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Transfuge

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Littérature étrangère

Le transfuge

Le dernier été avant la fin de la Seconde Guerre mondiale, le soldat Walter Proska est affecté dans une petite unité chargée d'assurer la sécurité d'une ligne de chemin de fer au plus profond de la forêt, à la frontière de l'Ukraine et de la Biélorussie. Dans cette région marécageuse, une poignée d'hommes étourdis par la chaleur, assaillis par les moustiques et abandonnés par leurs propres troupes face aux résistants doivent également subir les ordres de plus en plus absurdes et inhumains de leur caporal-chef, en proie à la folie. Le temps passe, les soldats s'isolent. Guettés par la démence, hantés par des désirs de mort. Et Proska cherche la réponse aux questions qui l'obsèdent : entre le devoir et la conscience, quel est le plus important ? peut-on agir sans devenir coupable ? et où est Wanda, cette jeune résistante polonaise qu'il ne parvient pas à oublier ? Ecrit en 1951, Le Transfuge est le deuxième roman de Siegfried Lenz. Refusé par son éditeur — qui jugeait malvenue, dans le contexte de la guerre froide,. cette histoire de soldat allemand qui décide de rejoindre l'Armée rouge —, le manuscrit a été oublié pendant près de soixante-dix ans avant d'être redécouvert à la mort de l'auteur. Un triomphe posthume.

10/2018

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Suspense romantique

Le transfuge

Kolya Zakharov, interprète à Moscou, fuit son pays quelques semaines avant l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe. Un visa provisoire en poche, il atterrit à New York, bien décidé à s'y construire une nouvelle vie. Surveillé par le FBI qui le soupçonne d'être un espion à la solde du Kremlin, Kolya se réfugie chez Evan Ashford, un célèbre peintre new-yorkais en quête d'un modèle pour son prochain projet. Ashford ignore qui est Zakharov et quel est son véritable objectif, il ne voit en lui que le modèle parfait pour la toile qui sera la pièce maîtresse de son exposition. Dans l'intimité de l'atelier, les deux hommes vont se dévoiler peu à peu et se découvrir un élan commun pour la liberté. Et l'amour. Mais parviendront-ils à s'aimer avant qu'il soit trop tard ?

06/2023

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Littérature française

Un transfuge

Un transfuge / Paul Vignet Date de l'édition originale : 1888 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Poches Littérature internation

Le transfuge

Cross Damon, Noir de Chicago, est employé des P.T.T. Marié, père de trois enfants, il a séduit une fille de seize ans. Un hasard lui permet d'échapper aux conséquences de son acte : pris dans un accident de métro, il passe pour mort. Mais peut-on changer de personnalité ? Reconnu par un camarade, Cross le tue. Il s'enfuit à New York, réussit à se procurer des papiers et devient Lionel. Mis en rapport avec des communistes, Lionel est sollicité par eux de s'inscrire au parti. Mais une fatalité du crime semble peser sur Lionel, qui commet encore trois assassinats. Cependant, il a fait la connaissance du District-Attorney Houston, homme subtil, et il se trouve engagé avec lui dans un jeu étrange qui n'est pas sans rappeler celui que jouent Porphyre et Raskolnikov...

10/2001

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Critique littéraire

Transfuge N° 119

Laszlo Krasznahorkai n'interrompt jamais celui qui lui parle. Il sourit, écoute, hoche la tête, répond. Il ne hausse pas la voix. Il parle d'une constante tonalité sourde et lente, portée par la tendresse de ses yeux. Il parle au même rythme qu'il écrit, en marathonien ou danseur, sans perdre son souffle. Lorsqu'il entame une phrase, on ne sait où celle-ci nous mènera, elle semble partir de rien, un détail, une anecdote, une blague, et s'amplifie petit à petit, charriant une pensée limpide, dépourvue de grandiose mais pas de magnétisme. Le génie de sa phrase a valu depuis trente ans à l'écrivain hongrois, depuis Le Tango de Satan paru en Hongrie en 1985 et surtout La Mélancolie de la résistance, au début des années quatre-vingt-dix, d'être saluée par les meilleurs lecteurs d'Europe et des Etats-Unis. Susan Sontag évoquait un "maître de l'apocalypse" , Sebald disait de sa prose qu'elle pouvait "entrer en rivalité avec Les âmes mortes" . Et l'on saisit ce que l'auteur d'Austerlitz trouvait en Krasznahorkai : une réponse à son propre sens du désastre, une variation sur la même esthétique de la déshérence qui était la sienne. Le Hongrois comme l'Allemand s'inscrivent contre le romantisme, le mysticisme, et toute forme de littérature qui se gorgerait d'un lyrisme qui les effraie. Tous deux sont les fils spirituels d'un Adorno qui croit au langage, tout en s'effrayant de ses débordements. Tous deux sont des écrivains du XXe siècle, et de ses échos, l'un de la Shoah, l'autre de l'URSS. Tous deux enfin sont des hommes dans l'histoire, et dans l'Europe, des hommes, qui cherchent à dire une forme "d'universalité" , de cerner un ordre dans le désordre. Aussi marquée par la catastrophe soit-il. Mais là où Sebald pour faire entendre cette apocalypse historique, choisissait le fragment et plaçait le silence au coeur du texte, Krasznahorkai use du procédé inverse : une plénitude sature ses livres, une recherche ininterrompue de sens, qui, si elle admet le mystère et ne cesse même de nous renvoyer à notre ignorance, ne s'y résout pas et appelle à la connaissance. Krasznahorkai appartient à la lignée des Hermann Broch, des Thomas Mann, d'une langue qui scande une pensée de la fin du monde, mais aussi qui porte le désir d'une humanité pensante. Cette gravité réflexive de l'écrivain, on la retrouvait dans les films de son ami Bela Tarr, qu'il écrivait avec lui. "Je suis du côté des hommes" me dit-il assez vite, "c'est à dire de ceux qui ne comprennent pas" .

04/2018

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Histoire de la musique

Transfuge N° 170, septembre 2023

- A la UNE de ce nouveau numéro, la rentrée littéraire ! Un dossier de plus de 30 pages couvre cette nouvelle rentrée, deux auteurs sont mis en avant et bénéficient d'entretiens fleuves : Arthur Dreyfus pour La Troisième main et Gaspard Koenig pour Humus. Un important cahier critique autour des sorties françaises accompagne ces deux interviews. - En cinéma, un long entretien est consacré à la réalisatrice Catherine Breillat pour la sortie de l'Eté dernier le 13 septembre. - Côté scène, trois événements de rentrée : la Biennale de la danse de Lyon, le Festival d'Automne de Paris et la nouvelle pièce de Laurent Mauvignier au Théâtre de la Colline. - En art enfin, trois expositions sont particulièrement mises en avant : Elmgreen&Dragset au Centre Pompidou Metz Ron Mueck à la Fondation Cartier (Raspail, 14e) Naples au Musée du Louvre

08/2023

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