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A l'origine de la violence monothéiste, le dieu jaloux. L'introduction du vrai et du faux dans le domaine des dieux

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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Dossier

Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

Extraits

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Religion

A l'origine de la violence monothéiste, le dieu jaloux. L'introduction du vrai et du faux dans le domaine des dieux

Le fait religieux est sans doute aussi vieux que l'humanité. Toutefois, avant l'émergence du monothéisme, aucune religion n'avait ordonné de détruire les dieux d'autrui pour imposer le sien, ni exhorté à convertir, écarter ou exterminer les adeptes d'autres religions. Aucune n'avait en effet introduit la notion "du vrai et du faux" dans le domaine des dieux, aucun dieu ne s'était déclaré jaloux, aucun n'avait condamné les adorateurs d'autres divinités. Introduisant la dimension du sacré dans la dichotomie entre "eux" et "nous", l'accusation d'idolâtrie tend à diaboliser l'adversaire, à radicaliser les conflits, à sacraliser la violence. Judaïsme, christianisme et islam se veulent certes des religions de paix et d'amour. Mais leurs textes sacrés contiennent en leur coeur une injonction paradoxale, "Aime ton prochain, mais lapide l'idolâtre", ce que Saint Augustin reformulera par : "L'Eglise persécute par amour." Prétendre avoir reçu la révélation du "vrai dieu", n'est-ce pas occulter le caractère nécessairement limité, relatif, de toute approche humaine de la vérité, fût-elle réputée d'inspiration divine, fût-elle perçue comme révélée ? N'est-ce pas succomber à la tentation de l'absolu ? La Torah, la Bible et le Coran pourraient-ils ne plus être tenus pour des livres sacrés exprimant des commandements divins, mais rejoindre le patrimoine culturel commun de l'humanité, et n'être plus considérés que comme des témoignages humains, comme des invitations au questionnement ? Cet essai est le second d'une trilogie sur la violence monothéiste. Le premier, intitulé Guerres de religion et police de la pensée : une invention monothéiste ? visait à présenter les faits. Le second, celui-ci, cherche à identifier les mobiles, et suggère une voie de solution. Le troisième recensera et discutera les différents éléments du débat.

01/2017

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Religion

La manifestation du dieu des dieux aux hommes et la naissance du monothéisme

L'émergence du monothéisme judaïque exclusif est lié à la crise de l'Exil. En 597 av. J. C, l'armée babylonienne défait le Royaume de Juda, l'occupe et déporte en exil à Babylone la famille royale, l'intelligentsia et les classes supérieures. Dix ans plus tard, les Babyloniens ruinent Jérusalem et détruisent son Temple. S'ensuit alors une seconde déportation qui semble cependant laisser sur place près de 85 % de la population, essentiellement rurale. C'est au sein de cette élite déportée et de sa descendance que l'on trouve la plupart des rédacteurs des textes vétérotestamentaires qui vont apporter la réponse du monothéisme au terrible choc et la profonde remise en question de la religion officielle engendrée par cette succession de catastrophes. Non seulement, la défaite n'est pas due à l'abandon par Yahvé, mais c'est au contraire l'occasion de le présenter comme seul et unique dieu : dans les récits que les intellectuels judéens écrivent alors, la destruction de Jérusalem, montre la puissance de celui qui a instrumentalisé les Babyloniens pour punir ses rois et son peuple qui n'ont pas respecté ses commandements. Yahvé devient dès lors, au-delà de son peuple, le maître des ennemis de Juda.

10/2018

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Civilisations pré-colombiennes

La fin du monde aztèque. Entre dieux morts et violence monothéiste

AU MILIEU DE L'ANNEE 1524, dans ce continent baptisé Indes occidentales, inconnu du monde des Européens, mais qui va très vite faire l'objet d'une multitude d'histoires, de relations et autres récits de voyage, douze franciscains arrivent à Mexico au terme d'une marche exténuante de cinq semaines. Deux mondes que tout oppose viennent d'entrer en collision. La confrontation entre les douze frères et les Mexicains est aussi importante que celle entre Las Casas et Sepúlveda survenue un quart de siècle plus tard à l'occasion de la fameuse controverse de Valladolid. Lors des rencontres de 1524, devant des franciscains intransigeants en position de force, les seigneurs et les prêtres mexicains sommés d'abandonner leurs croyances et leurs rites expriment avec dignité leur désarroi et leur désespoir. Ce face-à-face révèle surtout une incompréhension insurmontable entre le camp chrétien, aveuglé par son obsession évangélisatrice, et des Mexicains exténués par une défaite qui a vu la mort d'une grande partie de leur peuple et, comme ils le déplorent, celle de leurs dieux. Un manuscrit daté de 1564 conservé par les Archives secrètes du Vatican rapporte les échanges intervenus à cette occasion. Intitulé Colloquios y doctrina christiana, le document représente une trentaine de folios, la moitié en espagnol, l'autre moitié en nahuatl, la langue des Aztèques. Patrick Saurin a réalisé la paléographie et la traduction en français du texte (dans ses deux versions nahuatl et espagnole, pour mettre en regard à la fois les deux points de vue et les deux langues) et en propose un large commentaire, une mise en lumière et l'interrogation d'un impensé de beaucoup de travaux d'historiens de l'ancien Mexique : le bien-fondé de l'évangélisation et son lien à l'entreprise de colonisation.

09/2021

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Littérature française

L'origine de Dieu

Paris, septembre 2016. Cinq amis, pour venger les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, font le projet fou de voler le corps de Mahomet à Médine. En ouvrant le tombeau, ils découvrent un corps intact et un étrange appareil fixé à sa ceinture qui ne semble pas être de l'époque du prophète. Surpris, ils abandonnent leur projet et décident de rentrer à Paris en emportant le mystérieux objet afin de l'étudier. Ils réussissent à le faire fonctionner et cet étrange boîtier les conduira en Israël, sur les traces du trésor des Templiers, puis dans un endroit secret sous le mont Sinaï. Ils découvriront une relique biblique légendaire et une caverne qui révélera plusieurs mystères de la création humaine. La réponse à l'énigme suprême se situe sous les profondeurs de la pyramide de Khéops, qui livrera enfin l'insaisissable secret de l'origine de Dieu.

05/2021

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Religion

Dieu trinité, unité de tous les hommes. Le monothéisme chrétien contre la violence

Selon une opinion largement partagée aujourd'hui, il existerait un rapport nécessaire entre le monothéisme et les guerres de religion. Pour beaucoup de nos contemporains en effet, les "trois monothéismes" seraient a priori fauteurs de violence et d'intolérance. Comment ne pas voir à quel point un pareil jugement falsifie la pensée authentique du christianisme sur le Dieu unique et son message de paix, et combien il fausse notre regard sur la Révélation biblique ? Avec courage et sans craindre les objections, la Commission Théologique Internationale s'empare ici de cette question brûlante.

12/2014

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Théologie

Le deuxième Dieu. L'esthétique du monothéïsme

L'idée fondatrice du monothéisme n'est pas tant la croyance en un Etre suprême que l'idée qu'Il est le créateur du monde et qu'il aurait un commerce avec le monde, de sorte que cet Etre, réputé abstrait et universel, embrassant toute existence, peut cependant se manifester dans l'univers - annulant de fait le présupposé du monothéisme selon lequel cet Etre serait au-delà du monde matériel. Comment donc le Dieu unique, distinct d'un monde qui ne lui pré-existe pas, peut-il créer ce monde sans s'y inscrire lui-même ? L'objectif de cet essai n'est pas de présenter un tour d'horizon érudit sur la question, mais d'aider le lecteur curieux à se mesurer à un enjeu intellectuel essentiel du monothéisme : pourquoi la croyance en un Dieu unique ne peut-elle pas se dispenser de l'idée d'une instance intercesseuse entre la finitude et l'infini ?

09/2022

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