Venez donc, ouvrez les portes de l’hôpital El-Razi. Ici, entre ces murs, vous ne trouverez pas de fous, comme nous prévient le narrateur. « Par contre, on y trouve beaucoup de miséreux. Des gens qui ont faim, qui sont nus, des toxicomanes, d’autres qui fuient l’enfer du monde du travail, de la famille, du mariage… ou de la folie elle-même. » Voilà : au moins, comme ça, le décor est planté.