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Croire. Sur les pouvoirs de la littérature

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Les Brontë, la famille prodige de la littérature britannique

Trois sœurs et un frère : à eux quatre, les enfants Brontë auront révolutionné la littérature britannique, chacun à leur manière. Nés entre 1816 et 1820, ils font partie d'une famille de six enfants, tous élevés dans un climat paisible, tourné vers la culture et l'éducation, sous la responsabilité de Patrick Brontë et Maria Branwell.

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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À la découverte de la littérature tchèque

Si l’on résume hâtivement – et maladroitement – la littérature tchèque à Milan Kundera, c’est bien souvent par une méprise culturelle. Michal Fleischmann, ambassadeur de la République tchèque en France, abordait cette question différemment : « La littérature tchèque est une pensée. Une pensée, une voie de la littérature européenne venue de la profondeur d’un peuple au centre de l’Europe. » Voici un large dossier, destiné à parcourir, avec un spectre élargi, les oeuvres et les êtres.

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Dossier

Nos amies les bêtes : les animaux dans la littérature

Depuis l’intérêt des Mésopotamiens dans des récits mythologiques aux premières fables d’Ésope, nos amies les bêtes occupent une place particulière. Tout à la fois créatures choyées et craintes, compagnons ou ennemis, elles bénéficient d’une affection particulière chez les écrivains. Et loin de ce que l'on imaginerait, pas uniquement en littérature jeunesse.

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

Extraits

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Critique

Croire. Sur les pouvoirs de la littérature

Justine Augier ("De l'ardeur", "Par une espèce de miracle"...) qui pratique et incarne une forme de pudeur et d'éthique littéraire assez uniques voit son projet d'écrire sur la littérature comme lieu de l'engagement entrer en collision avec la maladie et bientôt la mort de sa mère. Alors que la nature même de l'urgence mute, l'intime et l'universel se tressent dans un texte bouleversant de justesse et de clairvoyance. Et qui rappelle le potentiel devenir résistant de chaque lecteur. A l'intersection du littéraire et du politique un livre bref qui trouve sa place entre Hannah Arendt et Joan Didion. Pas moins.

01/2023

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Critique littéraire

Les pouvoirs de la littérature de jeunesse

Ce volume explore la double question des pouvoirs de la littérature de jeunesse et de ses modalités formelles. Pourquoi parler ici de pouvoirs au pluriel de cette littérature ? Car l'on a très souvent tendance à la réduire à sa vocation pédagogique en vertu de laquelle elle continue de faire l'objet de diverses manipulations. Certes, toute littérature, qu'elle soit adressée aux adultes ou au jeune public, remplit la fonction de plaire et d'instruire. Toutefois, en ce qui concerne la littérature de jeunesse, l'aspect didactique est mal compris ; ce qui donne lieu à une vision excessivement simplificatrice de cette production. Cet ouvrage s'attache à montrer que la fonction instinctive de l'oeuvre pour la jeunesse, à l'instar de la littérature générale, se manifeste sous des formes complexes et variées : méditations sur l'existence humaine, engagement, projet axiologique, constructions mémorielles, ambition thérapeutique, renouvellement des procédés esthétiques.

01/2019

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Critique littéraire

Les pouvoirs de la littérature. Histoire d'un paradoxe

Pouvoir politique et littérature ont partie liée. Tout aurait commencé, dit-on, au XVIIe siècle, avec les belles carrières dans l'ombre de la cour, le mécénat, le clientélisme, le service profitable. Mais ce qui se joue alors est d'une autre ampleur. Les hommes de lettres qui font profession d'écrire - les écrivains - bénéficient assurément d'une reconnaissance nouvelle, tandis que la production et la publication d'écrits les plus divers (dont la hiérarchie est d'ailleurs en plein bouleversement) donnent naissance à un domaine, à la fois symbolique et pédagogique, où s'édifiera plus tard le monument imaginaire appelé littérature. Quelque chose de fondamental dans l'ordre de la domination politique s'accomplit aussi par cette association. La littérature devient une arme dont le pouvoir use pour imposer son ordre socio-politique dans les divers espaces de la production culturelle et pour assurer ainsi la " manutention des esprits ". Le paradoxe est que la littérature puisera son autonomie et ses propres pouvoirs dans cette soumission, acceptée parfois dans l'enthousiasme d'une adhésion. Divertissement ou voie nouvelle pour penser le monde, la littérature pénètre profond dans le corps politique du royaume. En retour, les écrivains, qui n'avaient pas de statut identifiable dans la société de leur temps, profitent eux-mêmes, avec la création de l'Académie, du privilège de former un " corps " dans l'Etat. Cette politisation de la littérature conduira pour finir à la littérarisation du pouvoir, lorsqu'au XVIIIe siècle la littérature deviendra un refuge critique et un tribunal moral. Un tel cheminement n'avait rien d'inéluctable. Christian Jouhaud le restitue, loin de tout déterminisme historique ou sociologique, en préservant ce que fut la part d'énigme pour des acteurs qui ignoraient l'avenir. En cela, cet ouvrage est aussi une leçon d'histoire.

02/2000

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Critique littéraire

Notes sur la littérature

Traduites pour la première fois en français en 1984, les Notes sur la littérature regroupent une série d'essais consacrés à des écrivains (Balzac, Proust, Valéry, Beckett...) et à des thèmes littéraires (le statut du narrateur, la poésie lyrique...). Le genre de l'essai, auquel est d'ailleurs consacrée la première de ces " notes ", est l'une des formes de prédilection du philosophe : à rebours de la " perception claire et distincte " léguée par Descartes, il incarne un mode de connaissance spécifique - qui ne se soucie de résoudre ni l'équivoque ni la contradiction -, et adéquate aux théories esthétiques d'Adorno.
Celles-ci reposent sur l'idée que chaque oeuvre d'art renferme un " contenu de vérité " propre, que le critique a pour tâche de déchiffrer. Il accède ainsi à une forme de connaissance unique des conditions de production de l'oeuvre, de l'époque et de la société qui l'ont vue naître : pour Adorno, le domaine littéraire n'est pas prétexte à une application de théories philosophiques ou sociologiques, il est lui-même philosophie et instrument de connaissance.

02/2009

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Critique littéraire

Ecrits sur la littérature

" Je considère le poète comme le meilleur de tous les critiques ", dit Baudelaire dans l'étude qu'il consacre à Wagner, et lui-même, près de vingt ans durant, a écrit de nombreux articles ou préfaces. Ces textes ne dégagent sans doute pas l'unité d'une doctrine, et leur auteur ne s'interdit pas la contradiction mais, dès sa jeunesse, se sont formées quelques idées-forces auxquelles il sera fidèle. Car il s'engage tout entier : comme tout grand écrivain, c'est un peu lui-même qu'il lit chez les autres, et l'on ne s'étonne pas d'une partialité où s'affirment tour à tour l'admiration qu'il porte à Poe, les réserves que Hugo lui inspire, ou la sympathie attentive dont témoigne sa lecture de Madame Bovary. Après sa mort, la plupart de ses écrits sur la littérature ont été rassemblés dans L'Art romantique, mais ils s'y trouvent mêlés à des textes sur l'art. Le présent volume, au contraire, les regroupe selon leur ordre d'écriture. Ce qui se dessine ainsi, c'est un parcours chronologique où se révèlent une pensée en mouvement et une morale autant qu'une esthétique - un parcours où, de manière magistrale, s'inaugure la critique des créateurs, celle qui se poursuivra de Mallarmé à Valéry, et de Breton à Yves Bonnefoy.

12/2005

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Autres philosophes

Propos sur la litterature

" Alain met au point à partir de 1906 le genre littéraire qui le caractérise, les "Propos". Ce sont de courts articles, inspirés par l'actualité et les événements de la vie de tous les jours, au style concis et aux formules frappantes, qui couvrent presque tous les domaines. Cette forme appréciée du grand public a cependant pu détourner certains critiques d'une étude approfondie de son oeuvre philosophique. Beaucoup de "Propos" sont parus dans la revue Libres Propos (1921-1924 et 1927-1935) fondée par un disciple d'Alain, Michel Alexandre. Certains ont été publiés, dans les années trente, dans la revue hebdomadaire L'Ecole libératrice éditée par le Syndicat national des instituteurs. Il s'inspira de Platon, Descartes, Kant et Auguste Comte - mais il se réclama avant tout de Jules Lagneau, qui fut son premier professeur de philosophie, au lycée de Vanves (actuel lycée Michelet). Il n'oublia jamais, toute sa vie durant, celui qu'il appela "le seul Grand Homme que j'aie jamais connu" , et dont la rencontre fut pour Alain aussi décisive que celle de Platon avec Socrate : "Parmi les attributs de Dieu, il avait la majesté. [... ] Ses yeux perçants traversaient nos coeurs et nous nous sentions indignes. L'admiration allait d'abord à ce caractère, évidemment inflexible, inattentif aux flatteries, aux précautions, aux intrigues, comme si la justice lui était due". Le but de sa philosophie est d'apprendre à réfléchir et à penser rationnellement en évitant les préjugés. Humaniste cartésien, il est un "éveilleur d'esprit" , passionné de liberté, qui ne propose pas un système ou une école philosophique mais apprend à se méfier des idées toutes faites. Pour lui, la capacité de jugement que donne la perception doit être en prise directe avec la réalité du monde et non bâtie à partir d'un système théorique. Alain perd la foi au collège sans en ressentir de crise spirituelle. Bien qu'il ne croie pas en Dieu et soit anticlérical, il respecte l'esprit de la religion. Il est même attiré par les phénomènes religieux qu'il analyse de façon très lucide. Dans Propos sur la religion et Propos sur le bonheur il fait transparaître, un peu comme chez Auguste Comte, une certaine fascination pour l'Evangile et pour le catholicisme, dont il aime la dimension universelle".

01/2023

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