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Le vent de la plaine

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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30 livres pour donner un “avent” goût de Noël

Le temps en librairie est compté, aussi faut-il savoir où trouver les bons conseils pour réaliser ses cadeaux. Voici une liste de 30 ouvrages, extrêmement diversifiée, qui fait aller de la littérature au polar, et de la jeunesse aux bandes dessinées, afin de mettre la main sur le présent idéal.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

Extraits

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Littérature étrangère

Le vent de la plaine

Alan Le May, l'auteur de La Prisonnière du disert, raconte dans ce western puissant et violent l'histoire des Zachary, une famille de ranchers du Texas. En 1874, alors que les habitants de la région et les Indiens s'affrontent pour les terres, un vieil ennemi des Zachary répand la rumeur selon laquelle leur fille ne serait pas leur enfant biologique mais une Kiowa volée à sa tribu. Bientôt, les Zachary sont rejetés par leur propre communauté et doivent se préparer à une âpre bataille contre les Kiowas, venus réclamer leur enfant... Grâce à sa connaissance de la culture indienne, l'auteur nous immerge dans une situation extrême tout en évitant les clichés. Un roman noir et haletant, porté à l'écran en 1960 par John Huston et dans lequel Burt Lancaster et Audrey Hepburn incarnent Ben et Rachel Zachary. La mise en scène remarquable et les thèmes abordés - la famille, le racisme, l'intolérance - ont fait de ce western un film très apprécié. "Les personnages du Vent de la plaine m'évoquent ce que disait Albert Camus dans L'Homme révolté : " Les héros ont notre lan- gage, nos faiblesses, nos farces. Leur univers n'est ni plus beau, ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion... "" Bertrand Tavernier

06/2018

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Littérature française

Les vents de la plaine

C’est un des romans les plus importants qu’on n’ait jamais écrit sur le Gharb, cette « terre promise » que se sont disputée fellahs et colons jusqu’au déchirement. Un roman flamboyant au souffle épique, avec des personnages hors du commun. Le narrateur y évoque son grand-père, caïd magnifique qui mourut en 1911, les armes à la main, dans un affrontement avec le corps d’occupation. Et puis, il y a son père, personnage tout en nuances, à la lenteur racée, dont il raconte les combats et les secrets, les mois de prison puis la mort, en 1953. En toile de fond, omniprésent, un bled marocain mouvant et contrasté où sentiments, haines et passions sont portés à incandescence… avec la présence de deux femmes d’exception, venues d’ailleurs. Véritable illumination dans la tourmente ! L’amour jusqu’à l’idolâtrie, dépassant les frontières de la mort.

05/2012

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Littérature française

Ceux de la plaine

"Avez-vous remarqué comme les granges sont belles et imposantes par ici ? Ils y mettent ce qu'ils ont de plus beau : leur argent ! Par chez nous, les femmes y déposent leur virginité et les hommes y mettent leur âme, dans les granges. Je vais vous dire : lorsque ces hommes couchent une femme dans un champ, ne croyez pas qu'ils se retirent de peur de les engrosser. Non, c'est une façon d'ensemencer la terre. Leur jouissance, c'est la terre, leurs terres et leurs bêtes, et seulement ça ! Rendre leur femme heureuse... Mais c'est le cadet de leurs soucis ! " Dans la plaine du Vaunard se croisent des personnages hauts en couleur, mais aussi taiseux, semblables à la campagne alentours, dure, contrastée, jalouse de ses secrets et de ses mystères. D'une plume sobre et magnifique, Olivier Maison nous offre un tableau de ce bout de terre, à la fois violent, poétique et crépusculaire.

01/2015

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Lecture 9-12 ans

Manuelo de La Plaine

" 21 juin 1937. Moi, Manuel Timon, douze ans et demi, lo tengo, je l'ai eu, mon certificat d'études primaires ! C'est le plus beau jour de ma vie. Et le pire. J'apprends que ma mère a la tuberculose. Mon père n'y peut rien. Personne n'y peut rien, et ça me rend fou de colère et de peine. Avec mes amis on se jure de trouver l'argent pour la sauver. "

04/2007

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Littérature française

Les villes de la plaine

Les Villes de la plaine est un roman antique, campé dans une civilisation imaginaire qui emprunte des traits à l’Egypte et à la Babylonie, mais aussi à l’Ancien Testament. Une civilisation du Livre, monothéiste avant l’heure, qui malgré son exotisme nous est bien plus proche qu’il n’y paraît. Asral, le personnage-clef du roman, est scribe : sa mission est de produire une copie neuve du « testament d’Anouher », ce héros mythique qui donna des lois à la ville de Sir. Très vite il s’avise que la langue sacrée qu’il transcrit est vieillie, que ses mots ont changé de sens, et que par conséquent la vraie fidélité à l’esprit des lois consisterait à les reformuler, afin qu’elles soient à nouveau comprises telles qu’elles avaient été pensées quatre ou cinq siècles plus tôt. Il se lance dès lors, secrètement, dans la rédaction d’une deuxième « copie », qui est en fait une traduction. Son garde, un fruste montagnard, est pour lui un soutien précieux : pas seulement pour aller chercher des rouleaux de papyrus supplémentaire dans les magasins du haut palais, en prétextant que la réserve a brûlé. Mais aussi pour l’aider, par son bon sens et son recul d’étranger nouvellement arrivé, à trouver le mot juste : c’est qu’Ordjeneb (Ordjou pour les intimes, écrit malicieusement l’auteur) ne maîtrise ni la langue ni les codes de cette ville, qui en est confite. Il le paie chèrement le jour de son arrivée, c’est la première scène du livre, quand, demandant sur la place du marché le sens des paroles d’une chanson, il transgresse un interdit en prononçant le nom d’Anouher. Trois solides gaillards le tabassent et il ne doit le salut qu’à une jeune veuve qui l’héberge pour la nuit… Le lendemain matin, elle lui conseille d’aller voir le scribe, dont elle est la lingère et dont elle sait qu’il cherche un domestique. C’est tout le talent de Diane Meur que de parvenir, dès les premières pages de son livre, à incarner ses personnages dont les puissants affects embarquent le lecteur pour des épisodes haletants. Car il n’est pas question que de lettre et d’esprit dans ce formidable roman. Ordjou s’est follement épris de la belle lingère dont tout le sépare pendant qu’Asral soupire pour un jeune chanteur du faubourg des vanniers… Quant à l’entreprise de traduction du scribe, elle n’est pieuse qu’en apparence : les juges de la ville, exégètes attitrés de l’Ecriture, ont tôt fait d’en avoir vent et d’en mesurer le caractère subversif. Et les découvertes d’Asral sur un texte dont il comprend qu’au fil du temps il a été amendé, interpolé, voire amplifié, seront démystifiantes sur un plan religieux et, sur un plan politique, proprement révolutionnaires. Au point que, l’entreprise d’élucidation devenue hérésie et schisme, le cadre figé de la vie à Sir explose, entraînant une guerre civile qui devient rapidement guerre tout court. Car l’autre ville de la plaine, peuplée de transfuges et de bannis de la première (elle est à Sir ce que le Nouveau Monde est à l’ancien), se lance dans un jeu retors d’alliances. La dissension religieuse tournera à l’affrontement territorial et ethnique… La ville de Sir survivra-t-elle ? A long terme, il semble bien que non, quelques flash-forwards nous montrent une expédition d’archéologues prussiens, vers 1840, en train de mettre au jour ses premiers vestiges. Diane Meur, entre mythe et archéologie, érudition et parodie, brosse une fresque d’autant plus éblouissante qu’elle donne d’intéressantes clefs de réflexion sur le monde d’aujourd’hui… sans que jamais ne soit perdu le pur plaisir du mensonge romanesque.

08/2011

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Développement durable-Ecologie

Plaine en devenir. Histoire de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt

Lancé en 2010, le projet de planter une forêt sur la plaine de Pierrelaye-Bessancourt doit être validé en 2018. Pour comprendre les tenants et aboutissants de cette histoire, il faut remonter au second Empire, côtoyer le Baron Haussmann et ses ingénieurs, faire connaissance avec Eugène Bélier, maire de Méry-sur-Oise en 1864. A l'époque, la plaine devait abriter un immense cimetière, la nécropole parisienne. Le projet fut abandonné et la Ville de Paris installa une ferme modèle sur les terres qu'elle avait acquises. Un système hydraulique perfectionné permettait d'engraisser les terres grâce à l'eau des égouts. Pendant un siècle, l'épandage des eaux brutes fit la richesse de la plaine. Son sol sableux, quasiment improductif, devint riche et fécond. Ce n'est qu'en 1997 que des associations de défense de l'environnement lancent l'alerte. Elles s'inquiètent que les eaux d'égout, en plus de l'engrais humain, charrient des polluants que les plantes absorbent. Rapidement, le principe de précaution est appliqué, les cultures maraîchères sont interdites sur la plaine. Depuis, la plaine vivote, squattée par les gens du voyage, parsemée de dépôts sauvages d'ordures, incontrôlable. C'est dans ce contexte, mais aussi dans celui de la création du Grand Paris, que s'inscrit le projet de forêt. Il permettrait de mailler la forêt de Montmorency et celle de Saint-Germain. De créer des continuités écologiques et de participer à la qualité de vie de la région capitale. C'est un véritable projet de territoire, à l'horizon 2030, qui est en débat.

03/2018

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