subtil et sensible sont favorablement accueillis par la critique. Néanmoins, au-delà de la multiplicité de ses talents, il consacre sa vie à sa passion pour les beaux-arts. De sa famille, généreux mécène à qui l'on doit la Maison de l'Argentine à la Cité universitaire de Paris, et plus particulièrement d'un oncle, élève de Picasso, Georges Bemberg hérite de l'amour de la peinture. C'est à New York, alors âgé d'une vingtaine d'années, qu'il fait l'acquisition d'une gouache de Pissarro, remarquée chez un marchand et obtenue pour 200 dollars. "C'est pour un musée" dit-il, pour cacher sa timidité et anticipant inconsciemment son désir profond. Aux Etats- Unis, puis en France après la guerre, Georges Bemberg se familiarise avec le marché de l'art et parcourt les ventes. A Paris, il est ébloui par Bonnard et va constituer, au fil des ans, un des plus grands ensembles de ce peintre, riche de plus de trente toiles. Il le complètera par un nombre important d'autres signatures de la fin du xixe et du début du xxe siècle, impression- nistes, nabis et fauves. Il réunira également près de deux cents tableaux anciens, du xvie au xviiie siècle, dont des portraits de Clouet, Benson et Cranach. Son amour pour Venise le pousse à collectionner les maîtres vénitiens tels que Canaletto et Guardi. Toutes les formes d'expression artistique le passionnent. Ainsi, de remarquables bronzes de la Renaissance, de splendides reliures, une foule d'objets précieux ou encore des meubles de grands ébénistes viennent s'ajouter à sa collection, qu'il ne va jamais cesser d'enrichir. Dans les années 1980, Georges Bemberg recherche un lieu où abriter sa collection et la partager avec le public, considérantque les beaux objets doivent finir dans un musée pour être vus par tous. C'est ainsi que lui vient l'idée de créer une Fondation, seul moyen de préserver sa collection dans son intégrité, tout en la rendant accessible. La splendeur de l'Hôtel d'Assézat que la municipalité de Toulouse lui propose de mettre à sa disposition, le convainc d'installer sa collection dans la ville. Le voeu du collectionneur peut se réaliser : abriter les oeuvres et les objets témoignant d'une vie tout entière consacrée à la recherche artistique dans un lieu hors du commun. Investi dans la mise en scène de l'oeuvre de sa vie, il crée un décor semblable à celui d'une noble maison particulière, renouant ainsi avec la vocation première de l'hôtel d'Assézat. Ce qui distingue la collection Bemberg et qui en fait tout le charme et la personnalité, c'est qu'elle n'est rien d'autre que le reflet fidèle du goût et du tempérament de son auteur. Celui-ci a choisi chaque tableau, chaque objet, pour la seule beauté et l'émotion que leur contem- plation éveillait en lui. Régulièrement, dans le plus grand anonymat, Georges Bemberg venait voir ses oeuvres installées dans l'écrin qu'il leur avait choisi et, toujours sans se faire connaître, se plaisait à écouter les commen- taires élogieux des visiteurs. Lieu d'exception s'il en est, l'hôtel d'Assézat appartient depuis plus de cent ans à la Ville de Toulouse. Sa construction, qui remonte à la seconde moitié du xvie siècle, est due à Pierre Assézat, négociant ayant fait fortune dans le pastel, plante tinctoriale dont le commerce était alors florissant. Venu d'Espalion, en Aveyron, au début du xvie siècle pour rejoindre ses frères aînés déjà associés à ce commerce, Pierre Assézat en devient l'héritier et le successeur en 1545. Marié à la fille d'un capi- toul, receveur général de la reine douairière Eléonore d'Autriche, il accéde au Capitoulat en 1552. Dès 1551, il commence à acquérir les terrains nécessaires à la construction d'une "grande maison" . Le 26 mars 1555, il conclut un bail à besogne avec le maître-maçon Jean Castagné et l'architecte sculpteur Nicolas Bachelier pour la construction du corps de logis formé de deux ailes perpendiculaires reliées par un escalier. A la mort de Nicolas Bachelier en 1557, son fils Dominique dirige les travaux du pavillon d'entrée, de la galerie ouverte sur la cour et enfin, de la "coursière" 4 qui anime le mur mitoyen aveugle. En 1761, les descendants de Pierre Assézat vendent l'hôtel au baron de Puymaurin, qui modernise façades et appartements. L'hôtel d'Assézat nous parvient donc après deux campagnes de travaux bien distinctes : l'une, datant de la Renaissance, met en place la composition générale, le dessin des façades, la superposi- tion des ordres dorique, ionique et corinthien, l'importance donnée à tous les éléments d'architecture par l'emploi de la pierre ; l'autre, remontant au xviiie siècle, voit les fenêtres à meneaux remplacées par de grandes fenêtres au premier niveau, pour éclairer les salons nouvellement créés. Au xixe siècle, après avoir été transformé en entrepôts et en bureaux, l'hôtel d'Assézat fut acheté par la banque Ozenne et légué en 1895 à la Ville de Toulouse. C'est au terme d'une étude de plusieurs années qu'a pris forme le projet de réhabilitation de l'édifice et son aménagement en vue d'abriter la collection Bemberg. Les travaux, commencés en 1993, se sont achevés début 1995, et la Fondation Bemberg a ouvert ses portes dans un bâti- ment entièrement rénové et réaménagé en fonction de sa nouvelle vocation culturelle. La Fondation Bemberg a réalisé une première extension et une rénovation de ses espaces en 2001, ce qui a permis d'y intégrer de nouveaux espaces comme l'auditorium, les ateliers pédagogiques, etc. A l'issue de près de 25 ans d'activités, le musée nécessite des aménagements plus adaptés à sa fréquen- tation et aux attentes du public, notamment en ce qui concerne l'accueil. Afin d'offrir la meilleure expérience possible à chacun de ses visiteurs, le conseil d'administration de la Fondation Bemberg a décidé d'un ambi- tieux chantier de rénovation, prévu de la fin de l'année 2020 au début 2022. Ce projet est l'aboutissement d'une réflexion en profon- deur sur les aspects techniques et la conser- vation préventive, ainsi que sur les aspects fonctionnels et notamment sur le parcours, les agencements muséographiques, les systèmes d'éclairage ainsi que les dispositifs de média- tion associés. Différents paramètres sont ainsi intégrés : muséographie, architecture, patri- moine, fonctions, et techniques. La Fondation Bemberg ou l'art de se réinventer... A l'heure où cette dernière a fermé ses portes pour un an afin de de se préparer pour une nouvelle vie, elle consent un prêt tout à fait exceptionnel. En effet, depuis sa création, c'est la première fois que la Fondation Bemberg, en dehors des prêts individuels qu'elle pratique toujours avec joie, prête ici une très large sélection des chefs-d'oeuvre de sa collection de peintures. Nul doute que, européen convaincu et amou- reux des beaux lieux, Georges Bemberg aurait apprécié de voir nombre de ses tableaux favoris dans le cadre attachant et romantique de la Fondation de l'Hermitage, en attendant que le rêve de sa vie fasse peau neuve...

03/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté