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Solistes

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Littérature française

Solistes

Solistes croise cinq discours, cinq récits écrits à la première personne M. Bergerac, psychanalyste quinquagénaire et aigri ; Anthony, jeune garçon révolté ; Elisabeth, abîmée par la prostitution et la drogue; M. Bernard, vieil homme coincé dans un corps infirme ; et Dorothée, postadolescente sauvage. Au travers des affres de leur solitude, des démons qui les hantent, des désirs d'émancipation qu'ils osent à peine rêver, chacun joue sa partition et arpente un quotidien étriqué. Puis une rencontre singulière les engage vers un ailleurs, et leur horizon s'élargit. En choisissant le mouvement plutôt que l'inertie, chacun des personnages ouvre une porte et se risque à un autre dénouement que celui vers lequel il s'acheminait. Un roman psychologique d'une grande finesse, servi par une écriture qui va à l'essentiel.

05/2012

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Littérature française

La soliste

Que rêver de mieux qu'un prix Nobel ? Un biologiste de renom rencontre une concertiste prénommée Béatrice. Celle-ci à l'instar de l'Egérie de Dante, se révèle un guide. Alors même qu'il reçoit la plus haute distinction scientifique, c'est la musique qui occupe son esprit. Il découvre alors avec stupéfaction la présence de Béatrice à la cérémonie de remise...

02/2019

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Littérature française

Le piano du soliste

Le concert de piano que devait donner Jean à la Salle Pleyel semble bien mal parti. Aucun train ne peut le véhiculer de Bâle vers Paris. Sa voisine d'infortune lui propose de louer une voiture et de voyager ensemble. Le soliste découvrira à son contact un autre aspect de lui-même, une nouvelle musique intérieure. Mais les feuilles de cette récente partition ne s'étiolent-elles pas déjà trop vite ?

04/2018

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Musique, danse

Déploration. partition pour solistes (SM) et chœur (SMATBB)

La genèse de Déploration est une affaire d'amitié. Ecrite à la mémoire de mon ami Laurent Galmiche, compositeur prématurément décédé, cette pièce a été créée à Montpellier en avril 2008 par Anna Reinhold, Sabine Garrone et douze chanteurs de l'ensemble vocal Claire Garrone, dans une première version pour deux mezzo-sopranos et choeur mixte. C'est dans l'atelier de Pascal Herpin, un ami facteur de pianos à Montpellier, que j'ai rencontré Laurent. Il cherchait alors un pianiste qui accepterait de jouer l'oeuvre qu'il venait de composer pour clore ses études de composition au conservatoire de Sète dans la classe de Jean-Jacques Di Tucci. Nous avons beaucoup travaillé cette pièce et sommes devenus amis. Parmi les autres oeuvres de Laurent, j'ai joué Jeu de réflexions deux fois en public en présence du compositeur et une troisième fois en hommage posthume. Emmanuel Normand

02/2011

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Musique, danse

Ivanhoé (réduction). cantate sur un poème de Victor Roussy pour solistes et orchestre

Bien loin de constituer un ouvrage isolé dans l'oeuvre de Camille Saint-Saëns, Ivanhoé appartient à un ensemble réalisé dans le contexte particulier du concours pour le prix de Rome. Institué en 1803, supprimé dans la foulée des événements de mai 1968, ce dernier fut pendant longtemps le plus convoité des prix français de composition musicale. Organisé par l'Institut, il garantissait à ses lauréats, à défaut de l'assurance d'une future carrière sans embûches, du moins l'entrée par la grande porte dans le monde artistique et quelques années de pension en Italie, à la villa Médicis. De fait, bien peu résistèrent à l'attrait de cette récompense susceptible de marquer avec éclat l'aboutissement de longues années d'études. Que l'auteur de la Danse macabre s'y soit présenté n'a finalement rien d'étonnant. Mais bien qu'appelé à devenir au tournant du siècle l'un des plus illustres représentants de l'art académique, il n'obtint jamais le fameux premier grand prix. Certes, il serait aisé de mettre son premier échec, en 1852, sur le compte de l'inexpérience, mais son second et dernier, douze ans plus tard, demeure plus surprenant ? : ayant presque atteint la limite d'âge, le musicien n'est alors plus un novice. Est-ce sa situation d'artiste déjà établi qui lui valut d'être écarté ? Rien ne peut le confirmer, mais il n'en reste pas moins qu'après avoir été placé en tête des six candidats admis à l'épreuve finale en juin 1864, il échoua finalement au profit de Victor Sieg, camarade appelé à un destin autrement plus modeste. Composé par Victor Roussy, le livret d'Ivanhoé s'inspire d'un épisode du roman éponyme de Walter Scott. Tout en répondant aux obligations d'une cantate de Rome, il exploite différents antagonismes susceptibles de mettre en valeur les candidats les plus talentueux. Sur fond de tensions entre Saxons et Normands dans l'Angleterre de la fin du xiie siècle, il développe l'amour impossible et unilatéral de la juive Rebecca pour le chrétien Ivanhoé, la grandeur d'âme de ce dernier répondant à l'ambiguïté de son ennemi Bois-Gilbert, pris quant à lui par son désir pour la jeune israélite. Entre histoire et religion, c'est un véritable petit opéra qui se développe dans ces cinq courtes scènes. Bien qu'inégale, la partition de Saint-Saëns est remarquablement variée. Si certains airs purement strophiques peuvent nous sembler convenus, nous ne pouvons qu'admirer son sens de la mélodie, l'efficacité de ses progressions dramatiques ou certaines fulgurances comme cet étonnant épisode vocal sur une simple note tenue. Ouvre de transition, Ivanhoé n'en contient pas moins certains aspects d'une écriture déjà personnelle, notamment cette volonté d'unification par des motifs conducteurs ou son goût prononcé pour les trames orchestrales denses qu'une instrumentation limpide vient éclaircir. Autant de qualités que le musicien ne tardera guère à mettre en pratique... son chef-d'oeuvre lyrique, Samson et Dalila, ne fut-il pas entrepris dès 1867 ??

01/2018

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Musique, danse

L’Enfant et la Nuit (conducteur). conte lyrique, pour solistes, chœur d'enfants et orchestre

Affronter la nuit est probablement le premier ­vertige initiatique d'un enfant. Les contours familiers de la chambre se dissipent dans les ténèbres, la figure rassu­rante de la mère disparaît derrière la porte et se retire aux confins du couloir. L'espace et le temps se brouillent, se dilatent, propices aux métamorphoses. La nuit devient le théâtre où les valeurs positives du jour s'inversent, où le sentiment de sécurité fait place à la crainte de l'abandon, où les forces de destruction s'incarnent. La nuit semble ne jamais devoir finir. En s'inspirant de la tradition des contes, L'Enfant et la Nuit développe l'idée de ce combat spirituel, l'épreuve de "? la nuit obscure" , qui s'ouvre sur le thème de la mère absente. Celle-ci est malade et repose à l'autre bout du couloir. Réfugiés dans leur chambre, les enfants associent la peur de la disparition au règne des ténèbres. Virgile promet à sa petite soeur de traverser la nuit et de ramener le jour. Cette quête héroïque va le confronter au double négatif de la mère, Noctilia, qui aspire à la beauté éternelle. Le secret de son apparence provient de la douleur et des larmes d'enfant. Virgile résistera aux séductions du désenchantement (un scientifique véreux, un chasseur de rêves, un clown tragique, qui sont autant de figures de "faux-pères") et accomplira sa promesse. Il triomphera de la nuit en ressuscitant la joie par l'onirisme et le rire.

10/2018

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