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Richard Simon, Jean-Pierre Camus

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

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Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

Extraits

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Critique

Écritures critiques. Georges Poulet, Jean Pfeiffer, Jean-Pierre Richard

Les trois auteurs ici convoqués sont d'abord ce qu'il est convenu d'appeler des critiques littéraires, et c'est à ce titre qu'ils appartiennent, dans le genre qui est le leur, chacun avec ses moyens et talents propres, l'histoire de la littérature française ou francophone. Mais de l'avis presque unanime, tous trois sont aussi, et sans l'avoir directement voulu ou cherché, des écrivains part entière, ou plus justement peut-être des écritures singulières mises par eux, comme dit joliment Jean-Pierre Richard, au service des autres écritures. On arpentera dans les pages qui suivent, de long en large, en privilégiant les textes à caractère intime et les correspondances, trois uvres critiques majeures et qui ont chacune été, pour leur auteur, consciemment ou non, une inlassable et très authentique quête de soi et de sa propre voix. Parler des autres, interroger les textes d'autrui, patiemment les lire et les commenter, pour les trois écrivains critiques ici réunis, c'est en effet aussi, et peut-être surtout, fût-ce indirectement, ou obliquement, parler de soi.

02/2023

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Critique littéraire

Europe N° 1080, avril 2019 : Jean Starobinski, Jean-Pierre Richard

Médecin psychiatre, musicien, homme de vaste culture et d'érudition impeccable, Jean Slarobinski est, dans son indéniable singularité, une des figures majeures de la critique de notre temps. Une extrême rigueur et une extrême liberté caractérisent à la fois ce contemporain capital. Clarté et profondeur vont l'amble chez lui et le signalent, en notre XXIe siècle, comme un homme des Lumières. Qu'il analyse les oeuvres de Rousseau ou de Diderot, la peinture de Tiepolo ou la musique de Mozart, les écrits de Montaigne ou de Benjamin Constant, mais tout aussi bien ceux de Jaccottet, de Bonnefoy ou de Celan, il privilégie une lecture qui, selon ses propres termes, "s'efforce simplement de déceler ladre ou le désordre interne des textes qu'elle interroge, les symboles et les idées selon lesquels la pensée de l'écrivain s'organise". Tout en s'imposant à lui-même, et en attendant du lecteur d'avoir "la mémoire des contextes". Il faut le suivre dans ses analyses subtiles, ses aperçus ingénieux, ses approches parfois paradoxales. Se laisser gagner par cette ampleur, par cette hauteur de vue qui le caractérisent. Accepter d'être surpris et charmé par cette oeuvre dont son ami Yves Bonnefoy avait jadis trouvé le mot juste pour la définir : l'allégresse. Dès 1954, avec la publication de son premier livre, Littérature et sensation, Jean-Pierre Richard imposait une approche tout à fait nouvelle et originale dans le champ de la trinque littéraire. L'ouvrage fit d'emblée salué par Roland Barthes, qui voyait en lui "un livre heureux, c'est-à-dire brillant, juste, chaleureux et utile". Rehaussée par l'éclat d'un style d'une parfaite élégance, la critique se fait rapport sensible et sensuel à la littérature, aux textes, aux mots. Jean-Pierre Richard porte sur les ouvrages qu'il étudie un regard plein d'une empathie qui n'entrave jamais l'analyse, mais au contraire la suscite et la nourrit. Le critique se fait promeneur, herboriste ou explorateur. Il parcourt les oeuvres de Chateaubriand ou de Stendhal, de Mallarmé ou de Jacques Dupin, de Proust ou de Pierre Michon, de Reverdy ou de Pascal Quignard, tous sens aux aguets, attentif aux couleurs, aux odeurs, aux sonorités, à tout ce qui constitue leur atmosphère propre, traquant jusque dans le moindre détail ce qui les rend uniques et par conséquent précieuses.

04/2019

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Critique littéraire

Jean-Pierre Richard, critique et écrivain. Suivi d’un texte inédit de Jean-Pierre Richard : "Les sols du sens"

Dans le paysage des études littéraires d'après-guerre, au moment où s'amorçait le mouvement de la " nouvelle critique ", les premiers livres de Jean-Pierre Richard marquaient assurément un ton dont on ne connaissait guère d'autre exemple : une manière de se lancer à l'abordage des textes dans une allègre témérité, armé en apparence du plus léger équipement possible, à seule fin d'en éprouver d'abord, presque physiquement, la fringance et d'en revivre le bonheur. Un demi-siècle plus tard, tandis que retombait la ferveur des grandes initiatives critiques, que les anciennes pratiques reparaissaient sous des habits nouveaux, la ferveur entêtée de Jean-Pierre Richard se tournait vers de nouveaux objets, moins canoniques que par le passé, plus " buissonniers ". Choisir de lire des contemporains, parfois fort jeunes, c'était dire que la critique a " valeur de reconnaissance ", selon le mot de L'Etat des choses. Les douze études rassemblées ici tentent à leur tour de lire cette grande oeuvre de lecture ; de l'aborder à la manière des paysages auxquels Jean-Pierre Richard se montre si constamment sensible, dans une langue elle-même vouée à dessiner ses propres horizons. Car ce n'est pas le moindre sujet d'étonnement qu'elle nous offre : constamment au service des écrivains, elle a fini par dresser la figure d'un critique et d'un écrivain très singulier, reconnaissable dans son temps.

01/2015

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Littérature française

Simon fils de Jean

Ariel, Nathan, Abigaïl, Déborah et les autres sont les témoins fictifs mais vraisemblables d'événements qui se sont déroulés dans un temps où les médias n'existaient pas. Le papier non plus. On écrivait sur les peaux de bête, et ces parchemins n'étaient pas à la portée de toutes les bourses. On communiquait de bouche à oreille. Quant à Jean et à son fils Simon le héros de cet ouvrage, ils ont existé, bien sûr. Mais, quand dans sa jeunesse, Simon, aux prises avec le poisson du Lac, se dépensait comme ses semblables, pour gagner sa vie et celle de ses proches, il ne se doutait pas du destin fabuleux qui serait le sien.

03/2014

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Religion

Une querelle autour de l'amour jean-pierre camus, eveque de belley

Passant en revue les principales raisons qu'il avait de ne pas écrire sur l'amour divin, saint François de Sales évoquait la longue lignée d'illustres devanciers qui lui semblaient avoir épuisé le sujet. Sainte Thérèse, sainte Catherine de Gênes, sainte Catherine de Sienne, saint Jean de la Croix l'intimidaient quelque peu et à juste titre. Mais quelle n'est pas la surprise de lire, au terme de cette liste impressionnante, le nom de Jean-Pierre Camus, évêque de Belley ? Jean-Pierre Camus, n'est-ce pas le fameux évêque humaniste ? Ses nombreux romans lui méritent déjà de figurer à côté d'Honoré d'Urfé, de Mademoiselle de Scudéry. Et voilà que saint François de Sales lui accorde une place très honorable dans la littérature spirituelle. Etait-ce simplement l'hommage de l'ami à un ami ? Pas uniquement. C'est que Camus n'a pas seulement prêté sa plume à de tendres bergères soupirant après un prince charmant. Evêque et grand chrétien, il a chanté, avant tout, les gloires de la divine charité. Son Parénétique de l'amour divin, paru avant le Traité de l'Amour de Dieu, lui méritait d'être cité avec tant d'auteurs éminents qui avaient exalté la charité. C'est à ce titre encore que son nom figure dans la Querelle du Quiétisme. Soucieux de ménager le plus de garanties d'orthodoxie à son amour pur, Fénelon faisait appel à l'autorité des grands noms de la littérature chrétienne. Parmi ces derniers : Camus. Assurément, il faisait figure assez pâle à côté de saint Thomas, saint Bernard, saint François de Sales. Fénelon, du reste, était trop avisé pour lui demander plus d'appui qu'il n'en pouvait fournir. Pourtant, J.-P. Camus présentait un intérêt tout particulier. C'est qu'en effet, quelque cinquante ans à l'avance, il préludait, en petit, à la querelle de la fin du XVIIe siècle. Comme M. de Cambrai, il fut traité d'esprit chimérique ; on lui reprocha aussi de détruire les vertus chrétiennes sous prétexte de parfaite charité. A son tour, il dut se justifier. Fénelon n'entendait-il pas, à peu de choses près, résumer l'histoire de son propre procès lorsqu'il écrivait à Bossuet : "M. Le Camus, évêque de Belley, ami intime de saint François de Sales, et qui déclare avoir été son disciple pendant quatorze ans, fut accusé depuis l'an 1639 jusqu'en 1642, d'enseigner l'illusion sous le nom du pur amour. On lui disait, Monseigneur, presque tout ce que vous me dites. On assurait qu'il voulait faire oublier le paradis et l'enfer, étouffer l'espérance et la crainte, enfin saper les fondements de la religion" En regard de la grande bataille qui désola le XVIIe siècle finissant, la querelle que nous allons retracer ne fut qu'une escarmouche. Ni les personnages, ni l'ambiance ne lui permettaient les proportions d'un grand débat. Ce fut comme le prélude d'un grand drame qui allait occuper la scène pendant de longues années. A ce titre déjà il mérite intérêt. Mais en plus il soulevait à l'avance un certain nombre d'idées qui dresseront, l'un contre l'autre, Bossuet et Fénelon. Son histoire a le bénéfice de poser, sur quelques points essentiels, le problème de l'amour pur tel qu'il se présenta plus tard.

04/1997

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Musique, danse

Jean-Pierre Leguay

Ce livre introduit à la musique de Jean-Pierre Leguay - instruments seuls, musique de chambre, musique vocale. Il est enrichi d'entretiens, de ses principaux articles écrits pour des colloques et revues, des extraits de lettres. L'ouvrage commente aussi d'amples moments vécus dans l'atelier, observe de près l'artisan au travail, converse avec le compositeur, écoute ce qu'il dit de son oreille, de sa quête, de son horizon, du monde environnant. Des compositeurs, des interprètes, d'anciens étudiants s'expriment avec l'auteur, étudient, scrutent, témoignent ; l'acuité de leur regard accompagne l'approche, ouvre et dilate la perception, capte la vie des oeuvres.

10/2019

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