« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.
Le Parrain, Les Dents de la mer, Raisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécanique, Vol au-dessus d'un nid de coucou, Le Guépard, Lettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...
Les Magyars sont-ils les descendants d’Attila ? Napoléon est-il le descendant d’Apollon ? Le récit des peuples et des civilisations se construit sur des mythes fédérateurs et galvanisants. L’Histoire c’est autre chose : c’est le « Je me souviens » du groupe. Comme tous retours vers le passé, c’est autant une nécessité qu’un danger. Comment raconter l’Histoire de Venise ou de l’armée italienne ? À travers ses hauts faits ou la réalité quotidienne ? Tous ces historiens nous éclairent grâce à un patient et rigoureux travail dans les sources.
Goncourt, Renaudot, Femina, Interallié, Médicis : les prix littéraires rythment la fin de l'année, qu'on le veuille ou non. Instituées depuis un siècle ou jeunes de quelques années seulement, les récompenses sont légion dans le domaine de la littérature : pour certains, ils sont synonymes de petit landerneau germanopratin, pour d'autres, le signe d'une diversité des voix et des écritures qu'il s'agit de valoriser et de récompenser.
L'épidémie du coronavirus ne sera pas venue à bout d'une tradition bien française, celle des prix littéraires de la rentrée : les centaines de romans publiés en quelques semaines, entre août et octobre, se retrouveront dans les sélections des jurys des différentes récompenses.
Rendez-vous incontournable de la vie culturelle française, la rentrée littéraire vient avec son lot de parutions, mais aussi de prix et de récompenses. Salutations du jury ou importantes sommes d'argent à la clé, les prix les plus convoités ne sont pas forcément ceux que l'on croit...
Lorsqu'on évoque le monde de la bande dessinée, certains noms se démarquent instantanément. Christophe Arleston est l'un de ces talents incontournables. Avec une plume affûtée et une imagination débordante, il nous a offert de nombreuses sagas captivantes. Parmi elles, "Sangre" se distingue par son originalité et sa profondeur.
C’est avec Je suis Charliberté d’Arthur Ténor, un récit qui montre aux ados l’importance de la liberté d’expression, qui inaugure la collection Engagé, que Scrineo se lance dans les romans contemporains en 2016. Toujours avec une question de point du vue, l’idée est de parler aux jeunes lecteurs de sujets qui les touchent et auxquels ils peuvent être confrontés au quotidien.
Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.
Hachette Livre présente L'Intention, une nouvelle série de podcasts dans laquelle les écrivains révèlent les sources d'inspiration et les démarches créatives à l'origine de leur dernier ouvrage.
Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.
Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »