Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.
Et bien au-delà... Depuis sa première traduction en français en 1995, tout d’abord Aux presses de la Cité puis chez J’ai lu, la saga de Diana Gabaldon aura séduit plus d’un million de lecteurs tant en numérique qu’en format papier. Cette dernière a connu un incroyable renouveau avec son adaptation en 2014 sur Netflix – la sixième saison est attendue pour le 6 mars prochain. Une chose est sur Claire Randall et Jamie Fraser n’ont pas fini de se retrouver à travers le temps…
Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.
141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.
Lorsque l'on évoque l'animation japonaise, un nom se détache inévitablement du lot : Hayao Miyazaki. Ce réalisateur visionnaire, souvent comparé à Walt Disney pour son génie créatif, a donné naissance à des œuvres qui ont marqué des générations entières. Mais derrière ces films emblématiques, se cache une entité tout aussi importante : le Studio Ghibli.
40 ans après la loi sur le prix unique du livre, un nouveau texte législatif entend restaurer une certaine forme d'équilibre pour la vente du livre, mais cette fois sur internet. Le développement de différentes plateformes, Amazon en tête, aura en effet popularisé la gratuité — ou presque — des frais de port, au détriment des libraires indépendants. La facturation de frais de port minimaux suffira-t-elle à restaurer l'équilibre ?
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