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Les Cancrelous. Novelettes un tantinet autobiographiques

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Dossiers

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Dossier

Le livre numérique fête ses 50 ans : un anniversaire, tout en histoire

Certains membres du Projet Gutenberg, célèbre plateforme dédiée à la préservation d'ouvrages du domaine public, ont décidé de sortir les bougies. L'ebook célèbre ses 50 années – né en 1971 ! – qu'il n'a effectivement pas l'air d'avoir. Si le grand public l'a découvert avec les premières liseuses, ActuaLitté, en partenariat avec ces passionnés, retrace une histoire de l'ebook. Un dossier exceptionnel.

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Dossier

Lire en Poche 2022 : Un autre monde

Rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire, Lire en Poche, organisé par la ville de Gradignan, accueille près de 27.000 visiteurs et plus de 100 auteurs, dont un tiers d’auteurs jeunesse qui rencontre son public également dans le cadre scolaire. L'édition 2022 se déroule du 7 au 9 octobre.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Des essais pour comprendre un monde labyrinthique

Le genre de l'essai est une mosaïque, où chaque partie est un fragment de pensée, de réflexion, d'argumentation. Comme une forêt ancienne, il est dense et diversifié : philosophie, sociologie, histoire, économie, politique, science... Un voyage, une exploration sans fin de la connaissance et de la compréhension.

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Dossier

Hold-up 21: Un voyage littéraire et photographique du désir

Vingt femmes extraordinaires, couvrant des horizons aussi vastes que la réalisation, la poésie, le journalisme et la chorégraphie, se sont rassemblées autour d'une mission : revaloriser l'érotisme dans la littérature tout en intégrant les perspectives féministes actuelles.

Extraits

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Contes et nouvelles

Les Cancrelous. Novelettes un tantinet autobiographiques

"Je suis une sorte de jardinier nomade" , dit celui qui essaie simplement d'arriver à tourner à peu près correctement avec les saisons. Appelé par l'aventure de la conscience. Telle la spirale perlée de sèves au coeur du tournesol qui incline sa face du côté du grand Soleil.

09/2021

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Littérature française

Destins (un tantinet) tordus

Au-delà du titre de ce second tome qui est - encore - un hommage appuyé au " Side effects " de Woody Allen, l'auteur a - encore - voulu raconter des histoires présentant les trajectoires singulières de personnages célèbres (ou pas ! ) qui ont été happés par les rouages méandreux de l'Histoire, ballottés par les caprices de la Destinée qui - l'une et l'autre - sont ici malmenées pour donner matière à sourire et émouvoir. Ce recueil embarquera - encore - les lecteurs pour une série de voyages dans le temps et dans l'espace, des espaces qu'ils pourront parcourir au gré des huit nouvelles invitant à s'asseoir pour faire une pause et s'amuser, rire (vivre, en somme ! ) car, comme l'écrivait le plus illustre des bardes anglais : " La gaieté enraye quantité de maux et prolonge la vie. "

05/2021

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Littérature française

Exercices autobiographiques

Marie Alstadt, Ce?cile Guilbert, He?le?ne Renon et Claire Tencin tendent leur fil d'Ariane pour de?nouer le labyrinthe de Jean-Philippe Domecq. Mai?eutique peut-e?tre, exercice passionnant, souvent. Politique, art, vitesse, paysage mais aussi re?miniscences, parcours d'un homme prenant a? son compte le "je suis moi-me?me la matie?re de mon livre" et pour notre plus grand plaisir.

05/2017

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Philosophie

Ecrits autobiographiques

Les textes autobiographiques que Nietzsche écrivit entre douze et vingt-quatre ans (1856-1869) rassemblés ici constituent un témoignage unique sur la forge d’une pensée, d’un style, d’une sensibilité. D’un caractère. Après des premières pages toutes prisonnières des poncifs de l’époque se dessine une progressive et implacable émancipation appuyée sur un minutieux travail de réécriture infini des événements marquants de la vie en lesquels la mort du père et le deuil qui la continua ainsi que les années d’apprentissage dans le rude collège de Pforta occupent une place singulière. S’y dessine également la naissance d’impérieuses passions, musique, lecture, écriture, amitiés, dont on sait l’importance décisive qu’elles prendront dans la vie philosophique de Nietzsche. Bien avant Ecce Homo, Nietzsche se réapproprie sa vie, lui donne sens et façonne la statue qui vient. Ces Ecrits autobiographiques sont le véritable laboratoire de l’écriture philosophique de celui qui proclamera une quinzaine d’années plus tard la mort de Dieu, que l’homme est le seul créateur de sens et de valeurs et que « toute grande philosophie […] est la confession de son auteur », confession qui n’est point une confidence ou un aveu mais l’inévitable et nécessaire point de rencontre entre la Vie et la Pensée.

04/2011

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Littérature française (poches)

Ecrits autobiographiques

Voltaire autobiographe ? On est tenté de rire, Les Confessions en main, ou saint Augustin en mémoire. Et pourtant, le satiriste le plus cinglant de notre histoire s'y est pris à trois fois pour se raconter... En 1754, échappé de Berlin, interdit à Paris, réfugié à Colmar, il compose ou réécrit de fausses-vraies lettres de Prusse à sa nièce et amante, Mme Denis, qui furent reversées jusqu'à nos jours dans la Correspondance comme autant de témoignages spontanés et éblouissants sur ses démêlés avec Frédéric II. Celui-ci tient encore la première place dans les Mémoires pour servir à la vie de Monsieur de Voltaire, rédigés entre 1758 et 1760, à côté de Candide ; quant au Commentaire historique sur les œuvres de l'auteur de La Henriade (1776), il part de l'enfance et embrasse les légendaires années de Ferney. L'autobiographie apparaît ici dans toute sa diversité recueil épistolaire, récits à la première et à la troisième personne ; ton dolent, puis comique, puis rasséréné, pour se raconter sans enflure ni aveux. Au milieu de nos débordements, cette rare leçon de sobriété autobiographique vaut bien un hommage, sans doute.

03/2006

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Pléiades

Oeuvres autobiographiques

"On ne parle jamais que de soi", avoue Mauriac et il est vrai que si jamais romancier a proféré des doubles si clairs de son moi c'est bien lui, au point que Sartre a pu lui reprocher - peut-être à tort en définitive - d'adopter le point de vue de Dieu pour enfanter des personnages sur quoi l'auteur savait tout au principe. S'il connaissait tout de leur "pauvre chair" et de leur esprit, n'est-ce pas, précisément, parce qu'ils naissaient plus rigoureusement de lui que chez d'autres romanciers ? Ce coeur de Mauriac, à la fois janséniste et voluptueux, il le rend - même si on devine que n'est souvent livrée que l'embellie après la tempête - dans ces oeuvres autobiographiques que ce volume rassemble, parcourant l'ensemble de la vie, de l'origine bordelaise - à quoi sans aucune doute toute l'oeuvre est suspendue et vers laquelle Mauriac reviendra comme on tente de revenir à l'enfance - jusqu'aux derniers textes, si graves qu'ils donnent parfois l'impression d'être une parole d'au-delà de la mort. On y rencontre Barrès - celui qui l'a reconnu et dont il faut de quelque façon se délivrer pour être soi - et on y erre du côté de Proust que probablement ou eût aimé être, avec - au passage - ces coups de dents dont Mauriac a le secret. On verra cependant, par les variantes, que Mauriac corrige sa nature en fourrant de velours sa griffe. Le coup - tout chrétien qu'il se veut - n'épargne pas : Montherlant ? Faux don Juan. Gide ? Petit protestant qui a de mauvaises habitudes. Cocteau ? Un arlequin. Et, pour conclure : "Les âmes n'ont pas d'odeur, leur cadavre ne sent pas". Mais le mémorialiste ne se leurre pas : "S'il existe un seul homme qui tienne son journal pour son agrément particulier [... ], il lui reste toujours quelqu'un à duper ; et c'est lui-même". On pourrait résumer ces pages d'une autre façon : d'un côté il y a la chair mortelle ; de l'autre, il y a Dieu. "Quel homme, quelle femme, s'ils ont aimé, ce qui s'appelle aimer, fût-ce contre toutes les règles et toutes les lois, quel homme, quelle femme peuvent le regretter et n'y pas penser comme au seul moment de leur vie où ils auront vécu ? " Mais "celui qui a mis l'infini dans l'amour, seul un être infini peut le combler". Toute la grandeur de ce Mauriac-là, qui cherche le secret de son être, est dans l'aveu de cet écartèlement : "Ma force fut toujours de reconnaître ma faiblesse".

09/1990

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