Poitiers

Oubliez ! Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur Diane de Poitiers, car vous ne savez rien, nous ne savons rien… ou si peu ! Adieu, la pionnière des féministes qui chevauchait dès l’aube cheveux au vent ; adieu la sublime femme de 1,70 m qui semblait avoir trente ans du haut de ses soixante-six.

Avant de s'organiser sous la forme de musées publics, la présentation d'objets anciens se faisait chez des particuliers au sein de ce qu'il était convenu d'appeler des cabinets de curiosités. Un nom fort bien porté souvent par ces antres où l'on pouvait côtoyer tout aussi bien des pièces de monnaie antiques que des animaux naturalisés ou encore des objets que l'on se plaisait à relier au surnaturel.

Trafic de diplômes : l'université de Poitiers dément

La médiathèque François Mitterrand de Poitiers accueillera du 7 au 18 mars les éditions Flammarion et différents de leurs auteurs. Pour la 3e saison, les Éditeuriales laissent placent au groupe, pour une série de rencontres avec le public. En 2015, Julliard avait inauguré le concept, suivi, l’année d’après, par Actes Sud.

La librairie Feu Rouge de Poitiers était une institution. Spécialisée dans la BD - et plus particulièrement les éditeurs indépendants - cette dernière a mis la clef sous la porte définitivement ce 14 février.

Jérôme Lecardeur prendra la direction du Théâtre Auditorium de Poitiers

Il ne restera bientôt plus qu'une boutique Gibert Joseph à Poitiers : l'enseigne a annoncé que le bail d'une de ses boutiques du centre-ville, qui accueillait la papeterie et la jeunesse, arriverait à échéance le 31 mars et ne serait pas renouvelé. Une partie des articles papeterie et jeunesse rejoindront l'autre boutique, à dix mètres de là, mais l'inquiétude est de mise dans un centre-ville « en désertification » selon des salariés.

Le 31 mars prochain, la ville de Poitiers perdra l'une de ses deux librairies Gibert Joseph, installée dans le centre-ville, rue Gambetta. La direction a pris la décision de ne pas renouveler un bail et de rassembler les deux magasins en un seul, et évoque un chiffre d'affaires et une fréquentation en baisse. Tandis que l'hypothèse d'un déménagement en périphérie de la ville est posée, Patricia Persico, élue en charge du commerce à Poitiers, revient sur cette annonce.

La réalisatrice Josée Dayan retrouve le président de l'Académie Goncourt, Didier Decoin, pour Diane de Poitiers, un téléfilm en deux parties autour de cette icône de la mode et des puissants, chasseresse émérite et femme libre. Rendez-vous le 7 novembre prochain, à 21h10 sur France 2, pour juger du résultat.

Généticien, Luc a couru les quatre coins du monde pour étudier les particularismes génétiques de tous les groupes ethniques pouvant présenter un intérêt dans son domaine.

Le Grand Prix de la Biographie politique distingue chaque année une biographie politique passée ou présente écrite en langue française ou traduite : en 2017, le jury récompense Didier Le Fur pour sa biographie de Diane de Poitiers publiée aux éditions Perrin.

Le service Culture de l’Université de Poitiers annonce l'ouverture d'une résidence d'artistes à un auteur ou une autrice de bande dessinée, sur 2021 et 2022. La durée totale de cette résidence, répartie sur deux années civiles, sera de 4 mois et demi.

Le Prix des postiers écrivains a été remis à Daniel Martinez pour son livre Le Temps des yeux publié aux éditions Lavoir Saint Martin, le 28 janvier dernier. La remise du prix s’est déroulée lors de la cérémonie des vœux du Groupe La Poste, en présence de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances.

Après avoir dévoilé une première génération de boîtiers modulaires pour mobiles l'été dernier, la start-up Gajah, basée à Singapour, dévoile cette semaine trois nouveaux accessoires qui transformeront la majeure partie des smartphones en lecteurs E-ink. Cette nouvelle génération InkCase Lite, système compatible avec une plus large variété de modèles que son prédécesseur, offre un écran à encre électronique de 3,5 pouces.

Le Prix des postiers écrivains s’inscrit dans une logique de soutien que la Fondation apporte à la création littéraire depuis plus de 20 ans : partenaire du Prix Wepler-Fondation La Poste, du Prix Sévigné, du Prix Clara et du Prix Vendredi, elle a créé en 2015 le Prix « Envoyé par La Poste ».

Le Prix des Postiers écrivains 2022 a été décerné, ce lundi 10 janvier, à Benjamin Fogel pour son nouveau polar Le silence selon Manon. Publié par les éditions Rivages/Noir, ce livre s'est démarqué au milieu des douze ouvrages présentés par ce prix mettant en lumière le talent des postiers.

Le prix du livre le plus étrange, remis à un ouvrage sur les postiers grecs

L’association Les Amis de Théophraste Renaudot et le Rectorat de l'académie de Poitiers organisent le Prix Renaudot des Lycéens avec différents partenaires publics et privés. Fondé en 1992, seul participait le lycée Guy Chauvet de Loudun, auquel s’est associé en 2000 le lycée professionnel Marc Godrie. Pour 2021, quinze lycées des académies de Poitiers, Limoges, Bordeaux, Orléans-Tours et Nantes ainsi que deux établissements européens, s’y ajoutent, soit près de 400 élèves.

Un nouveau cycle de conférence est actuellement organisé par le Centre du livre et de la lecture en Poitou-Charentes en partenariat avec la Ville de Poitiers, la médiathèque François-Mitterrand, l'Espace Mendès-France, l'université de Poitiers, la Fondation Calouste Gulbenkian (Portugal). Ils auront lieu entre le 22 novembre 2012 et le 14 février 2013 pour continuer d'explorer les mutations induites par le numérique dans l'univers du livre et de la lecture.

Un cycle de conférence sur les différents aspects du numérique est actuellement organisé par le Centre du livre et de la lecture en Poitou-Charentes en partenariat avec la Ville de Poitiers, la médiathèque François-Mitterrand, l'Espace Mendès-France, l'université de Poitiers, la Fondation Calouste Gulbenkian (Portugal). Les rencontres ont lieu entre le 22 novembre 2012 et le 14 février 2013 pour continuer d'explorer les mutations induites par le numérique dans l'univers du livre et de la lecture. 

Un cycle de conférence sur les différents aspects du numérique est actuellement organisé par le Centre du livre et de la lecture en Poitou-Charentes en partenariat avec la Ville de Poitiers, la médiathèque François-Mitterrand, l'Espace Mendès-France, l'université de Poitiers, la Fondation Calouste Gulbenkian (Portugal).Les rencontres ont lieu entre le 22 novembre 2012 et le 14 février 2013 pour continuer d'explorer les mutations induites par le numérique dans l'univers du livre et de la lecture.

Pour sa deuxième édition, le prix Brindacier a récompensé l'album de Mélanie Rutten, L'Ombre de Chacun (éditions MeMo, 56 pages, 17 €). La librairie jeunesse de Poitiers La Belle Aventure, accueillait l'événement.

La Différence vous invite à vous rendre demain, mercredi 6 février, à la rencontre de Patricia Cottron Daubigné à l’Université de Poitiers. Lors de la troisième édition des Bruits de languesBruits de langues

Après s'être intéressé aux usages des technologies éducatives en 2013, le Campus européen d'été  (C2E), organisé et hébergé par l'Université de Poitiers, et ses partenaires, portera sur la thématique « territoires connectés ». Il aura lieu du 15 au 19 septembre 2014.

Le 28 mai prochain aura lieu une journée interprofessionnelle intitulée : « Lancez-vous ! Édition, librairie, comment monter son projet ? ». Cet évènement est porté par les étudiant.e.s du master Livres et Médiations de l’université de Poitiers dans le cadre de leur cursus.

L’association Les Amis de Théophraste Renaudot et le Rectorat de l’académie de Poitiers organisent le Prix Renaudot des Lycéens. L’idée est, sur le modèle du Goncourt des lycéens, d’encourager les jeunes à lire. Et devenir critiques littéraires après leurs lectures. 

Jean Plantureux, plus connu sous le nom de Plantu, officie depuis déjà 40 ans au sein des colonnes du Monde, toujours là pour donner le coup de crayon qui va bien avec l'actualité du jour. Pour fêter dignement ses 40 années de présence toujours légèrement ironique et subversive, le quotidien a consacré, lundi, un numéro spécial à son dessinateur de référence.

C'est au tribunal administratif de Poitiers que la requête déposée par l'Association en charge du Festival du film francophone d'Angoulême s'est fait débouter. La demande était pourtant simple : une subvention de 85.000 €, versée par la Région Poitou-Charentes en 2008, devait être remboursée. 

C'est un journaliste sans ambition ni envergure, grosso modo en charge de la rubrique des chiens écrasés à l'Echo du Poitou, qui raconte son histoire. On ne saura ni son nom, ni son prénom, ni le nom du village où il habite dans les environs de Poitiers.