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Naïm Kattan

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Virginia Woolf

Née Adeline Virginia Alexandra Stephen en 1882, Virginia Woolf grandit dans une famille aisée, où elle dispose d'un accès facilité à l'art et à la culture de son époque. Les disparitions de sa mère, en 1895, de sa demi-sœur puis de son père fragilisent toutefois son état émotionnel : elle devient sujette aux dépressions nerveuses. En 1915, elle publie son premier roman, The Voyage Out, après quelques années d'activité au sein du supplément littéraire du Times. 

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Dossier

Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Riad Sattouf

Riad Sattouf est auteur de bandes dessinées et réalisateur, né en 1978. Ses deux séries best-sellers sont L’Arabe du futur (Allary Éditions), 2,5 millions d’exemplaires vendus, et Les Cahiers d’Esther (Allary Éditions), 950.000 exemplaires vendus. Il a réalisé deux longs-métrages : Les Beaux Gosses (2009), César du meilleur premier film, et Jacky au royaume des filles (2014).

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Delphine de Vigan

Delphine de Vigan est une écrivaine française contemporaine née le 1er mars 1966 à Boulogne-Billancourt, en France. Elle est connue pour ses romans intimistes et introspectifs qui explorent des thèmes tels que l'identité, la mémoire, la famille et les relations humaines.

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Dossier

Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

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Dossier

Rentrée littéraire 2018 : les fashion weeks du libraire

Des auteurs paniqués, des éditeurs mondains, des libraires déjà épuisés, des distributeurs satisfaits – les seuls actuellement... –, des représentants (peut-être) en vacances, des transporteurs en retard, un ministère avec le Culture entre deux chaises, des lecteurs perdus, des blogueurs survoltés, des Instragrameurs pour lesquels nous n’avons pas trouvé de rime, des journalistes éreintés... 

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Dossier

Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

Extraits

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Littérature française

Le sable de l'île

Deux anciens déportés se rencontrent et deviennent amants, mais leur passé commun finit par les séparer. Une orpheline recueillie par sa tante se voit imposer la compagnie d'un chat et sombre dans un désespoir sans fin. Une femme insaisissable est toujours en train d'abandonner un mari, un métier, un pays. Un cinéphile un peu sot emmène une fille voir tous les films, sans comprendre ce qu'elle attend de lui. Deux personnes en instance de divorce commencent une nouvelle idylle, mais elles ne savent parler que de leurs enfants respectifs. Un homme qui a laissé partir sa fille, à cause de sa seconde épouse, entre dans le malheur de la solitude conjugale. La première fois qu'une femme peut passer la nuit avec son amant marié, celui-ci tombe malade et perd sa séduction. Au bout d'une journée d'activité vaine, un ministre voit s'évanouir la magie du pouvoir. Un homme, invité à une fête chez sa maîtresse, découvre qu'elle n'est qu'une petite-bourgeoise plus très jeune et sans intérêt. Tels sont quelques-uns des personnages et des thèmes de ce nouveau recueil de Naïm Kattan. L'art de l'auteur est de montrer les illusions, les espoirs fugitifs qui disparaissent avant que ceux qui les éprouvent aient osé se les avouer.

01/1981

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Littérature française

Le Rivage

Les héros de Naïm Kattan sont tous des personnages qui ont un passé. Ils ont été mariés, leur vie familiale a été un échec. Et le poids de ce passé va faire rater leurs nouvelles expériences, leurs tentatives pour échapper à la solitude et cherche le bonheur. Le hasard aussi joue son rôle, et le décor des temps modernes, à Montréal, à Paris, à Berlin. Que d'escapades amoureuses tournent au désastre ! Soudain les yeux s'ouvrent et c'est le désenchantement. L'homme et la femme se remarquent on ne sait trop pourquoi, s'accrochent, croient s'aimer peut-être, se marient, divorcent, souffrent, se réfugient dans d'autres bras, d'autres paroles, d'autres silences, obéissant à quelque cycle d'incompréhension gigantesque dont ils sont à la fois les acteurs, les témoins impuissants et les inconscientes victimes. Ainsi sommes-nous prisonniers de notre histoire, essayant, mais en vain, d'y échapper.

03/1979

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Théâtre

Théâtre (1970-2014)

«Naïm Kattan est dans une recherche incessante de l'autre identité et de l'identité de l'autre, de l'autre langage, de l'autre temps et de l'autre espace. Il aime toutes les rencontres.» (Sophie Jama, 2009.)

03/2015

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Critique littéraire

Identité séfarade et littérature francophone au XXe siècle. Albert Cohen, Albert Memmi et Naïm Kattan : déconstruction et assimilation

Ce travail de recherche nous présente l'assimilation française des Juifs séfarades, non au travers de théories, mais grâce à la vision personnelle des trois grands écrivains que sont Albert Cohen, Albert Memmi et Naïm Kattan, qui la transposent dans leur premier roman en langue francophone (respectivement Solal, La statue de sel et Adieu Babylone). Honte de soi et honte des parents alternent avec l'attrait de l'Europe, incarnée par de belles femmes bourgeoises ; les blessures de l'antisémitisme alternent avec la vocation d'écrivain... Et de ces tiraillements et contradictions, l'écriture tire son essence. Ce temps passé est déconstruit afin d'être analysé mais surtout afin d'être partagé avec le lecteur et de susciter chez lui une réflexion. Les écrivains cités entreprennent aussi de déconstruire le mythe de l'errance juive, en rappelant qu'ils faisaient partie de communautés bien enracinées dans leurs pays respectifs, et ce depuis des siècles. La mythification de la France et celle de la femme volent conjointement en éclats tandis que la perte de la mère fait écho à la perte de la terre natale. Il ne reste alors qu'à reconstruire... Entreprise que nous découvrons à travers plusieurs thèmes, dont celui de l'enracinement judaïque du christianisme, rappelé avec insistance par Cohen, ou encore celui de Babylone, non plus symbole d'exil mais au contraire de pérennité chez Kattan. Ainsi, on découvre une littérature juive qui, tout en s'inscrivant dans la continuité de la littérature française, prend plaisir à la séfaradiser... et ainsi, celle qui "assimilait" devient elle-même assimilée !

10/2014

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Judaïsme

Le Talmud Steinsaltz T13 - Moed Katan / Haguiga. Moed Katan / Haguiga

Moed Katan Exposant dans sa première partie les lois relatives aux demi-fêtes ('Hol ha-Mo'ed) - désignées par le mot Mo'ed dans la Michna (voir par exemple Avot 3, 11) - notre traité a été appelé à l'origine Mo'ed tout court, puis Mo'ed Katan pour le différencier du deuxième Ensemble talmudique (Sèder Mo'ed) se rapportant aux fêtes. La seconde partie est consacrée aux règles du deuil. Ce lien entre les jours de joie et de tristesse paraît étrange a priori, mais il s'avère que, dans l'un et l'autre cas, les mêmes travaux sont défendus en vertu d'une tradition orale datant de l'époque de Moïse. Même si on y trouve des allusions dans l'Ecriture, il est admis à l'unanimité que le détail de ces lois a été fixé par les Sages, qui ont tenu compte de certains aspects pragmatiques. Ainsi, le Chabat et à Yom Kipour, la Tora interdit de manière catégorique tout travail créatif. Les jours de fête, seuls les travaux ne faisant pas partie des préparatifs culinaires sont défendus. A 'Hol ha-Mo'ed, l'in-terdiction porte uniquement sur les travaux fatigants ou professionnels sans aucun caractère d'urgence pour un particulier ni pour la collectivité, les Sages ayant voulu surtout éviter que 'Hol ha-Mo'ed se transforme en jours ouvrables. Il en va de même pour les travaux prohibés pendant la première semaine de deuil : pour avoir le temps d'exprimer ses sentiments, de panser ses blessures affectives et de retrouver son équilibre, celui qui a perdu un proche parent doit suspendre momentanément la routine quotidienne et ses activités professionnelles. Depuis le décès jusqu'à l'enterrement, il est dispensé aussi de tous les commandements positifs pour se consacrer entièrement aux derniers honneurs dus au mort. Après l'enterre-ment, il est soumis à différents rites de deuil - notamment déchirer ses vêtements, s'asseoir par terre (ou sur un siège bas) - et à des restrictions liées à son apparence extérieure et aux soins esthétiques, comme l'interdiction de se raser et de porter des habits fraîchement lavés. Haguiga Axé sur l'obligation de paraître au Temple aux trois fêtes de pèlerinage, le traité 'Haguiga porte sur deux sujets principaux : les offrandes imposées aux pèlerins et les règles de pureté rituelle liées aux fêtes. Au commandement général exigeant de chaque homme de venir en pèlerinage pour les fêtes (voir Ex. 23, 17) s'ajoute l'interdit de ne pas paraître au Temple les mains vides (ibid. 23, 15) qui, selon d'autres passages bibliques (voir par exemple Deut. chap. 12) implique l'obligation d'apporter des offrandes individuelles en l'honneur de la fête, en plus de celles de la collectivité (exposé dans Lévitique chap. 23 et Nombres chap. 28 et 29). Le texte biblique n'indique pas explicitement de quelles offrandes il s'agit, mais on sait par tradition orale que chaque pèlerin doit apporter un holocauste lors de sa première "apparition" ('olat reiya) devant le Temple, l'offrande de paix de la 'haguiga, et un nombre variable d'autres offrande

01/2022

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Religion

Le Talmud. Traité de Moed Katan

Le traité Moed Katan se présente comme un complément au Traité Pessahim (Folio essais n° 421). Il est question, comme l'indique son titre, des " demi-fêtes " - soit essentiellement du temps qui sépare le premier et le dernier jour de la Pâque. Cette période, qualifiée par les maîtres du Talmud de hol hamoed, c'est-à-dire à la fois jour profane et jour de fête, porte une ambivalence qui sera, tout au long du texte, au cœur d'un débat constamment rapporté aux problèmes les plus concrets, en particulier aux difficultés que soulève l'interdit de travailler. La seconde partie du traité concerne la conduite et le travail du deuil, aussi bien à travers le récit du décès de quelques grands maîtres que grâce aux plus savantes oraisons ou aux paroles improvisées des femmes du peuple en deuil. Si le premier mot du traité enjoignait d'arroser les arbres pour les empêcher de mourir, le deuil constitue donc le mot de la fin, à travers le même fil conducteur. C'est le cours de la destinée humaine que ces paroles vives des grands maîtres remontent jusqu'à son terme. Jusqu'à sa première et ultime ambivalence.

05/2005

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