Ah, les bien connus et dénoncés terribles dangers de la lecture : si une Emma Bovary, pervertie par les romans, finit par se suicider de désespoir bien romantique, comment ne pas soupçonner les livres de plus grands maux ? En outre, l’affaire ne date pas d’hier. En 1911, le New York Times posait la question avec franchise : quel lien entre les divorces observés et les histoires d’amour ?