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Terrorisme réactionnaire, Européisme impérialiste, Internationalisme communiste

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Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

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Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

Romans, nouveautés : tous les livres d'Alain Damasio

Alain Damasio, de son vrai nom Alain Raymond, est né le 1er août 1969 à Lyon. Il adopte son pseudonyme en hommage à sa grand-mère, Andrée Damasio. Après un baccalauréat scientifique, il poursuit des études à l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), mais se détourne rapidement du monde des affaires pour embrasser la carrière d'écrivain, se spécialisant dans la science-fiction et la fantasy​​​​.

Extraits

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Sciences politiques

Terrorisme réactionnaire, Européisme impérialiste, Internationalisme communiste

La crise au Moyen-Orient a mis en action les trafiquants de peur. C'est la peur fabriquée par le terrorisme réactionnaire, cet instrument des bourgeoisies moyen-orientales devenu incontrôlable, qui n'a aucun scrupule à massacrer des travailleurs désarmés et à exciter le fanatisme et la haine raciale. Ainsi que les peurs agitées en retour en Europe et en Occident, aussi bien par le populisme xénophobe, pour des calculs électoraux de boutiquiers, que par l'européisme impérialiste, ravi de l'occasion d'expérimenter ses idéologies de masse : aussi bien celles de l'Europe Forteresse que les mythes revisités du choc des civilisations. Le sens commun, distillé par les journaux et les télévisions, change subitement. L'heure est aux tribuns et aux démagogues, aux intellectuels qui retournent facilement leur veste, au malin journaliste à la recherche d'opportunités éditoriales, et même au prêtre. Prenez des notes, c'est un exercice : c'est comme cela que monteront les mobilisations impérialistes de demain, quand il s'agira de mobiliser l'Europe pour sa défense, dans le choc entre les géants de l'impérialisme. Et pourtant, tout cela n'est pas inévitable. Il y a une alternative à la guerre, à la terreur, aux fanatismes, aux idéologies avec lesquelles on voudrait assujettir les consciences. Le prolétariat a la force colossale du nombre. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient, du Maroc au Golfe, les salariés sont passés de 25 millions à presque 70 millions en trente-cinq ans : ils auraient la force de se libérer du poids de bourgeoisies corrompues et en échec. Et quelle puissance ils seraient, s'ils s'unissaient aux 200 millions de salariés d'Europe, aux 220 millions d'Inde, aux 350 millions de Chine, au prolétariat du monde entier ! Le prolétariat, puissance mondiale, contre les puissances du capital et de l'impérialisme : c'est la seule réponse à un monde de peur.

03/2015

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Actualité politique France

Communiste, révolutionnaire, internationaliste !

Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière, est candidate aux présidentielles. Cette enseignante dA´Aubervilliers, revient ici sur les idées qui fondent sa révolte. Elle aborde les aberrations du monde actuel : lA´exploitation capitaliste, le sort réservé aux migrants, le saccage de lA´environnement, les méfaits de lA´impérialisme, le racisme et la misogynie, la pandémie de Covid-19 et son cortège dA´injustices. Elle dessine ce que pourrait être un autre monde, fondé sur une économie orienté vers la satisfaction de tous, et non vers la recherche du profit privé. Elle montre pourquoi le communisme, une société débarrassée des classes sociales, et lA´internationalisme, cet antidote aux replis nationaux et à la xénophobie, représentent lA´avenir. Nathalie Arthaud poursuit son combat : "Engagée à 18 ans, jA´ai gardé mes idéaux de jeunesse. JA´invite les jeunes dA´aujourdA´hui à ne pas brider leur révolte et à lutter à leur tour, avec lA´idée que le monde sera ce que nous en ferons" .

02/2022

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Sciences politiques

L'Europe dans les collisions mondiales

" Opposition prolétarienne à l'impérialisme européen et à l'impérialisme unitaire " : ce mot d'ordre contient trois indications stratégiques. D'abord, le contenu impérialiste de la construction européenne dont le véritable moteur réside dans la confrontation mondiale et dans la réaction à l'émergence de l'Asie et de la Chine en particulier. Ce présupposé théorique qualifie l'unité européenne en tant que scission impérialiste, c'est-à-dire qu'elle signifie que l'unification de l'Europe ne représente pas une atténuation des tensions entre les puissances, mais au contraire une élévation de la division et de l'affrontement sur le plan mondial. Si l'UE a supprimé la guerre et la violence entre les Etats à l'intérieur de ses frontières, ce sera pour projeter sa puissance à l'extérieur. Deuxièmement : l'opposition à l'impérialisme européen, c'est-à-dire à " l'ennemi qui est chez nous " dans le slogan des internationalistes en 1914, présuppose la lutte, non seulement contre l'Union européenne, mais aussi contre les enveloppes nationales utilisées par le capital pendant les siècles de l'ascension et de l'affirmation bourgeoise jusqu'au XXe siècle impérialiste. C'est d'ailleurs sous ces bannières nationales que l'Europe s'est détruite dans les deux guerres mondiales entre 1914 et 1945. Seul l'internationalisme communiste, avec l'assaut d'Octobre 1917, a su s'opposer à ces carnages. Enfin, le concept d'impérialisme unitaire contient l'opposition de classe à la domination mondiale du capital : le développement impérialiste a apporté avec lui une augmentation colossale du prolétariat mondial. Deux milliards de salariés : c'est la force de notre classe à l'échelle mondiale. Se saisir solidement du principe de l'internationalisme est donc une nécessité vitale, pour ne pas devenir la proie des idéologies empoisonnées du nationalisme, ni de la nouvelle réaction, à l'échelle continentale, de l'européisme impérialiste ou des mythes d'autres puissances.

02/2019

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Sciences politiques

Le socialisme et la guerre

Qui ne voudrait, une fois pour toutes, débarrasser l'humanité de la guerre ? Depuis toujours, les hommes rêvent de se libérer de ce fléau, mais la guerre a également eu, dans l'histoire, un rôle important. Il est impossible de nier que, aux carrefours de l'histoire, la voie du progrès humain soit souvent passée par des conflits militaires. La bourgeoisie française, par exemple, a dû défendre les conquêtes de sa révolution contre les assauts de la réaction européenne dans une série de guerres révolutionnaires. En battant les Prussiens à Valmy, l'armée révolutionnaire française a ouvert une brèche décisive dans le mur dressé par les vieilles classes féodales sur la voie de l'histoire. Les communistes ne sont pas pacifistes. Ils évaluent les guerres selon le rôle concret qu'elles ont tenu – ou qu'elles tiennent – sur le chemin très long et très accidenté que l'humanité a parcouru, et qui doit la conduire hors de la condition animale originelle dont elle est issue. Quant aux guerres de notre époque, les communistes nourrissent deux convictions. La première est que, étant donné leur contenu, elles n'ont plus aucun caractère progressiste. Quel que soit le prétexte qui les motive – presque toujours hautement "humanitaire" – le moteur ultime des guerres contemporaines est la concurrence que se livrent des colosses économico-financiers. Ceux-ci s'affrontent de façon permanente, par des moyens tantôt pacifiques, tantôt violents, pour se partager le monde. Les guerres d'aujourd'hui sont des guerres impérialistes. Quelle qu'en soit l'issue, quels qu'en soient le vainqueur et le vaincu, sur les tombes et les décombres que ces guerres laissent derrière elles, la lutte de concurrence reprend, plus âpre et virulente qu'avant, jusqu'à précipiter encore l'humanité dans le mas-sacre et la destruction. La deuxième conviction des communistes est que cette terrible spirale peut être brisée. Le prolétariat est par nature international. S'il réussit à faire valoir cette supériorité historique "naturelle", le prolétariat peut trouver précisément dans la guerre, la pire des catastrophes engendrées par le capitalisme, le passage pour imposer sa forme supérieure de société. La guerre impérialiste peut être transformée en une révolution communiste. La brève anthologie Le Socialisme et la guerre illustre ces deux convictions. Elle ne contient pas de textes théoriques, encore moins académiques : il s'agit d'écrits politiques à travers lesquels la bataille pour transformer une guerre impérialiste en révolution a été, pour la première fois, menée et remportée. Bien qu'elle ne recueille qu'une toute petite partie du matériel produit dans cette lutte gigantesque, cette anthologie couvre toute la période de son déroulement. Elle s'ouvre avec la dénonciation du caractère impérialiste de la guerre lorsqu'elle éclate en 1914, et se conclut avec les actes formels du gouvernement prolétarien russe. A peine celui-ci prend-il le pouvoir avec la révolution d'Octobre 1917 qu'il propose aux "gouvernements et aux peuples de tous les pays belligérants" la fin immédiate du massacre. Près d'un siècle s'est écoulé depuis, mais les caractères fondamentaux de la question "du socialisme et de la guerre" n'ont pas changé. Nous vivons, comme Lénine, dans l'époque historique de "guerres et de révolutions" qui marque le passage de l'impérialisme, stade suprême du capitalisme, au communisme. Mais depuis l'époque de Lénine, certes, beaucoup de choses ont changé. Il faut en tenir compte pour être à même d'en tirer les enseignements essentiels. A commencer par le terme "socialisme", qui figure dans le titre de l'anthologie, parce que Lénine l'emploie encore durant toute la durée de la guerre, et qui doit être remplacé par "communisme". C'est Lénine lui-même qui propose le changement, pour séparer, y compris dans leur appellation, les révolutionnaires de la multitude de soi-disant "socia-listes" qui avaient accepté ou même justifié le massacre de la Première Guerre mondiale. En deuxième lieu, la forme de l'impérialisme a changé. Le monde, écrivait Lénine, est partagé entre les ""potentats du capital", ou sous forme de colonies ou en enserrant les pays étrangers dans les filets de l'exploitation financière". Aujourd'hui, la forme coloniale a été définitivement supplantée par les "filets" financiers, sans que la substance de l'impérialisme n'ait été modifiée en quoi que ce soit. En troisième lieu, la Chine qui, dans ces écrits, figure comme objet du partage, est aujourd'hui protagoniste de la lutte, en tant que nouvelle puissance impérialiste. Avec son irrésistible ascension, elle se porte candidate au rôle de destructrice de l'ordre international actuel, un rôle qui fut celui de l'Allemagne, du Japon et des Etats-Unis au xxe siècle, avec les résultats tragiques que l'on sait. Une dernière observation. Lénine, en polémique contre ceux qui voulaient s'opposer à la guerre à travers le mot d'ordre des Etats-Unis d'Europe, soutenait que concrètement "les Etats-Unis d'Europe sont, en régime capitaliste, ou bien impossibles, ou bien réactionnaires". L'unique base réaliste pour une union entre Etats impérialistes européens aurait été la perspective d'une exploitation conjointe de l'Asie. Il s'agissait alors d'une hypothèse abstraite : l'"impossibilité" concrète prévalait, sous la forme du massacre impérialiste qui ravageait le Vieux Continent. Aujourd'hui, la rapide émergence de l'Asie a contraint les impérialistes européens à tenter de s'unir. La dynamique prévue par Lénine est en plein déroulement. Dans ses formes particulières et historiquement inédites, elle est déjà arrivée à l'unification fédérale du pouvoir monétaire. La deuxième moitié du jugement de Lénine devient fondamentale : le processus d'unification européenne, dans la mesure où il cesse d'être "impossible", devient "réactionnaire". C'est dans ce passage que réside, résumée, la continuité de la stratégie léniniste face au changement concret des conditions historiques de l'impérialisme. Le refus des "impossibles" Etats-Unis d'Europe conduisit Lénine au mot d'ordre de la transformation de la Première Guerre mondiale en révolution communiste internationale. La dénonciation du caractère réactionnaire du processus d'unification européenne est à la base de la tentative inédite d'enraciner dans le coeur de l'impérialisme européen une solide minorité internationaliste. Lénine trouva les hommes qui surent développer la stratégie révolutionnaire jusqu'à la victoire d'Octobre. La présente brochure s'adresse en particulier à ces jeunes qui veulent s'engager pour rendre tout aussi concrète et victorieuse la stratégie de l'opposition internationaliste à l'impérialisme européen.

02/2013

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Sciences politiques

Terrorisme contre impérialisme. Le nouveau combat du XXIe siècle

Au soir du 11 septembre 2001, le président George Bush déclare : " Nous sommes en guerre. L'Amérique est en guerre et le reste de la Communauté internationale avec. Mais, il reste à défier l'ennemi... " ...qui n'a pas tardé à se manifester à ciel ouvert. Al Qaïda prit position en face, revendiquant ainsi les attentats et se positionnant comme chef de file devant conduire le front du terrorisme dans ce combat du XXIe siècle. Ainsi, la guerre du terrorisme contre l'impérialisme est donc réelle ; elle se mène chaque jour comme nous le constatons et sur plusieurs fronts : armée américaine contre les insurgés en Irak, coalition internationale contre les talibans en Afghanistan, armée pakistanaise contre les talibans dans la vallée de Swat, Schebabs contre l'armée régulière en Somalie. Cette guerre, qui a déjà fait d'innombrables victimes et d'importants dégâts matériels, tire à sa 10e année et enregistre de nouveaux rebondissements. Le dernier en date étant la tentative d'Oumar Abdou Farouk, le Nigérian qui a tenté de faire exploser un avion au-dessus de la ville d'Atlanta aux USA, ce qui confirme l'analyse selon laquelle la guerre du terrorisme contre l'impérialisme est à coup sûr le conflit du XXIe siècle.

12/2010

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Sciences politiques

Grand Moyen-Orient. Crises et guerres de la nouvelle phase stratégique

Le conflit en Syrie s'enfonce dans l'affrontement entre la Russie et la Turquie, et l'écho des massacres de Paris ne s'est pas encore tu. Avec son fardeau de morts, le terrorisme réactionnaire a frappé une capitale qui s'est affirmée dans l'histoire comme l'intellect politique de l'Europe, mais qui a également mené, durant deux siècles, sa politique méditerranéenne en Afrique du Nord et au Proche-Orient, en concurrence ou en accord, au fil des décennies, avec l'empire britannique, l'empire russe, et les impérialismes italien, allemand et américain. D'autre part, les attentats de Paris sont un fragment de la déflagration au Moyen-Orient, où l'arme terroriste est monnaie courante dans la confrontation régionale. En plus de l'étude du développement capitaliste et des luttes politiques en Turquie, en Iran, au Pakistan et en Arabie saoudite, ce texte recueille le parcours d'analyse qui a accompagné, au cours de ces années, les événements des " printemps arabes " et leur échec dans la confrontation moyen-orientale. Il y a quatre ans, au moment du déclenchement de la crise en Libye, la prévision de ce qui serait arrivée ne fut pas ardue. Nous écrivions : " Au Moyen-Orient, il est presque de règle que les guerres civiles deviennent le point de départ de guerre entre les Etats. " Depuis, quatre conflits, en Libye, au Mali, en Syrie et au Yémen, ont confirmé cette loi de mouvement, réduisant en poussière la rhétorique démocratique qui avait accompagné ces bouleversements politiques. La guerre en Syrie marque la fin des équilibres de balance garantis par la puissance américaine au Moyen-Orient. La Russie refait son entrée dans la région, positionnée aux côté du régime d'Assad, et l'Europe revient à l'initiative politico-militaire, avec l'intervention militaire de la France et du Royaume-Uni, mais également des rôles pour l'Allemagne et l'Italie. En toile de fond, la mutation des liens énergétiques, tout comme celle de la balance globale, impliquent la Chine et l'Inde, et il est impensable qu'une nouvelle configuration régionale ne prenne pas en compte les deux géants asiatiques. Il y a un peu moins d'un an, nous avons écrit que la crise voyait à l'oeuvre les " trafiquants de peur ", celle fabriquée par le " terrorisme réactionnaire " et celle agitée en retour " aussi bien par le populisme xénophobe, pour des calculs électoraux de boutiquier, que par l'européisme impérialiste, ravi de l'occasion d'expérimenter ses idéologies de masse, aussi bien celles de l'Europe forteresse que les mythes revisités du choc des civilisations ". Nous ajoutons que, avec la progression de la crise, la défaite catastrophique de leurs théories et de leurs idéologies précédentes est devenue encore plus éclatante. L'internationalisme communiste est une nécessité. L'ordre scientifique de la théorie marxiste est sans égal.

02/2016

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