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Titien. Le prince de Venise

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Dossier

Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

Extraits

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Beaux arts

Titien. Le prince de Venise

Grâce à cette exposition consacrée à Titien, découvrez près de 65 oeuvres de cet artiste italien du xvi e siècle, chef de file de l'école vénitienne, formé très jeune dans l'atelier de Giogione et des frères Bellini. Il maîtrise aussi bien les oeuvres mythologiques que les commandes religieuses et surtout les portraits, toutes ses toiles étant marquées par le contraste des coloris, le travail sur la couleur prenant le pas sur le dessin.

09/2020

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Romans historiques

Couleurs Venise. La vie de Titien

Raconter la vie de Tiziano Vecelli (1488-1576), fils d'une riche famille de Vénétie, c'est faire revivre l'histoire d'un artiste aux dons exceptionnels. Par sa vitalité, l'insolence de son génie mais aussi les excès de son tempérament impérieux, Titien s'est imposé comme l'une des figures majeures de la Renaissance, à l'égal de Michel-Ange, de Raphaël ou de Léonard de Vinci. A cet artiste unanimement reconnu, les plus grands personnages de l'époque - de l'Empereur Charles-Quint et du roi de France Henri III, qui lui rendirent visite, au roi d'Espagne Philippe II, dont il était l'artiste préféré - vouaient une admiration sans limite. Evoquer Titien, c'est aussi immanquablement évoquer Venise, sa ville, dont il magnifie la beauté et exalte la grandeur au moyen d'une palette de couleurs à la richesse incomparable. Venise mais également, à l'heure de la naissance de l'imprimerie, ce XVIe siècle italien où règne une effervescence unique dans tous les domaines artistiques et dont Titien, tel un magicien, parvient à révéler l'âme à travers la ferveur de ses tableaux religieux, l'expressivité de ses portraits ou la volupté de ses nus. A la suite de Vincenzo Bastiani, personnage fictif dont Michel Peyramaure fait à la fois le conseiller et le confident de Titien, Couleurs Venise nous invite à naviguer dans les rues de la Sérénissime au temps du Carnaval et à entrer dans le Cénacle de Biri Grande, l'atelier du Maître, pépinière de talents que fréquentèrent notamment son rival, Le Tintoret, et Véronèse et qui influença, entre autres, Velasquez et Rubens. Récit flamboyant et portrait d'un génie et de son temps, Couleurs Venise rend le plus beau des hommages à celui qui était à la fois le prince des peintres et le peintre des princes.

05/2016

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Histoire internationale

Volpi, Prince de la Venise moderne

Aventurier et marchand, homme d'affaires, financier, industriel, diplomate et ministre, homme politique et protecteur des arts, libéral et fasciste, Giuseppe Volpi est le Vénitien absolu. De la fin du XIXe siècle à la chute du fascisme, celui qu'on a surnommé "le dernier Doge" a fait revivre Venise en même temps qu'il bâtissait l'une des plus grandes fortunes d'Italie. Cela semble aujourd'hui incroyable, mais sous le fascisme, la Venise de Volpi a connu son époque la plus flamboyante depuis la chute de la Sérénissime. On y danse, on s'y amuse, on y boit, on s'y livre à des plaisirs interdits. La ville devient un port franc culturel sous le régime mussolinien, une ville où se précipite toute la "bella gente" internationale, la jet-set du monde entier. Volpi veut rendre sa grandeur à Venise. Il invente la Mostra du cinéma et crée de nombreux autres festivals en même temps qu'il lance la grande aventure du port industriel de Marghera. Le mariage de la tradition, des arts et de la modernité. Trop flamboyant, trop fasciste – ou pas assez pour d'autres – on l'oubliera après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il était devenu gênant pour ceux qui l'avaient courtisé, pour des Vénitiens qui avaient beaucoup à se faire pardonner. Ce livre raconte son aventure extraordinaire et fait revivre les derniers fastes de la plus belle ville du monde.

05/2017

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Beaux arts

Titien

Titien (1488-1490 - 1576) est le contemporain de Vasari, Michel-Ange, Tintoret et Véronèse. Il reste le souverain indiscuté de la scène vénitienne durant trois quarts de siècle. Formé dans l'atelier des Bellini et bientôt associé à Giorgione, il est dès son adolescence l'un des artistes le plus en vue à Venise. À la mort de Giovanni Bellini, en 1516, il est nommé peintre officiel de la République de Venise. Le cercle de ses commanditaires s'étend rapidement, grâce notamment au soutien de l'Arétin : son ami écrivain et essayiste ne cesse, dans ses Lettres, de décrire et de louer ses tableaux, et, ce faisant, lui permet de tisser un puissant réseau de relations. Malgré les guerres de religion et les voyages, les succès s'enchaînent : Mantoue et Ferrare auprès de Frédéric II Gonzague, Rome auprès du pape Paul III, Augsbourg auprès de Charles Quint. Enfin, il peint pour Philippe II, roi d'Espagne, et se fixe définitivement à Venise où il meurt en 1576. Titien est l'auteur d'une oeuvre immense. On lui connaît directement deux cent soixante-dix oeuvres : portraits, scènes religieuses, mythologiques, allégoriques ou érotiques. La vision sereine de ses débuts s'estompe dans sa période maniériste, au profit d'une maîtrise toujours plus libérée. Puis les guerres de religion donnent à ses travaux un ton plus dramatique, mais avec un chromatisme plus expressif. Titien est avant tout un peintre de la liberté. Une liberté thématique. Il privilégie le rendu expressif de l'aspect physique et moral de ses sujets et donne naissance au nouveau genre qu'est le portrait officiel. Parallèlement, il détourne les thèmes religieux pour exalter les plaisirs terrestres et les fastes de la mondanité. Sa peinture transpire le bonheur païen et innocent. Une liberté technique. Le recours aux tout nouveaux liants et pigments, comme à la toile, suscite à Venise recherches et inventions. Alors que l'école florentine continue d'accorder la primauté à la ligne et au dessin préparatoire, Venise privilégie la spontanéité de la touche et la richesse des coloris. S'attachant moins aux détails, Titien va jusqu'à mélanger et projeter les couleurs du bout des doigts, dans une gamme chromatique plus restreinte où se juxtaposent des taches qu'on dirait informes. Une liberté de diffusion. La toile ne présente pas les contraintes des panneaux ou des fresques. Elle se transporte aisément, même de grands formats, se montre et suscite l'envie des amateurs. C'est dans ce climat d'ouverture que l'artiste déploie son talent et connaît fortune et reconnaissance.

10/2012

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Beaux arts

Titien

Tiziano Vecellio, qui ne devait pas avoir loin de cent ans lorsqu'il mourut, le 27 août 1576, fut l'un des fleurons sinon le maître de la peinture vénitienne Dolce disait qu'il avait "la formidable grandeur de Michel-Ange, la grâce et le charme de Raphaël et les couleurs de la Nature". Artiste inspiré et néanmoins homme d'affaires, Titien sut, tout au long de sa vie, allier les deux rôles pour vivre librement et de façon exigeante de son art. Peintre de la Sérénissime et de Charles Quint, ami de l'Arétin et de Sansovino, son art souleva l'admiration de ses contemporains les plus illustres. Michel-Ange lui-même, pourtant représentant de l'art du disegno et chef de file de l'école de Rome opposée à celle de Venise, reconnaissait en lui un rival à sa mesure. Ses œuvres, aujourd'hui enfin rassemblées dans leur totalité au sein d'un même ouvrage, méritent que l'on s'y penche sans cesse, sources inépuisables d'enchantement.

10/2000

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Beaux arts

Titien

Est-il possible de concilier l'intensité passionnée de la création artistique avec un solide sens pratique dans la gestion de ses biens ? Titien, digne rejeton d'une longue lignée de notaires et de négociants, y est parvenu. Sa vie se passe tout entière entre l'émotion brûlante de la couleur sur la toile et la revendication d'une juste rémunération pour ses services " professionnels ". Tout le long d'un chemin jalonné de tableaux plus célèbres les uns que les autres, de puissantes attaches familiales, d'amitiés peu nombreuses, mais profondes, de succès mondains, de rapports directs directs ou épistolaires avec les grands de ce monde, princes ou penseurs, Titien fait de l'artiste d'Etat, naguère encore " artisan spécialisé ", un véritable " professionnel " grassement payé, et il devient en l'espace de quelques années parvenir à un tel résultat, la condition sine qua non est réforme radicale de la production : doué d'une mentalité d'authentique chef d'entreprise, d'une surprenante modernité, Titien fonde sur les bases d'un management avant la lettre l'organisation de son atelier, veillant à la juste réparation du travail et des responsabilités. En outre, il devine l'importance que peut avoir un puissant support publicitaire : c'est ainsi qu'il se lie avec L'Arétin qui met sur pied un exceptionnel réseau de relations publiques et de contacts au niveau le plus prestigieux. Le jeune garçon descendu des montagnes du Cadore se transforme peu à peu en patriarche de la peinture vénitienne. De son vivant, il devient un véritable mythe que sa disparition dans la terrible épidémie de peste de 1576 auréole de légende. Chaque étape de sa longue existence ouvre un nouveau chapitre de l'art, de la culture, de l'histoire. Grâce au retentissement international de sa production, modèle idéal pour des générations de peintres et profond interprète d'un demi siècle-clef de l'histoire occidentale, le XVIe siècle. Flavio Caroli, né en 1945, enseigne l'histoire de l'art au Politecnico de Milan. Il collabore a Il Sole 24 ore et à diverses revues d'histoire de l'art italien et international. Spécialiste de l'art moderne et contemporain (il a organisé plusieurs expositions), il a à son actif de nombreuses publications. Stefano Zuffi est né à Milan en 1961. Diplômé et spécialiste d'histoire de l'art à l'université de cette ville, il collabore activement à des périodiques et travaille pour diverses institutions culturelles.

04/1991

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