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Petites miseres de la vie conjugale. La comedie humaine

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Dossier

Montpellier : de la culture en plein air, avec la Comédie du Livre

Depuis 1986, La Comédie du livre créée par des librairies indépendantes fait bouillonner les rues montpelliéraines. Nous voilà donc partis pour 10 jours de manifestations littéraires à Montpellier et dans les territoires avoisinants. Au rendez-vous : rencontres, lectures, musique, ateliers et expositions.

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Dossier

Salon du livre 2024 de Turin : plongée dans la “Vie imaginaire”

Le Salon International du Livre de Turin revient au Lingotto Fiere du jeudi 9 au lundi 13 mai, sous la nouvelle direction d'Annalena Benini, pour accueillir la communauté de lectrices et lecteurs de tous âges qui rencontreront des autrices et auteurs italiens et internationaux, et découvriront les œuvres des maisons d'édition présentes, en tracent ensemble de nouvelles vies imaginaires.

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Dossier

Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

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Dossier

La Comédie du livre 2023 : 10 jours de lectures à Montpellier

Créée en 1986, la Comédie du Livre est un des rendez-vous majeurs de la vie littéraire en France, qui réunit chaque année près de 250 auteurs et 70 000 visiteurs à Montpellier. Ces dix dernières années, sa programmation dédiée aux littératures françaises et étrangères, à l'édition indépendante de création littéraire et à l'émergence de nouveaux talents lui ont permis de conquérir de nouveaux publics.

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

Extraits

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Littérature française

Petites miseres de la vie conjugale. La comedie humaine

" Un ami vous parle d'une jeune personne : Bonne famille, bien élevée, jolie, et trois cent mille francs comptant. Vous avez désiré rencontrer cet objet charmant. Généralement, toutes les entrevues fortuites sont préméditées. Et vous parlez à cet objet devenu très-timide. VOUS. Une soirée charmante ? ... ELLE. ? Oh ! oui, monsieur. Vous êtes admis à courtiser la jeune personne. LA BELLE-MERE (au futur). ? Vous ne sauriez croire combien cette chère petite fille est susceptible d'attachement. Cependant les deux familles sont en délicatesse à propos des questions d'intérêt. VOTRE PERE (à la belle-mère). ? Ma ferme vaut cinq cent mille francs, ma chère dame ! ... VOTRE FUTURE BELLE-MERE. ? Et notre maison, mon cher monsieur, est à un coin de rue. Un contrat s'ensuit, discuté par deux affreux notaires : un petit, un grand. Puis les deux familles jugent nécessaire de vous faire passer à la mairie, à l'église, avant de procéder au coucher de la mariée, qui fait des façons... ".

02/2023

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Littérature française (poches)

Petites Misères de la vie conjugale

Balzac se promène en observateur amusé dans l'intimité des couples : dans cette suite de saynètes sur la vie conjugale, il porte à son apogée le genre des physiologies - petites études de moeurs traitées avec légèreté. L'essentiel est alors de saisir sur le vif les petites mesquineries et les grandes déceptions du mariage bourgeois - tout en gardant toujours un rire généreux. D'un côté, Adolphe, l'homme bourgeois, se signale par une aridité mentale désespérante ; de l'autre, la femme, Caroline, est réduite à être l'un des "plus jolis joujoux que l'industrie sociale ait inventés". Ensemble, les jeunes époux vont suivre pas à pas le chemin qui mène de la promesse de bonheur aux "misères" du mariage. Le narrateur, lui, se permet de délicieusement compter les points dans la guerre des sexes.

09/2011

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Littérature étrangère

La vie conjugale

Délicieusement ironique et cruelle, l'histoire que nous raconte ce roman aurait pu se dérouler en France, aux Etats-Unis, en Angleterre, voire en Russie. C'est une histoire de tous les lieux mais aussi de tous les temps. Ovide, Flaubert et Nabokov en ont fait la matière même de leurs chefs-d'œuvre et certains parmi nous - ô pauvres mortels, inconscients protagonistes du grand théâtre du monde - la mettent en scène au jour le jour. Car la vie de couple - la vie d'un couple - est souvent ce récit sans nationalité et sans âge où nous finissons tous par nous retrouver, comme sur une photo de famille. Sergio Pitol nous demande de la regarder en face et d'apprendre à en rire avec cette chronique vive, fluide et brillante. Elle dépeint le portrait hilarant d'une Madame Bovary des tropiques, Jacqueline Lobato, et de ses cinq vies aux côtés de son mari, Nicolas. Raconter leur rencontre, leur ascension, leur chute est, en principe, le but du narrateur de La vie conjugale. Pourtant, le roman commence le jour où Jacqueline décide qu'elle serait plus épanouie sans Nicolas et qu'il faut donc l'éliminer. Voilà à quoi peut servir un amant - ou des amants. Hélas, les choses ne sont jamais aussi simples dans la dure école de la vie conjugale. Après avoir tant aimé son mari, Jacqueline va devoir apprendre à bien le détester, en attendant de devenir une veuve riche et joyeuse. Avec l'esprit étincelant qui le caractérise, Sergio Pitol se contente de gratter légèrement la surface polie d'un couple ordinaire. Les frustrations, les fantasmes, la jalousie et le temps font le reste. Attention : dangereusement drôle, à ne pas mettre entre toutes les mains.

01/2007

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Littérature française

La comédie humaine. L'élixir de longue vie

" Dans un somptueux palais de Ferrare, par une soirée d'hiver, don Juan Belvidéro régalait un prince de la maison d'Este. A cette époque, une fête était un merveilleux spectacle que de royales richesses ou la puissance d'un seigneur pouvaient seules ordonner. Assises autour d'une table éclairée par des bougies parfumées, sept joyeuses femmes échangeaient de doux propos, parmi d'admirables chefs-d'oeuvre dont les marbres blancs se détachaient sur des parois en stuc rouge et contrastaient avec de riches tapis de Turquie. Vêtues de satin, étincelantes d'or et chargées de pierreries qui brillaient moins que leurs yeux, toutes racontaient des passions énergiques, mais di- verses comme l'étaient leurs beautés. Elles ne différaient ni par les mots ni par les idées ; l'air, un regard, quelques gestes ou l'accent servaient à leurs paroles de commentaires liber- tins, lascifs, mélancoliques ou goguenards. L'une semblait dire : Ma beauté sait réchauffer le coeur glacé des vieillards. L'autre : J'aime à rester couchée sur des coussins, pour penser avec ivresse à ceux qui m'adorent. Une troisième, novice de ces fêtes, voulait rougir : Au fond du coeur je sens un remords ! disait-elle. Je suis catholique, et j'ai peur de l'enfer. Mais je vous aime tant, oh ! tant et tant, que je puis vous sacrifier l'éternité. La quatrième, vidant une coupe de vin de Chio, s'écriait : Vive la gaieté ! Je prends une existence nouvelle à chaque aurore ! Oublieuse du passé, ivre encore des assauts de la veille, tous les soirs j'épuise une vie de bonheur, une vie pleine d'amour ! La femme assise auprès de Belvidéro le regardait d'un oeil enflammé. Elle était silencieuse. Je ne m'en remettrais pas à des bravi pour tuer mon amant, s'il m'abandonnait ! Puis elle avait ri ; mais sa main convulsive brisait un drageoir d'or miraculeusement sculpté... . ".

02/2023

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Littérature française

La comédie humaine. Un début dans la vie

" Les chemins de fer, dans un avenir aujourd'hui peu éloigné, doivent faire disparaître certaines industries, en modifier quelques autres, et surtout celles qui concernent les différents modes de transport en usage pour les environs de Paris. Aussi, bientôt les personnes et les choses qui sont les éléments de cette Scène lui donneront-elles le mérite d'un travail d'archéologie. Nos neveux ne seront-ils pas en- chantés de connaître le matériel social d'une époque qu'ils nommeront le vieux temps ? Ainsi les pittoresques coucous qui stationnaient sur la place de la Concorde en encombrant le Cours-la-Reine, les coucous si florissants pendant un siècle, si nombreux encore en 1830, n'existent plus ; et, par la plus attrayante solennité champêtre, à peine en aperçoit-on un sur la route en 1842. En 1842, les lieux célèbres par leurs sites et nommés Environs de Paris, ne possédaient pas tous un service de messageries régulier. Néanmoins les Touchard père et fils avaient conquis le mono- pole du transport pour les villes les plus populeuses, dans un rayon de quinze lieues ; et leur entreprise constituait un magnifique établissement situé rue du Faubourg Saint-Denis. Malgré leur ancienneté, malgré leurs efforts, leurs capitaux et tous les avantages d'une centralisation puissante, les messageries Touchard trouvaient dans les coucous du Faubourg -Saint-Denis des concurrents pour les points situés à sept ou huit lieues à la ronde. La passion du Pari- sien pour la campagne est telle, que des entreprises locales luttaient aussi avec avantage contre les Petites-Messageries, nom donné à l'entreprise des Touchard par opposition à celui des Grandes-Messageries de la rue Montmartre. A cette époque le succès des Touchard stimula d'ailleurs les spéculateurs. Pour les moindres localités des environs de Paris, il s'élevait alors des entreprises de voitures belles, rapides et commodes, partant de Paris et y revenant à heures fixes, qui, sur tous les points, et dans un rayon de dix lieues, produisirent une concurrence acharnée. . ".

02/2023

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Littérature française

Scène de la vie conjugale

De retour d'un séjour en montagne, le narrateur, qui achève un essai consacré à Scènes de la vie conjugale d'Ingmar Bergman, découvre une culotte de sa femme maculée de taches de sperme. Il comprend qu'elle le trompe et qu'elle souhaite le lui faire savoir. S'ensuit, entre ces deux personnages, une conversation qui durera toute la nuit : le roman devient un huis clos obsessionnel, une spirale axée sur la question du coït extraconjugal considéré comme une fatalité.

01/2019

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