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L'impossibilité de parler

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Avant de parler d'écologie, dix livres pour en explorer les facettes

Il n’y a résolument pas de Planète B, et plutôt que de mettre des pansements partout, mieux vaudrait, résolument, changer d’optique quant à notre relation avec l’environnement. Écologie, écoresponsabilité, protection de la Terre, autant de messages qui portent leur voix dans de nombreux livres. Voici une sélection de dix ouvrages, depuis la jeunesse jusqu’au théâtre, pour explorer les mondes par les mots.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

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Prêt de livre en bibliothèque : l'avenir de l'ebook au sein de l'Europe

La question du prêt numérique de livres en France cache une autre interrogation : celle de l'exception au droit d'auteur, qui fut mise en place pour le livre papier. A cette époque, certains auteurs s'étaient opposés, considérant que le risque était trop grand. Aujourd'hui, plus personne ne remettrait en cause ce grand principe, d'autant plus qu'il est rémunérateur pour les auteurs.

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Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

Extraits

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Littérature française

L'impossibilité de parler

Jack Constant n'arrive pas à s'exprimer. Du moins, pas comme il le voudrait. Les trop nombreuses pensées qui s'amassent perpétuellement en lui brouillent son esprit. Alors, les mots se mélangent, se remplacent, et les phrases qui en résultent perdent de leur éclat. C'est cet éclat, cette brillance qu'il voudrait retrouver. Seul, il n'y arrive pas. Trop en décalage avec les autres, il ne peut compter sur leur appui. Pourtant, dans ce train qui le ramène à la ville, il a rencontré un vieux monsieur avec qui tout était différent. Il en est convaincu ; cet homme peut guérir son impossibilité de parler... Dans cet élégant roman, Matao Fouasse s'interroge sur le sens du langage et, à travers les questionnements aussi philosophiques qu'inspirants de ses deux protagonistes réunis par le destin, accompagne le lecteur dans son introspection.

06/2021

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Littérature étrangère

Une impossibilité

Un homme opère, ici ou ailleurs, pour le compte d'une vaste et nébuleuse organisation criminelle internationale. Apparemment coupable d'avoir échoué clans la mission qui lui avait été confiée, cet improbable agent secret à la vocation chancelante a choisi d'attendre le châtiment qui ne saurait manquer de le frapper et dont il a tout lieu de croire qu'il sera mortel. Dérivant dans un monde peuplé de personnages à l'identité instable, vaguement ou ouvertement menaçants, cet "exilé" dont la dernière mission consistera à identifier son propre assassin, s'intéresse, semble-t-il, davantage à l'amour qu'au crime. Il ne manifeste pourtant de dispositions particulières ni pour l'une ni pour l'autre de ces activités qu'il pratique à la lisière de l'absurde voire du comique, s'entretenant avec le monde-qui lui répond de même - dans un langage dont la grammaire souterraine, éliminant la causalité au bénéfice de l'hypothèse, la justification au profit du doute, et la logique au profit de la sensation, autorise l'impossible à prendre le pas sur le possible. Crépusculaire et profondément excentrique, cette fiction en forme de faux roman noir, sur laquelle plane l'ombre de Kafka ou de Beckett, fait du réel cet intrus inopportun assiégeant opiniâtrement le vaste royaume des mondes intérieurs hantés d'affects problématiques et de questions sans réponse. Elle convie à pénétrer dans un paysage inversé dont le lecteur, en proie à un puissant sentiment d'imminence, ne peut que reconnaître le caractère d'intime étrangeté qu'il sait être celui de ce double qui, en tout lieu, l'accompagne...

01/2005

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Littérature étrangère

La cinquième impossibilité

Dans la « grande aventure des pages », l’auteur trouve des parentés plus significatives que dans la vie. Il nous entraîne dans les œuvres de Kafka (d’où le titre : La Cinquième Impossibilité, allusion aux quatre impossibilités d'écrire énoncées par Kafka), Sabato, ou bien Paul Celan et Benjamin Fondane, dans un dialogue imaginaire en contrepoint du Dialogue dans la montagne ; il évoque son amitié avec Philip Roth et Saul Bellow, Claudio Magris et Antonio Tabucchi, à travers leurs œuvres; il convoque, inévitablement, les grands Roumains de la diaspora que sont Ionesco et Cioran – qui a expérimenté comme lui l’exil et l’exil lié à l’écriture. Ce recueil compose une trajectoire, de Berlin, premier lieu de l’exil, à New York, "capitale dada", où l’errant a échoué voici plus de 20 ans. Mais la « maison de l’escargot », son refuge, son ancrage, c’est sa langue, le roumain, que l’écrivain emporte avec lui comme l’escargot sa coquille.

03/2013

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Biographies

Marie Bashkirtseff ou l'impossibilité d'aimer

" Enfant, petite princesse parée de rubans et de dentelles, un fouillis dont elle se revêtira jusque dans ses jours d'agonie, Marie parcourait la vaste demeure pour contempler son image dans tous les miroirs où elle s'admirait de face, de côté, de dos, puis revenait en virevoltant pour esquisser quelques pas de danse devant la famille, les amis parfois, qui applaudissaient, exigeant une chanson car, bien que toute jeune, elle avait déjà la voix fort belle et l'intonation juste. " A travers ce fascinant ouvrage judicieusement documenté, et des analyses aussi pertinentes qu'étonnantes, vous découvrirez ou redécouvrirez Marie Bashkirtseff. Cette diariste et artiste ukrainienne, qui avait tant besoin d'amour, demeura prisonnière de l'obsession de soi et de son délirant rêve de gloire, sans doute aux prises avec un conflit oedipien jamais résolu. Dans ce livre, vous comprendrez comment cette artiste, s'éloignant sans cesse de la réalité, n'a su que théâtraliser sa vie tant elle vécut dans l'incapacité d'une relation sincère avec l'autre, qui n'était jamais que l'objet chimérique de ses fantasmes. Image de couverture : BNF

02/2021

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Littérature française

De l'impossibilité de devenir français. Nos nouvelles mythologies nationales

« La France est un grand pays, ma fille ; elle a réhabilité le capitaine Dreyfus ». Ainsi parlait mon père, Juif d’Istanbul amoureux de la France parce qu’elle était pour lui le pays des droits de l’homme, et aussi celui de la liberté et de l’égalité. Ce qui ne l’empêchait pas de continuer en me citant quelques vers de Shakespeare… Ainsi dus-je, dès ma prime enfance, apprendre le français, avec une préceptrice arménienne, ce qui me valut longtemps de parler la langue du pays rêvé avec un accent arménien. Je pris ensuite, comme il se devait, le chemin d’une école congréganiste pour m’initier aux finesses de la culture qui avait produit Molière et Zola (et aux bonnes manières). Longtemps, la France a incarné des valeurs qui faisaient rêver des populations entières hors, et parfois très loin, de ses frontières. La Révolution, la République et ses principes, les lettres, la culture françaises avaient investi les imaginaires au point que pour beaucoup la France était devenue le symbole même de l’Occident « civilisé ». Ce pays qui avait émancipé ses Juifs avant toutes les autres nations européennes était l’espérance en marche. Ainsi les Juifs français n’eurent-ils pas de mal à conjuguer harmonieusement les valeurs de la République avec celles des Prophètes bibliques, créant ce « franco-judaïsme » qui permit à des générations entières de s’intégrer à ce qu’ils tenaient réellement pour leur patrie. Plus tard, à leur tour, les immigrés juifs d’Europe orientale diront cela en une formule pleine de saveur : « heureux comme Dieu en France ». Que s’est-il donc passé pour que la France ait cessé d’être ce pays rêvé et peine à intégrer ses immigrés ? Le patriotisme français lui-même s’est délité avec la fin du rêve, un délitement touchant autant les Français « d’origine » que les autres. Les guerres coloniales, une décolonisation non digérée, les ruptures, telle Vichy, du contrat passé par la République avec ses minorités, la non-adaptation aux nouvelles conjonctures économiques, le rabougrissement des élites, le vieillissement du pays ont progressivement terni son image. En fait, ceux qui l’habitent, nationaux ou « étrangers », ont cessé de croire en lui et dans son énergie créatrice. Comme le reste de l’Europe, et plus peut-être que d’autres pays européens, la France semble frappée d’une sénescence aggravée. Elle n’insuffle plus d’énergie. Les récents débats sur l’identité nationale ont montré que les vieilles recettes barrésiennes et maurrassiennes elles-mêmes ne parviennent pas à donner un peu de substance au type de Français imaginé par la xénophobie ambiante. Une xénophobie qui, à défaut de vrai projet de société, s’érige en pure rhétorique politique. Cette xénophobie a connu ses beaux jours d’abord à la fin du XIXe siècle, puis dans l’entre-deux-guerres, principalement sous sa forme antisémite. Aujourd’hui, c’est l’islam qu’elle prend pour cible. Alors que chacun sait qu’elle a mené à l’une des plus immenses catastrophes du XXe siècle, elle resurgit cette fois pour viser une population arrivée massivement pendant les Trente Glorieuses, et s’attaque sans vergogne à ses descendants, nés sur le sol français, et français de nationalité. Au lieu de nourrir le terreau d’où devrait naître le Français de demain, la xénophobie l’assèche, l’appauvrit, l’asphyxie. Elle pousse les Français « de fraîche date » à se replier dans leur « communauté », en un mouvement exactement parallèle à celui du nationalisme qui enferme lui aussi dans un entre-soi fatal les Français « de bonne souche », créant ainsi plusieurs catégories de citoyens, et les hiérarchisant, « aristocratie » légitime d’un côté, vassaux suspects de l’autre. Dans cet environnement d’Ancien Régime restauré, et de surcroît agressif, les valeurs de la République s’étiolent évidemment. Et beaucoup de ceux qui s’en réclament encore les convertissent en idéaux d’un fanatisme cherchant à mieux humilier ceux qu’on considère comme des Français de second rang. Républicanisme et laïcisme en sont les dérives les plus patentes. Et pourtant, être français aujourd’hui pourrait être bien autre chose : redevenir un citoyen du monde, aimant la planète et tous ceux qui la peuplent, œuvrant pour la « résurrection » d’une France internationale, cultivant plusieurs identités, traversant les frontières, tout en restant un vrai patriote, fier de sa culture, de son pays et de son ouverture. On n’est pas français parce qu’on est né dans ce pays. Et même lorsqu’on y est né, on le devient, en le réinventant sans cesse, en le recréant non dans l’isolement et le rejet, mais dans un flux incessant, dans le paradoxe et les contradictions, dans la reconnaissance et la promotion d’une pluralité ethnique, culturelle, religieuse, sexuelle, de genre, qui est sans doute la clé d’un vrai progrès et d’un rayonnement authentique. Être français, c’est vouloir une France combattive, renonçant à son pessimisme, ouvrant largement ses fenêtres, avec l’avenir en vue, non cette France repliée sur elle-même qui, à force de remâcher ses vieilles rengaines, dégage une inquiétante odeur de renfermé.

01/2012

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Notions

L'Art de bien parler

Comme Alexis de Tocqueville, vous enragez devant les beaux parleurs qui raisonnent mal. Vous aspirez à concilier l'art de bien parler et celui de bien penser. En somme, vous êtes de la cohorte des hésitants, des nuancés, des timides, des muets et autres handicapés de la parole. Alors, ce livre est fait pour vous ! A l'heure où le débat public, le coeur même de la démocratie, est accaparé par d'habiles orateurs, par des professionnels de la discussion et par des démagogues de tout bord, parler n'a jamais semblé aussi essentiel. Conçu afin de donner à chacun les armes nécessaires pour prendre part au débat collectif (et aussi pour vous préparer au mieux au grand oral du bac), ce livre fait la part belle à la pédagogie, avec des conseils, des stratagèmes et des exercices pratiques. Alors, prêt à (re)prendre la parole ? Entretiens et joutes verbales avec Barbara Cassin, Bertrand Périer, Charles Pépin, Philippe-Joseph Salazar et Clément Viktorovitch.

10/2023

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