Il aura suffi d’une belle maladresse, pour que soudainement, le dernier tome de L’Attaque des Titans se trouve lancé plus fort que jamais. Que l’on ait déjà évoqué la violence contenue dans les pages, ou les questions politiques soulevées, la série ne manque jamais de susciter l’intérêt. Et la Kodansha, son éditeur japonais, ne pouvait pas espérer mieux que cette censure pratiquée en Malaisie, pour que le livre devienne viral.